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jeudi 04 juillet 2024 - 00h16rech / rep
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(taille reelle)
dans l'urgence ()
Il veut me prendre là, tout de suite, dans ce recoin de la remise aux archives, au milieu des cartons, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allumé dans ses reins. Il me bascule, comme un animal docile, ses doigts flattent ma chatte mouillée lisse et enflée de désir pur, puis, me pénètrent, doucement, de plus en plus profondement. Impatient et pressé, Il relève ma robe, il glisse ses mains sous le nylon, entre mes cuisses brûlantes. Je m'ouvre et gémis, j'ouvre son pantalon, je degage sa queue, enorme, qui se deploie, et cherche sa voie ...

J'ai à peine le temps de le guider, il s'enfonce en moi, il me pénétre, d'un coup, il se glisse dans mon ventre puissement, profondement. Il m'enfile, je me fends. Il me traverse, il m'occupe, il me tient. Je suffoque et m'écarte encore pour mieux sentir cette queue qui m'incendie, qui me laboure, délicieusement, de part en part. Je ne suis plus que cette chose offerte, ouverte et prise au piège de son désir. Je ne suis rien d'autre qu'une femelle, trempée, écartée, tenue fermement par cet homme planté en moi. Il me murmure des choses que je n'ai jamais entendues auparavant. Il déflore ma pensée, brise ma pudeur, me fait rougir de honte et de plaisir ensemble. Je l’accompagne par les contractions de mes muscles, le presse, Il ressort, pousse encore plus profondément. Je l’entends gémir et cela ne fait que m’exciter davantage. Il accélère ses mouvements vifs en moi et tape durement contre mes fesses ce qui me rend plus folle encore. Je ne suis plus que ce plaisir qui me fait fondre, me fendre, défaillir, mouiller, me cambrer. Il me malaxe le ventre, palpe mes seins, qu'il attrape en se penchant sur moi, il grogne, il jure, me mord le dos, et toujours ce sexe tendu en moi qui enfle, m'explore, me ravage. Je tremble, nous tanguons comme un bateau ivre, un attelage fou. Le ciel, la terre et tout notre être à la dérive. Il me ferraille jusqu'à la garde, jusqu'aux tréfonds, jusqu'aux limites de mes forces. Je me sens vivre et mourir toute à chaque coup de boutoir. Il s'enfonçe encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aide dans ses va et viens. Il arrive au point de non retour. Il accélere, Je le sens trembler et se figer au fond de moi. Il arrive, il se cambre, se raidit, il me serre, pousse un cri rauque ... et explose au plus profond de moi, il jaillit, il m'inonde, dans un long râle qui envahit l'air et me fait défaillir. Il gicle au fond de moi. Il défaille. Ses jambes semblent ne plus vouloir le soutenir. Je perds pied, traversée par une vague de plaisir immense qui m'arrache un long murmure venu du plus loin de mon être. Je jouis. Je jouis comme on s'arrache. Comme on s'envole. Je jouis comme on s’oublie.
Puis, les spasmes calmés, je le sens ramollir, Il se retire de moi, comme un loup errant qui en moi aurait trouvé son gîte. Un gîte de passage, de fille pas sage du tout. Il m'a traversée. A fait son chemin brut en moi. De ma chatte jusqu'à ma pensée. Son empreinte palpite là comme un feu entre mes cuisses. Un feu qui s'écoule. Comme le temps qui s'enfuit déjà depuis mon premier gémissement sous ses premieres caresses, je le laisse glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. Je suis completement épuisée et comblée. Il se glisse hors de moi, je ne fais rien pour le retenir.

Il commençe à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, puis il se ravise, se rapproche, et me pénétre de nouveau. Je commençe de nouveau à réagir à ces intrusions ! il enfonçe en moi son sexe redevenu enorme, écartant mes chairs. je soupire quand il arrive au fond. il fait durer le plaisir. Il accélere, je n'en peux plus, Je me mets à trembler, un spasme violent me fige, de violentes secousses traversent mes entrailles. Il me regarde intensément, bloque son sexe au fond de mon vagin, et il fuse ... et se vide une nouvelle fois en moi, il n'en finit plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laisse pantois. En se retirant sa queue emet un indecent bruit de succion. J'ouvre les yeux et je constate tout ce que j'ai reçu de lui

Je suis debout. Debout je marche au cœur des arbres qui se dressent. Debout comme mon désir en moi nourri déjà de toutes ces nuits passées et à venir qui se fondent. J'avance d'un pas sûr. Je sais. Je sais à jamais la brûlure du plaisir. Ses vertiges. Ses sommets. Son antre. Qui bat dans mon ventre et contre mes tempes. Je sais l'incendie et l'abîme. Plus de peur. Juste la vie. Et les bonds de mon cœur.