- Glisse-toi bien en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude.
- Je t'offre mes douces caresses intimes, tu les sens ?
- tu es bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je t'aspire, je t’absorbe.
- ton souffle est lent. Plus tu m'investis, plus il est long et profond.
- Pénètre moi doucement, tendrement.
- Reste maintenant un moment en moi sans bouger, la sensation est d'une douceur infinie.
- Fermons les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre.
- Reprends tes mouvements, plus profonds !
- Tes mouvements, plus amples, plonge ta verge en moi et gonfle la en meme temps.
- Tu occupes mon espace tout entier.
- Je te fais découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède,
- Notre douce excitation devient un désir plus ardent,
- je m'inquiète de toi, Tu es bien ?
- Ferme les yeux, je m'offre à toi, la bouche entrouverte, chaude, et douce à l'interieur,
- Ne quitte plus mon regard, je sens ton plaisir, ton envie de se lâcher,
- mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Ton regard dans le vague semble en réclamer davantage.
- Non ... Pas encore ... Continuons
- Laisse moi glisser sur ton mat. Il oscille dans ma chair, sans faire de bruit, juste du plaisir.
- Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie,
- comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter,
- Je sens les pulsations de ton sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche.
- je m'ouvre toute grande pour que tu ailles plus au fond. Tu t'actives dans ma chair, fou d’un désir que je ne connais pas,
- Tu ne parviens déjà plus à te retenir, et tu jouis à te faire perdre la tête dans mon corps.
- Je passe ma main dans tes cheveux, je caresse ton visage, je me mordille les levres.
- Doucement accelerons le rythme. Agrippe toi à mes épaules, et reprend tes longues pénétrations,
- Tu entends ? ces délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre,
- Je suis prise de vertige, la transpiration perle entre mes seins,
- Je te donne du plaisir, tu me le rends au centuple.
- La pensée de ton corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! Te dis-je, Viens vite !
- Saisis mes épaules, et augmente l'ampleur et la puissance de tes mouvements,
- Ecoute le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs qui m'excite.
- Je me cabre, Je jouis encore. Tu t'arretes net. Je te sens venir, tu crispes ton regard .....
- Donne moi toute ta sève ! ... Maintenant !
- Je te tire à moi. Et tu viens, te voici ! Ton flot de vie me remplit.
- Je suis inondée de ta douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Je m'effondre sur toii.
- Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule.
- Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné.
- Des larmes de bonheur inondent mes paupières.


il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offre mes douces caresses intimes, il est bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle est lent. Plus il m'investit, plus il est long et profond. Il me pénètre doucement, tendrement, reste un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. ses mouvements sont plus amples, sa fierté plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Je lui fais découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sent aspiré, absorbé par mon corps. La douce excitation devient un désir plus ardent, je m'inquiète de son état,
- Tu es bien ?
Je ferme les yeux, je m'offre à lui, la bouche entrouverte. Je suis maintenant offerte, chaude, et douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage.
- Non ... Pas encore ... Continuons
Je glisse sur son mat. Il oscille dans ma chair, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche. Il esquisse une grimace, j'incline mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'active dans ma chair, fou d’un désir que je ne connais pas, il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, je me mordille les levres. Doucement le rythme s'accélère. Il s'agrippe à mes épaules, reprend ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre, je suis prise de vertige la transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens vite !
Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net. Je le sens venir, il crispe son regard .....
- Donne moi toute ta sève ! ... Maintenant !
Je le tire à moi. Et il vient, le voici ! Un flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Je m'effondre sur lui. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.