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jeudi 04 juillet 2024 - 00h46rech / rep
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(taille reelle)
Un glissement onctueux ()
Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je t’enroule, te défait, plonge, se retire. J'avale ton corps. Tu te penches vers moi, je souris.
le flux et le reflux, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant, tendu comme un arc tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent. Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi, se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux Se perdre dans l'espace immense Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance Naître à nous-mêmes en même temps.
Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau, totalement. Te sentir grossir, durcir et t'allonger investir mon ventre chaud mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir la jouissance qui monte en moi femme révélée Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis.
Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux. Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler.
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Je vais, je viens, tu m'absorbes. Je n’en finis pas. Tu cries, tu râles, je brâme. m'enfouir en toi et descendre, et descendre. Saisir ta bouche chaude, y introduire ma langue melanger nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent .
Tissus qui se dérobent. l'émotion de la chair. Sous l'écume de chaque mot, l'océan de tendresse, J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Corps dans ton corps. Tu te cambres vers moi. cette plénitude que caresse ton souffle. Chaude comme un oiseau. Dans l'été indien, la chaleur de nos corps Je suis en toi comme on est dans la vague. Nous nous frôlons l'un dans l'autre, nous glissons dans nos chairs. Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Je m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes joues empourprées de lumière. Tes oreilles bourdonnent. Ta tête s'embrase. Jusqu'à l'épuisement. Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin.
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J'étais chaude et mouillée. Je le sentis alors s'enfoncer en moi. Lentement, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi,dans un bruit de succion, liberant un flot de semence . Il tomba a genou, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.