arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
jeudi 04 juillet 2024 - 00h52rech / rep
-mond-17-assiseGst07e

-mond-17-assiseGst07e
(taille reelle)
cet instant magique ()
Je repense tous les soirs à cet instant magique, à la fin de cette soirée un peu arrosée. Nous étions enlacés dans le grand canapé, et pendant que tu m'embrassais passionnément, j'ai senti ta vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes puis, je t’ai senti tout doucement t'enfoncer en moi, tu es resté un moment sans bouger avant d’entamer un lent va et vient glissant tres agréablement dans mes chairs. Je te sentais grossir et t'allonger encore a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. Tu faisais de petits mouvements, avec toujours cette pénétration lente, et mes seins dans tes mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie,
Toi, mon amant d'un soir tu t'es mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles t'encouragaient. Tes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Ton sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement ma fragile muqueuse. Tu continuait tes va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Tu enfonçais ton sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui te remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour te faire perdre complètement le contrôle de tes actes. Tes mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous tes caresses intimes toi, mon bel amant fougueux. J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Je m'agrippai a tes épaules, et passai mes jambes autour de ta hanche pour que tu me pénètres encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma douce lingerie, la caresse de ma chair tendre sur tes fesses électrisait mon délicieux amant.
Tu as alors commencé à accélérer, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais ton sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir sans réserve. Mes jambes tremblaient, je répondais a chaque penetration en creusant les reins pour que tu puisses aller le plus loin possible. Je n'en pouvais plus. Profitant de tes poussées fulgurantes, toi mon amant fougueux, mes deux jambes autour de ta taille, m'empalant davantage sur ton sexe béni. Tu m'as empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de ta proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je criai mon plaisir. C'était comme une vague qui m'emportait, j’étais au bord de l’explosion lorsque tu as encore ralenti le rytme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi. J’ai senti ton sexe gonfler encore et puis ...
le plaisir est arrivé, fort, puissant, mon corps s’est mis à trembler. Tu t'es alors enfonçé bien au fond de moi, tu t’es arrêté de bouger ... puis, tu as explosé en moi. Je sentis le jet puissant de mon fougueux amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu.
A bout de souffle, tu as enfoui ta tête dans mon cou, m'assenant tes derniers coups de belier Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon beau mâle. Tes dernières caresses intimes me comblait de bonheur. Je caressais doucement tes cheveux et ta nuque, toi mon délicieux amant qui m'avait tant fait jouir, t'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche de mon bel homme pour une dernière étreinte.