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lundi 01 juillet 2024 - 22h59rech / rep
cptr-l2-209 copie 2

cptr-l2-209 copie 2
(taille reelle)
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Pendant que ma femme filmait, Belle-maman se collait à moi. Je tentais de resister mais en vain, je bandais, presque douloureusement. Je sentis ses seins s’écraser sur mon torse, ses levres chaudes dans mon cou et une main qui me masturbait. J'avais le corps en feu. Elle aussi !
- Eh bien, mon gendre, je vous sens bien mur ! ... Vous me semblez plein d'ardeur !
Ma verge raide, coincée dans le fossé ombreux de ses tendres cuisses, mes bourses, pleines, et bien au chaud entre ses rondeurs abricotières… Comme elles étaient chaudes et douces ! Je lutinais joyeusement ma Belle-Mère, Jeanne, qui se laissa faire, visiblement contente d’avoir allumé des feux inesperés.
- laissez-vous aller, mon gendre. Je veux le meilleur pour ma fille !
Les bas crissaient en douceur, Quelle délicieuse bandaison je faisais là, rivé à ce fessier superbement rond, douillet, n’attendant que mon bon plaisir… Je fis aller et venir ma queue, droite, dressée dans l'entre-fesses, me frottant délicatement sur les soies de mes deux femmes qui se balançaient à présent au rythme de mes allées et venues, ce qui avait pour effet d’activer ma raideur. Ma femme se joignit à nous pour un baiser en trio des plus ardent. Notre immoralité était totale.
Ma queue dressée comme un phare sur l’océan de chair blanche ... je me mis à bander sans vergogne entre les fesses charnues de Belle-maman, Ma femme, par en dessous, me pelotait les bourses. Ma belle-mère me masturbait tout en continuant à se frotter sur moi. Je bandais comme un taureau. Elle m’embrassait, se collait à moi, m’enlacait, nos langues se mêlaient et mon esprit s’emballait.
- Jeanne, je ne voudrais pas abuser ...
- Allons mon gendre ! Ne soyez pas timide !
- Vous sentez ? Je suis toute ouverte ! Je vous attends voyons !
Quelques frottis frotta, Je succombai, Je n’y tins plus et sans plus tarder, j'enfournai mon mat dans la chatte trempée de ma savoureuse belle-mere, je sentis mon sexe litteralement aspiré. Je la penetrai avec delectation, elle m'engloutissait avec entrain
- A la bonne heure mon gendre ! Quelle vigueur !
- Mettez la moi, bien profonde !
J'étais litteralement aimanté vers elle. Je palpais un sein. J’en lèchais longuement le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passais à l’autre. Une délicieuse chaleur couvrit mon gland, gagna le long de ma verge, se répandit sur mes bourses que ma femme pelotait toujours ; je poussai et entrai majestueusement dans les grandes levres ouvertes et chaudes de ma fondante partenaire, celle-ci émit une petite plainte étouffée. Je prenais mon temps, goûtant pleinement à ce plaisir imprévu et fus vite au fond du merveilleux puit, mes bourses frottant les poils frisés de la belle chatte toute humide; je me retirais puis revins, encore, et encore, de plus en plus vite. Je l’entendais gémir de plus en plus fort. ses seins pourtant lourds se dressaient fièrement. Je ne pu me contenir longtemps à ce rythme.
- Oh Belle maman ... Je crois que je viens ! dis-je en tentant de me retirer pour lui eviter la suite
- Non mon gendre ! Restez ! J'attends votre offrande ... bien au fond !
Je ne me contrôlais plus, je me déchaînais ... jusqu’au cri qui nous laissa vidés l’un contre l’autre. et dans un râle sonore, je déchargeai abondamment dans le ventre de cette divine belle-mère, planté dans les onctuosités de son ventre chaud; Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laissa pas en paix, elle reprit ses caresses, entreprit une longue fellation qui parvint à me rendre vigueur. Dix fois je crus finir épuisé. Dix fois elle parvint à raviver mon désir. Elle me ferma la bouche d’un baiser m’assurant que j'étais le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvint encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi
Je fis aller et venir encore un peu ma verge et quittai a regret la si accueillante chatte… Belle-maman reprit une position normale dans le lit et me dit d’un air malicieux :
- Alors, mon Gendre chéri, comment m'avez-vous trouvé ?
- Délicieuse, absolument délicieuse Belle maman
Elle me serra contre elle, je rebandais de plus belle, elle se saisit de ma queue encore humide de foutre et la suça lentement, se gorgeant de mon foutre, ardente, sensuelle à souhait J’avais encore envie de la baiser… Étendu entre mes deux « Maîtresses », celles-ci s’employaient à me branler, palpant mes couilles, les gardant en leur paume (ô combien chaude !), s’embrassant sur la bouche, se faisant des caresses et marmonnant des bribes de mots osés :
- Oh, que c’est bon, ma Chérie, embrasse-moi, tu m’excites, ouuuuhhhh… .vvvouiiiii…
Et tout ceci se terminait par des bruits mouillés, gloutons qui n’eurent de cesse de me faire à nouveau bander … Je suçai les seins de ma Belle-mère, tétant goulument à ces petits frangins dressés, aréoles dilatées, je les gobais de toute ma bouche affamée… Jeanne jouissait, elle devait être très sensible et jouir par les seins, tandis que sa fille, elle, c’était le clitoris… à peine un frôlement et le clitounet se dressait, même à travers le slip et la robe ou le pantalon quand nous dansions ou nous enlacions amoureusement…

J’avais retrouvé ma raideur et ma queue s’annonçait prometteuse dans sa future pénétration. Je me devais maintenant de prendre ma femme, dont le désir se faisait sentir, excitée qu’elle était par notre nouvelle relation avec sa mère et voulant en quelque sorte s’exhiber devant celle-ci, lui donner du plaisir par la vue de nos deux corps unis devant elle. Françoise se mit sur moi, à califourchon et ne tarda pas à se mettre en chatte une queue qui, bientôt la prit à fond en des trots saccadés…
Sa mère, à nos côtés se masturbait, ne nous quittant pas des yeux et disant des :
- Oh, mes Chéris, ouuiiii, c’est bon de vous voir, allez-yyyyy, vous me rendez folle
De fait, je déchargeai assez rapidement dans Françoise qui criait, haletait, caressant d’une main les gros seins tout agités de sa Chère Maman… Je finis ma semence à petits flots, enfilant à fond ma compagne, mes mains sur elle pour mieux la retenir collée contre moi… Jeanne jouissait comme une hystérique, griffant les draps d’une main, continuant à titiller son clitoris, à le pincer, à s’enfoncer deux ou trois doigts dans le con, telle une furie, les yeux au ciel, le regard perdu, mourant…
Qu’il était bon de contempler cette femme mûre, belle à souhait, là, au creux de notre lit conjugal, se donnant du plaisir sans retenue, sous nos yeux, dépourvue de pudeur… Comme il était bon d’être tous les trois à présent réunis, soudés, partageant notre secret, notre grand secret ! Cette pensée m’excita et je me mis à rebander dans le sexe de ma femme qui recommença à se démener sur ma queue ; je forniquai à nouveau en sa profonde chatte, tandis que sa mère s’excitait sur moi, dansait, se frottait contre moi, me tenait par les hanches, son visage dans mon cou, pendant que je baisais sa fille, Je déchargeai en Françoise qui releva les jambes et nous étreignit tous deux… Nous étions soudés, fous de sexe.
Ma Belle-mère, haletante, encore toute excitée, vint s’étendre à côté de sa fille, laquelle recouvrait peu à peu ses esprits après notre coït, allongée sur le dos, seins dressés aux belles aréoles rose-brun. Elles se tournèrent l’une vers l’autre et s’étreignirent coquinement en s’embrassant tendrement.
Nous prîmes un petit encas, bûmes un peu de champagne et nous nous couchâmes, tous trois enlacés pour tenter de trouver un sommeil réparateur… Il était deux heures du matin. Apaisés, épuisés, les yeux cernés, nous nous endormîmes, abandonnés et sereins.