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samedi 06 juillet 2024 - 14h30rech / rep
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(taille reelle)
Te souviens-tu ()
Tu es venu sur moi, tu m'as souris, Je t'ai accueilli. Tu t'es enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Ta verge glissait dans mon ventre. Tu t'enfonçais un peu plus, t'extrayais, puis revenais. Je t'inondai de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, tes mouvements se sont fait plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement sensuel. Ta verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle finit par occuper mon espace tout entier.
Tu me demandais si j'étais bien. Je te repondais que j'étais delicieusement bien avec toi. Tu t'es agrippé alors alors à mes épaules et tu as repris tes longues penetrations. Je bougeai mon bassin pour accroître nos sensations. Tu me regardais avec tendresse. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, tu m'as pénetrée plus profondément, j'ai été prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me suis concentrée sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais. Tu me demandais si je voulais maintenant, Je te demandais de continuer un moment. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je te donnai du plaisir, tu me le rendais au centuple. La pensée de ton enorme sexe dans le mien finit par me faire perdre toute retenue.
- Maintenant ! t'ai-je dis
Tu as saisi mes épaules, augmenté l'ampleur et la puissance de ton mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Je fus secouée d'une série de spasmes. Je me cabrai, tu poursuivais ta chevauchée. Je jouissais encore et tu continuais. Puis tu t'arrêtas net et tu crispa ton regard ..... Je t'ai alors senti venir, m'envahir de ta semence chaude par plusieurs jets successifs. Je sentais ta sève me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Enfin tu t'es éffondré avec des grondements d'ours blessés. J'ai caressé amoureusement ta tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.