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jeudi 04 juillet 2024 - 01h12rech / rep
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(taille reelle)
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Vous avez été très efficace, tout à fait à la hauteur de votre réputation !
ardent, directif, câlin, joueur, félin et attentif. C'était fort excitant !
Vous m'avez donné et vous avez pris sans retenue,
vous avez su user et abuser de mon corps, de mes sens, de mes forces.
Je ne vous soupçonnais pas aussi performant.
Vous m'avez appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux.
Je vous ai offert ma bouche, mes mains, mon ventre et mes seins.
Vous avez été été ardent, infatigable de votre corps.
Mes premières jouissances ont été rapides, violentes.
Les votres sont venues plus tard, elle étaient sauvages.
Nous avons fait l'amour longtemps.
J'etais un peu malhabile. Vous vous êtes révélé comme un amant exemplaire,
J'ai aimé vos caresses appuyées, vos enlacements enfiévrés.
Je vous ai découvert pervers et imaginatif
alors que je ne vous connaissais que passif et classique.
J'ai été là au bon moment, où vous aviez besoin de vous sentir mâle.
Vous m'avez donné un immense plaisir. Quel délicieux plaisir de la chair,
J'ai adoré ces mots impudiques que vous avez murmuré à mon oreille
J'ai adoré votre virilité, votre coté bestial, animal.
J'ai aimé me sentir dominée, femelle, j'ai aimé me laisser aller,
J'espere vous avoir satisfait de mon corps, de mes sens et de mes rondeurs.
J'entends encore vos gémissements, mes cris rauques
quand je vous sentais vous crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
J'ai tenté de faire au mieux avec un partenaire si parfait
Vous m'avez comblée ! au propre et au figuré !
Vous avez joui en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats,
Vous m'avez inondée ... et avec quelle générosité !
J'ai senti votre sève jaillir comme une eau vive, dans mon corps brulant.
Nos corps sont repus après ce doux exploit
Vous m'avez essoufflée jusqu'au coeur
Je sens encore couler entre mes cuisses trempées votre sève chaude.
Dans mon corps je garde cette sensation de puissance C'était si bon !
Je conserve dans ma chair un souvenir de vous
Et moi je vous laisse ce charmant bout de tissu de soie
Gardez le amoureusement en souvenir de moi !
Vous savez, je vais vous dire:
J'aime les hommes, tous les hommes, Je les aime violemment, sans retenue,
Je les attrape au grain de ma peau élastique, je les roule, je les domestique.
J'aime quand leurs mains s'aimantent à mes seins,
quand leurs lèvres s'abreuvent à l'ocre brun de mes pointes en saillie.
signe de la femelle qui vit en moi, de la louve tapie.
J'aime quand l'homme se penche sur ma mamelle, enfant sauvage d'une louve en rut,
et quand sa main trouve l'autre toison, drue et moite, où mousse mon désir.
Et quand un membre de loup brutalise la tendre caverne où je palpite.
La voix qui hurle à la lune, c'est la mienne.
Cet homme-là, ensuite, ne sera plus qu'un petit homme,
immobile à mes pieds, rassasié, recru de fatigue,
grognant doucement au sein de rêves néolithiques.
Retrouvons nous demain voulez-vous ? ... A la même heure ?





Tu as été très efficace, tout à fait à la hauteur de ta réputation ! ardent, directif, câlin, joueur, félin et attentif. C'était fort excitant ! Tu m'as donné et et tu as pris sans retenue, Tu as su user et abuser de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je ne te soupçonnais pas aussi performant.

Tu m'as appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je t'ai offert ma bouche, mes mains, mon ventre et mes seins. Tu as été ardent, infatigable de ton corps. Tes premières jouissances ont été rapides, violentes. Les miennes sont venues plus tard, elle étaient sauvages. Nous avons fait l'amour longtemps. Tu étais un peu malhabile. Je t'ai révélé comme un amant exemplaire,

J'ai aimé tes caresses appuyées, tes enlacements enfiévrés. Je t'ai découvert pervers et imaginatif alors que je ne te connaissais que passif et classique. J'ai été là au bon moment, où tu avais besoin de te sentir mâle. Tu m'as donné un immense plaisir. Quel délicieux plaisir de la chair, J'ai adoré ces mots impudiques que tu as murmuré à mon oreille J'ai adoré ta virilité, ton coté bestial, animal. J'ai aimé me sentir dominée, femelle, j'ai aimé me laisser aller,

J'espere t'avoir satisfait de mon corps, de mes sens et de mes rondeurs. J'entends encore tes gémissements, mes cris rauques quand je te sentais te crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
J'ai tenté de faire au mieux avec un partenaire si parfait Tu m'as comblée ! au propre et au figuré ! Tu as joui en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats, Tu m'as inondée ... et avec quelle générosité ! J'ai senti ta sève jaillir comme une eau vive, dans mon corps brulant.

Je sens encore couler entre mes cuisses trempées ta sève chaude. Dans mon corps je garde cette sensation de puissance C'était si bon ! Je conserve dans ma chair un souvenir de toi Et moi je te laisse ce charmant bout de tissu de soie Garde le amoureusement en souvenir de moi !

Nos corps sont repus après ce doux exploit Tu m'as essoufflée jusqu'au coeur Tu sais, je vais te dire:
J'aime les hommes, tous les hommes, Je les aime violemment, sans retenue, Je les attrape au grain de ma peau élastique, je les roule, je les domestique.J'aime quand leurs mains s'aimantent à mes seins, quand leurs lèvres s'abreuvent à l'ocre brun de mes pointes en saillie. signe de la femelle qui vit en moi, de la louve tapie.J'aime quand l'homme se penche sur ma mamelle, enfant sauvage d'une louve en rut,
et quand sa main trouve l'autre toison, drue et moite, où mousse mon désir. Et quand un membre de loup brutalise la tendre caverne où je palpite. La voix qui hurle à la lune, c'est la mienne. Cet homme-là, ensuite, ne sera plus qu'un petit homme, immobile à mes pieds, rassasié, recru de fatigue, grognant doucement au sein de rêves néolithiques.

Retrouvons nous demain veux-tu ? ... A la même heure ?