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samedi 06 juillet 2024 - 14h19rech / rep
adlt-17-missinstants magiques

adlt-17-missinstants magiques
(taille reelle)
Je repense à cet instant magique ()
Je repense tous les soirs à cet instant magique. Nous étions enlacés dans le grand canapé, et pendant qu'il m'embrassait passionnément, j'ai senti sa vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes puis, je l’ai senti tout doucement s'enfoncer en moi, il est resté un moment sans bouger avant d’entamer un lent va et vient glissant tres agréablement dans mes chairs. Je le sentais grossir et s'allonger encore a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. Il faisait de petits mouvements, avec toujours cette pénétration lente, et mes seins dans ses mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie,
Mon amant d'un soir s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce bel amant fougueux. J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Je m'agrippai a ses épaules, et passai mes jambes autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma douce lingerie, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait ce délicieux amant.
Il a alors commencé à accélérer, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir sans réserve. Mes jambes tremblaient, je répondais a chaque penetration en creusant les reins pour qu’il puisse aller le plus loin possible. Je n'en pouvais plus. Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je criai mon plaisir. C'était comme une vague qui m'emportait, j’étais au bord de l’explosion lorsqu'il a encore ralenti le rytme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi. J’ai senti son sexe gonfler encore et puis ...
le plaisir est arrivé, fort, puissant, mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, s’est arrêté de bouger ... puis, il explosa en moi. Je sentis le jet puissant de mon fougueux amant qui inonda le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu.
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon beau mâle. Ses dernières caresses intimes me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de ce délicieux amant qui m'avait tant fait jouir, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche de ce bel homme pour une dernière étreinte.