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jeudi 04 juillet 2024 - 01h18rech / rep
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(taille reelle)
J'aime quand tu m'explores ()
- Dis moi ... est-ce que je te te fais bander ?
- Ne sois pas gêné ! ca n'est pas pour me deplaire !
- Tu es plutôt bel homme !
- Toi non plus tu ne me laisse pas indifferente tu sais !
- Tes mains sont chaudes ... tes caresses sont agreables,
- J'aime quand tu m'explores !
- Non , continue ! ...plus bas, remonte sous le nylon !
- Là où c'est tres doux ... oui ! ...
- Tu sais que tu touches des endroits tres intimes ?
- cela me fait du bien, tu es tres doux !
- Oui, je mouille ! Et tu te demandes pourquoi ?
- Je suis toute ouverte ... et mon corps a faim !
- Tu veux d'autres details ? Je suis etroite et bien profonde !
- Et toi, tu es bien dur ... et bien long !
- Alors ? Qu'est-ce qu'on fait ? On ne va pas en rester là ?
- Tu viens ? .... Eh bien ? qu'attends-tu ?
- Laisse moi faire ! Je libere ton potentiel !
- Et maintenant ... rentre vite dans mon nid tout chaud !
- Ca y est, tu sens ? ca rentre tout seul !
- Et maintenant ... tu es chez moi ! ..
- Tu vois, j'avais envie de baiser, et j'ai trouvé mon male
- mon male, c'est toi ! Tu sens comme ça glisses bien ?
- Tu glisses en moi comme dans du beurre tendre
- C'est agreable, tu ne trouves pas ?
- Puisque nous y sommes ... allons juqu'au bout. Tu es d'accord ?
- Tu aimes n'est-ce pas ? ... moi aussi !
- Oh que c'est bon ! ... Plus vite ... bien au fond !
- Donne moi ta bouche, tes lèvres ! Et prend mes seins, palpe les !
- Ils sont doux et fermes à la fois tu ne trouves pas ?
- Tu aimes mes seins, hein ! ils t'excitent !
- Ooh Que c'est bon !
- Je sens que tu viens ! ... et moi aussi d'ailleurs
- Oh oui ! .... Oui ! ... Maintenant ! ... Viens vite !
- Vas-y, accelere, lache toi, donne moi ... tout !
- Non ne te retires pas !
- Jouis avec moi ! ... Bien au fond !
- Oh Oui ! ... Aaahh ! ... Encore ...
- Oh Que c'est bon ...



- Dites moi ... c'est moi qui vous fais tant d'effet ?
- Ne soyez pas gêné ! Vous êtes plutôt bel homme !
- Vos mains sont chaudes ... vos caresses sont agreables,
- Non , continuez ! ... Ici ... plus bas !
- Vous touchez des endroits plus intimes vous savez ! ...
- cela me fait du bien, vous êtes tres doux !
- Fermez donc le rideau, nous serons plus tranquilles
- Vous retirez ma combinaison ? Je vous laisse faire ? ....
- Je mouille ? ... C'est vous qui me faites cet effet vous avez !
- Tenez, je vous la donne ? On ne va pas en rester là ?
- Eh bien ? qu'attendez vous ?










Elle est assise, face a moi jambes ouvertes, offerte.
- Je te plais ?
- N'arrete pas tes caresses, cela me fait du bien !
Elle se frotte contre moi. la pression monte. J'empoigne les seins sous la soie. Je les malaxe avec delice, la chair a un moélleux exceptionnel. Puis je soulève sa combinaison de nylon le long de ses hanches. Je profite de la douceur du nylon, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais. Sa douce lingerie sent la femme, c'est chaud, c'est doux ! je glisse mes mains sur le doux tissu, sur sa vulve mouillée, je la masse doucement. Ses joues sont légèrement rougies.
- Tu touches des endroits tres intimes tu sais ! ...
- Mais continue ! ... ce n'est pas desagreable !
Elle prend alors ma main, la dirige vers elle. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Tout se precipite. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide.
- Tu sens comme je mouille ?
- C'est toi qui me fais cet effet tu sais !
Je sens sous mes mains es muscles trempés se dilater. Elle tressaille. Elle serre mon bras. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Elle tremble de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense
- Ecoute .... Si tu en es d'accord, on ne va pas en rester là !
Elle commence aussitôt à defaire ma ceinture et liberer un sexe qui pointe d'un coup vers elle à l'horizontale. Puis elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, elle dégage l'épaule gauche, ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur, je bande desormais sans complexe contre elle, je l’embrasse dans le cou. Délicatement, la combinaison s'affaisse, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds. Elle me tend la combinaison encore tiède. Je respire ses effluves.
- Tiens, je te la donne ?
- Eh bien ? qu'attends-tu ? Prends donc ton plaisir ! Je suis toute à toi !
C'est elle qui dirige mon gland et le frotte sur toute la surface de sa vulve. Et ... je me sens ... impression delicieuse ... aspiré, digeré, absorbé comme une gourmandise. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle m'aspire en elle. Je la penetre, doucement, puissement, profondement. Je m'enfonce entre ses lèvres larges et humides. Elle semble apprecier:
- Je te sens bien, Je te sens fort, périlleux, fougueux.
- Je correspond à tes attentes ?
- Laisses-toi aller, c'est si bon !
Je m'immisce dans ses chairs au plus profond de ses reins. Ma queue glisse en elle, bien dressée et bien dure, la vue de ses gros seins me donne de la vigueur ! Je bande monstrueusement au fond de son ventre. Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je sens ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle.
- Mets la moi bien profonde ! Remplis-moi, enfonce moi !
Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle. Elle me fixe de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante. Puis elle se met à trembler.
- Plus vite ! Bien au fond !
Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, et se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte. Je sens que je viens. J'hesite à me retirer
- Non reste ! Je veux te sentir, bien au fond !
- Plus vite ! Lâche-toi ! Maintenant ... Oui, maintenant !
- Ne vous retiens plus ! Décharge ! bien au fond !
Je me bloque bien au fond de son vagin. Je me lache. Et je pars en de longues giclées dans son ventre. Je jouis, laissant un flot de sperme gicler en elle par saccades.
- Ouuuii ! ... Je te sens ! Oh c'est bon !
- ne t'arrêtes pas, remplis moi ! Continue ! Tu me rendez folle !!
- Quel homme !
Nous restons l'un dans l'autre, nos sexes emboités, délicieusement, Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances. Cette lingerie, pleine de mon odeur, de son odeur, pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir, cette lingerie que j'ai écartée un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle, cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la sienne, qui me fait comme un souvenir le jour durant, cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses, cette lingerie si remplie de nous deux,
- C'est si bon ! ... Il y a si longtemps