Viens contre moi, détends toi, et sens les désirs de ton roi.
Goûte mes douces caresses, celles de mes mains,
de mes doigts parcourant tes formes de déesse,
de tes gracieuses épaules à tes tendres fesses,
suivant tes courbes invitantes, séduisantes, appétissantes,
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Vous me déshabillez, Monseigneur !
S'il vous plait, pas trop vite
Ne soyez pas trop pressé. Dévorez-moi des yeux,
mais avec retenue, pour que je m'habitue, peu à peu...
Sachez me convoiter, me respecter, me désirer, me captiver
Sachez m'hypnotiser, m'envelopper, me capturer,
avec délicatesse, en souplesse, et doigté.
Choisissez bien les mots, dirigez bien vos gestes,
ni trop lents, ni trop lestes
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Je te sens si douce, si ouverte ...
si humide ... Tu es prête, je le sens ! ...
Sois toute à moi ! Offre toi à nos sens !
Que ton corps pour moi se fasse soyeux,
De mon sexe, je te ferai douceur,
Laisse moi me glisser en toi, te pénètrer
m'immiscer dans tes tendres muqueuses
Laisse moi explorer, me faufiler, plus loin encore
Je me fais onctueux, le sens-tu,
pour mieux remonter ta chair.
Laisse moi m'immiscer au fin fond de ton ventre,
Laisse moi gouter ton doux parfum de femme.
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Oh oui, Monseigneur, je vous sens bien !
c'est si bon ! Vous me faites du bien !
Notre plaisir s'annonce, je le sens
Oui !!! ... L'orgasme est enfin là,
merveilleux, en partage total.
Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté.
Cris étouffés, humidité abondante, majestueuse
Non ! Restez ! Restez encore
Je veux garder dans ma chair un souvenir de vous !
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Je suis venu en toi comme un arbre vivant
qui a fleuri dans ta chair, s'est épanoui en tes veines
et ma sève y coule en longs flots continus
Ma semence est en toi, ma reine, qu'ainsi, je féconde
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Ces moments sont trop brefs pour mon corps inassouvi
Une fois encore je demeure vacante,
gardant entre mes cuisses votre doux secret
Votre visage aux yeux clos me renvoie l'image de ma joie
Je vous aime encore, mon corps reste chaud de vous,
vous m'avez donné votre sève,
c'est par vous que je renais au monde
Monsieur, Je ne connais pas votre nom...









Je vous sens si fort, si fougueux ...
Oui, Monseigneur, Je suis prête ! ...
Je suis toute à vous.. Venez ! Vite !
Mon corps pour vous s'est fait soyeux,
De votre sexe, Monsieur, faites moi douceur,
qu'il caresse, qu'il glisse, me pénètre
qu'il s'immisce dans mes tendres muqueuses
qu'il m'explore, plus loin encore, qu'il se faufile,
qu'il se fasse onctueux pour mieux remonter ma chair.
qu'il se perde au fin fond de mon ventre,
Et qu'il goute mon parfum de femme.

Oh oui, Monseigneur, je vous sens bien !
c'est si bon ! Vous me faites du bien !
Notre plaisir s'annonce, je le sens
Oui !!! ... L'orgasme est enfin là,
merveilleux, en partage total.
Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté.
Cris étouffés, humidité abondante, majestueuse
Non ! Restez ! Restez encore
Je veux garder dans ma chair un souvenir de vous !

Vous êtes venu en moi comme un arbre vivant
qui a fleuri dans ma chair, s'est épanoui en mes veines
et votre sève coule en longs flots continus

Ces moments sont trop brefs pour mon corps inassouvi
Une fois encore je demeure vacante,
gardant entre mes cuisses votre doux secret
Votre visage aux yeux clos me renvoie l'image de ma joie
Je vous aime encore, mon corps reste chaud de vous,

vous m'avez donné votre sève,
c'est par vous que je renais au monde