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lundi 01 juillet 2024 - 22h59rech / rep
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(taille reelle)
bruits dans l'hotel ()
Malgré l'heure avancée de la nuit, nous ne dormions pas. Allongé dans le lit de l'hotel, j'admirai les formes de María. La vue de son corps débarrassé de tout vêtement pouvait me faire supporter n'importe quel tourment et je trouvais grand réconfort à détailler ses cheveux noirs raides tomber sur ses épaules.

Et alors que je la regardais, je cru entendre un gémissement venant de la chambre voisine, occupée par un couple de touristes allemands, séparés de nous par une mince cloison. Puis ce fut un gémissement étouffé. L'excitation, décuplée par mon imagination, me sortit immédiatement de ma torpeur et je tendis l'oreille. Je perçu alors tres nettement quelques bruits de succion terriblement suggestifs. Alors que ces bruits infimes semblaient survenir à des intervalles de plus en plus courts, j'entendis clairement un râle rauque bien plus fort que les autres se détacher dans la nuit.

Mon imagination s'affola. Je sentis mon sexe se raidir outrageusement contre la cuisse de Maria. Désormais, mon érection était si forte qu'elle en était douloureuse. Je me rapprochais de ma douce compagne. Surprise, Maria se retourna et me lanca un regard interrogateur. Je lui proposai d'écouter les sons qui nous parvenaient de la paroi qui nous séparait de nos voisins. Les bruits avaient repris, et cette fois, étaient clairement féminins. María se retourna pour mieux écouter. Après quelques instants, je sentis que les soupirs et les gémissements étouffés, mais clairement audibles, commencaient à l'exciter elle aussi.
María est, comme beaucoup de latines, complètement désinhibée. Bien que fervente catholique, elle ne voit aucun mal à assumer son penchant pour le plaisir de la chair, car si Dieu l'avait ainsi faite, c'est donc qu'il ne voyait aucun problème à ce qu'elle agisse en accord avec sa propre nature.

L'oreille sur la paroi donc, Maria me decrivit alors le mouvement d'un sexe qui rentre et sort d'un ventre, des allers retours qui s'accélèrent, car les soupirs de nos voisins étaient de moins en moins discrets.
Très excité, je caressai alors le ventre de Maria d'une main et m'approchai en de lentes courbes de ses lèvres intimes. C'en est trop pour elle. Elle me fusilla du regard
- Prends moi ! Vite !
Elle me retourna sans menagement, monta sur moi, se saisit de mon sexe dur, me masturba et absorba ma verge avec un tres sensuel bruit de succion. Je tins environ 20 secondes, pas plus, à ce rythme infernal, avant de me repandre abondemment dans son ventre avec de longues giclées qu'elle reçu comme une récompense personnelle.

Visiblement, nos propres ébats n'avaient pas laissé indifférents nos voisins, qui ne prirent même plus la peine de cacher leurs gémissements. La blonde en vint presque à crier. María devint comme folle et me supplia de la prendre de nouveau. Je me jettai presque sur elle et la pénètrai immédiatement avec une sauvagerie bestiale. Je vis le visage de María se déformer sous mes assauts. Elle avait le regard presque vitreux. Les cris stridents de l'allemande nous encouragent. Maria me hurla de la prendre plus fort. Elle me griffa les fesses qu'elle plaqua contre son bassin pour accentuer mon mouvement. Je l'entreprenais, la pilonnai, aussi fort et vite que je le pouvais. Elle se mit à crier aussi alors que je poussai de grands râles rauques.

Alors que nous changions de position pour éviter une conclusion trop rapide, nous entendimes soudain des gémissements distincts dans l'autre piece. Il s'agissait d'un couple d'anglais. Dans notre épopée avec nos amis d'outre-Rhin, nous en étions venu à oublier complètement leur présence dans la chambre 3. Elle, était une femme noire élégante, presque hautaine, et dotée d'une grande beauté. Son compagnon était un homme brun dont le regard m'avait paru désespérément vide. Nous avions immédiatement préféré les allemands, plus avenants. Mais voilà qu'ils se mêlaient à la partie.

L'anglaise cria à en faire trembler les murs. Rendu fou par nos voisins et par ma compagne déchaînée, je saisis Maria, et la collai violemment contre la paroi qui nous séparait des anglais. Avide et animal, je la pénètrai avec force. La sueur nous coulait sur chaque partie du corps et fut à l'origine de bruits de mouille qui me comblerent.

Nos trois couples furent saisis d'une étrange fièvre et l'émulation devint notre seule énergie. Nous mêlions nos cris avec un plaisir sauvage que nous n'aurions jamais soupçonné posséder en nous. Alors que je pénètrai María, je m'imaginais prendre tour à tour l'anglaise et l'allemande. Après que notre excitation ait atteint le firmament, Maria et moi ralentissions et puis nous arrêtames un instant.

Maria se retourna vers moi, me remercia, et nous nous enlaçames tendrement. Je la soulèvai et elle enroula ses jambes autour de ma taille. Je la pénètrai de nouveau et, rapidement, je jouissai d'un des plus longs et puissants orgasmes de toute ma vie avec elle. Nous restames ainsi serrés un long moment, mon foutre glissant de son vagin, coulant sur ses fesses et gouttant par terre avec un bruit qui devient tout le symbole du calme après la tempête.
Nos voisins avaient également terminé leur affaire. Maria et moi nous regardions, surpris, puis, progressivement, ravis. Nos sens enfin apaisés, nous retournames chacun dans nos lits en pensant jusqu'au lever du soleil à ce songe d'une nuit d'été.








Malgré l'heure avancée de la nuit, nous ne dormons pas. Allongé dans le lit de l'hotel, je veille contre le dos de María. La vue de son corps débarrassé de tout vêtement pourrait me faire supporter n'importe quel tourment et je trouve grand réconfort à détailler ses cheveux noirs raides tomber sur ses épaules.

Et alors que je la regarde, je crois entendre un gémissement venant de la chambre voisine, occupée par un couple de touristes allemands, séparés de nous par une mince cloison. Puis c'est un gémissement étouffé. L'excitation, décuplée par mon imagination, me sort immédiatement de ma torpeur et je tends l'oreille. Je percois tres nettement quelques bruits de succion terriblement suggestifs. Alors que ces bruits infimes semblent survenir à des intervalles de plus en plus courts, j'entends clairement un râle rauque bien plus fort que les autres se détacher dans la nuit.

Mon imagination s'affole. Je sens mon sexe se raidir outrageusement contre la cuisse de Maria. Désormais, mon érection est si forte qu'elle en est douloureuse et je me rapproche de ma douce compagne.
Surprise, Maria se retourne et me lance un regard interrogateur. Je lui propose d'écouter les sons qui nous parviennent de la paroi qui nous sépare de nos voisins. Les bruits ont repris, et cette fois, sont clairement féminins. María se retourne pour mieux écouter. Après quelques instants, je sens que les soupirs et les gémissements étouffés, mais clairement audibles, commencent à l'exciter elle aussi.
María est, comme beaucoup de latines, complètement désinhibée. Bien que fervente catholique, elle ne voit aucun mal à assumer son penchant pour le plaisir de la chair, car si Dieu l'avait ainsi faite, c'est donc qu'il ne voyait aucun problème à ce qu'elle agisse en accord avec sa propre nature.
L'oreille sur la paroi donc, Maria me decrit alors un sexe qui rentre et sort d'un ventre, des allers retours qui s'accélèrent, car les soupirs de nos voisins sont de moins en moins discrets.
Très excité, je caresse alors le ventre de Maria d'une main et m'approche en de lentes courbes de ses lèvres intimes. C'en est trop pour elle. Elle me fusille du regard
- Prends moi ! Vite !
Elle me retourne sans menagement, monte sur moi, se saisit de mon sexe dur, me masturbe et absorbe ma verge avec un tres sensuel bruit de succion. Je tiens environ 20 secondes, pas plus, à ce rythme infernal, avant de me repandre abondemment dans son ventre avec de longues giclées qu'elle reçoit comme une récompense personnelle.

Visiblement, nos propres ébats n'ont pas laissé indifférents nos voisins, qui ne prennent même plus la peine de cacher leurs gémissements. La blonde en vient presque à crier. María devient comme folle et me supplie de la prendre de nouveau. Je me jette presque sur elle et la pénètre immédiatement avec une sauvagerie bestiale. Je vois le visage de María se déformer sous mes assauts. Elle a le regard presque vitreux. Les cris stridents de l'allemande nous encouragent. Maria me hurle de la prendre plus fort. Elle me griffe les fesses qu'elle plaque contre son bassin pour accentuer mon mouvement. Je l'entreprends, la pilonne, aussi fort et vite que je le peux. Elle se met à crier aussi alors que je pousse de grands râles rauques.

Alors que nous changeons de position pour éviter une conclusion trop rapide, nous entendons soudain des gémissements distincts dans l'autre piece. Il s'agit d'un couple d'anglais. Dans notre épopée avec nos amis d'outre-Rhin, nous en étions venu à oublier complètement leur présence dans la chambre 3. Elle, est une femme noire élégante, presque hautaine, et dotée d'une grande beauté. Son compagnon est un homme brun dont le regard m'avait paru désespérément vide. Nous avions immédiatement préféré les allemands, plus avenants. Mais voilà qu'ils se mêlent à la partie.

L'anglaise crie à en faire trembler les murs. Rendu fou par nos voisins et par ma compagne déchaînée, je saisis Maria, et la colle violemment contre la paroi qui nous sépare des anglais. Avide et animal, je la pénètre avec force. La sueur nous coule sur chaque partie du corps et est à l'origine de bruits de mouille qui me comblent.

Nos trois couples sont saisis d'une étrange fièvre et l'émulation devient notre seule énergie. Nous mêlons nos cris avec un plaisir sauvage que nous n'aurions jamais soupçonné posséder en nous. Alors que je pénètre María, je m'imagine prendre tour à tour l'anglaise et l'allemande. Après que notre excitation ait atteint le firmament, Maria et moi ralentissons et puis nous arrêtons un instant.

Maria se retourne vers moi, me remercie, et nous nous enlaçons tendrement. Je la soulève et elle enroule ses jambes autour de ma taille. Je la pénètre de nouveau et, rapidement, je jouis d'un des plus longs et puissants orgasmes de toute ma vie avec elle. Nous restons ainsi serrés un long moment, mon foutre glissant de son vagin, coulant sur ses fesses et gouttant par terre avec un bruit qui devient tout le symbole du calme après la tempête.
Nos voisins ont également terminé leur affaire. Maria et moi nous regardons, surpris, puis, progressivement, ravis. Nos sens enfin apaisés, nous retournons chacun dans nos lits et pensons jusqu'au lever du soleil à ce songe d'une nuit d'été.