- Je suis la première ? l
- Je ne suis pas trop vieille pour toi ?
- Tu veux les toucher ? ... Tu peux tu sais !
- Prends les dans tes mains, ca va te faire du bien ...
- à moi aussi tu sais !
- Tes mains sont chaudres ! ... J'aime
- Ils sont encore bien souples, tu ne trouves pas ?
- Donne moi tes lèvres !
- Tu veux toujours ? ... c'est vrai ?
- Aide moi à me deshabiller ! Ne sois pas timide !
- Tu es bien mur ! ...
- Tiens, met ta main là ! ...
- Tu sens ? Je suis toute ouverte ! ... C'est pour toi !
- Viens contre moi !
- Viens, Nous allons nous faire du bien tous les deux ! ...
- Je t'offre un doux nid ! Tu vas voir comme c'est bon !
- Tu sens ? ... Comme c'est chaud ! Et comme ca glisse bien !
- Vas bien profond ! Enfonce toi bien !
- Non reste !
- Tu vas me donner toute ta sève ... bien au fond de mon ventre !
- Vas-y ! Plus vite ! Laisse toi aller ! ....
- Encore ! .... Oui !
- Ca t'as fait du bien ? ...
- Moi aussi tu sais !
- Tu veux revenir demain ?



Il semblait timide et hesitant, il avait fini par m'avouer "J'ai envie ... " J'avais compris, je l'avais alors pris par la main et je l'avais emmené dans une chambre que je loue dans ce petit hotel. Il avait le visage empourpré, je m'étais rapprochée de lui, je lui fis quelques caresses de mes doigts sur son visage, puis je posai mes lèvres sur les siennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. D'abord surpris par ce baiser, il se laissa faire, passif.
- Je suis la première ? lui demandai-je
Il acquiesça, comme si cet aveu avait déclenché chez lui une passion nouvelle. Je me penchai alors sur lui,
- Je ne suis pas trop vieille pour toi ?
Il regardait mon corps avec etonnement, puis fixait mes seins qui tremblaien legerement sous ses yeux,
- Tu veux les toucher ? ... Tu peux tu sais !
- Prends les dans tes mains, ca va te faire du bien ... à moi aussi
- Tes mains sont chaudres ! ... J'aime
- Ils sont encore bien souples, tu ne trouves pas ?
- Donne moi tes lèvres !
Je m'emparai de sa bouche pour l'embrasser de maniere plus sensuelle, mélangeant nos langues et nos salives. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant mon doux baiser, je le regardai dans les yeux :
- Tu veux toujours ? ... c'est vrai ?
- Aide moi à me deshabiller ! Ne sois pas timide !
Je dénouai alors ma legere nuisette de soie, que je retirai lentement, comme pour me faire désirer un peu plus. Je pris mes deux seins en main que je palpai devant lui. Il ne perdit pas connaissance, mais il n'en était pas loin. Je posai une main sur sa verge gonflée pour l'évaluer avec émotion.
- Tu es bien mur ! ...
- Tiens, met ta main là ! ... Tu sens ? Je suis toute ouverte ! ... C'est pour toi !
- Viens contre moi !
- Viens, Nous allons nous faire du bien tous les deux ! ...
Puis, le fixant, je l'ai entraîné avec moi sur le lit, j'ai écarté mes jambes, je lui ai demandé de venir sur moi
- Je t'offre un doux nid ! Tu vas voir comme c'est bon !
et je l'ai guidé vers moi.

C'était la première fois qu'il pénétrait le sexe d'une femme de mon age. J'avançai mon bassin et relevai mes jambes en les écartant le plus possible, pour mieux m'offrir à lui et lui faciliter une pénétration plus profonde. Sans attendre, j'ai senti sa verge s'enfoncer progressivement et naturellement dans les onctuosités de mon ventre chaud.
- Tu sens ? ... Comme c'est chaud ! Et comme ca glisse bien !
Il entama alors naturellement un tendre mouvement de va-et-vient, coulissant dans mes entrailles, bougeant lentement pour mieux savourer le frottement de mes chairs moites et brûlantes sur sa verge.
- Vas bien profond ! Enfonce toi bien !
Nos corps émettaient ensemble un delicieux bruit de clapotis. Puis il s'accrocha à mon cou, je pris ses lèvres, nos langues se caressèrent avec passion, alors que mes seins frottaient sa poitrine. Il semblait au paradis. Sa langue dans ma bouche, son sexe bien au fond de mon ventre. Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui lui arrivait. Il avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Son souffle était puissant et bruyant, et moi, je lui offrais mon corps sans pudeur, sans retenue. Il me baisait de plus en plus passionement. Subitement je sentis le plaisir monter en lui, Il voulut se retirer. Je tentais de le rassurer
- Non reste ! Tu vas me donner toute ta sève ... bien au fond de mon ventre !
- Vas-y ! Plus vite ! Laisse toi aller ! .... Encore ! .... Oui !
il poussa un cri rauque, se crispa, se lacha, et de longues giclées jaillirent au fond de moi, comme pour éteindre l'incendie qui le ravageait et excitait ma vulve dans laquelle il naviguait avec passion. Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire, à reprendre notre souffle et nos esprits. Au bout de quelques minutes, je lui passai tendrement ma main dans les cheveux.
- Ca t'as fait du bien ? ... Moi aussi tu sais !
- Tu veux revenir demain ?