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jeudi 04 juillet 2024 - 00h42rech / rep
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(taille reelle)
vos caresses ()
Quel doigté Armand !
Comment osez-vous me toucher ainsi,
seriez-vous donc soudain devenu fou ?
Le plus insensé, c'est que j'aime ces caresses,
elles me touchent jusqu'à la chair
et me plongent en état d'ivresse !
D'où vient cet art
que vous exercez sur moi, cette prouesse ?
Je fonds sous vos mains exquises
et tremble de la tête aux fesses !
Et vos lèvres qui m'attirent bousculent mes sens
Il est merveilleux, pour moi, d'accepter cette tendresse,
Vous me revelez soudain fougueuse, sauvage et tigresse !
Pourtant, des hommes, j'en ai connu,
sans compter, je l'avoue,
Mais aucun ne saurait vous égaler,
Mes compliments et mes émois, acceptez-vous ?
Votre indécence me plaît !
Continuez ! Je suis à vous !

De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
De mes lèvres douces, humides, à ma fleur qui vous fascine,
De cette jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses,
Je sais pour vous le goût de mon corps, tous ses arômes et plus encore.
Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits.

Mon corps pour vous se fait soyeux, De votre sexe faites moi douceur,
qu'il caresse, glisse, se fasse onctueux pour mieux remonter ma chair.
qu'il m'explore, remonte, s'immisce dans mes tendres muqueuses
qu'il m'explore plus loin, se faufile, me pénètre.
Qu'il se perde au fin fond de mon ventre, qu'il goute mon parfum de femme.

Humidité abondante, majestueuse L'orgasme est enfin là, merveilleux, en partage total.
Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté. Cris étouffés entre nos bouches.
Je vous sens fort, périlleux, fougueux. Oh oui ... je vous sens bien !
Je suis toute à vous ! Je suis prête ! C'est si bon ! Vous me faites tant de bien !
Non ! Restez ! Je veux garder dans ma chair un souvenir de vous !

Ces moments sont trop brefs pour mon corps inassouvi
Une fois encore, je demeure vacante, gardant entre mes cuisses votre doux secret
Vous êtes venu en moi comme un arbre vivant
qui a fleuri dans ma chair, s'est épanoui en mes veines
et votre sève coule en longs flots continus !

Votre visage aux yeux clos me renvoie l'image de ma joie
Je vous aime encore, mon corps reste chaud.
Vous m'avez donné votre sève, c'est par vous que je renais au monde
Monsieur, Je ne connais pas votre prénom...