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jeudi 04 juillet 2024 - 00h52rech / rep
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(taille reelle)
pas tout de suite, pas trop vite ()
mon chéri,

Tu t'étonnes de ma retenue l'autre soir. Ne sois pas étonné, j'aime les preludes.
J'aime être apprivoisée, convoitée, désirée, captivée. j'aime que l'on ne soit pas trop pressé
Que l'on me dévore des yeux, mais avec retenue, pour que je m'habitue, peu à peu...
J'aime être hypnotisée, enveloppée, capturée, avec délicatesse, en souplesse, et doigté
J'aime être deshabillée, oui mais, pas tout de suite, pas trop vite! être effeulliée, doucement, tendrement.
Que l'on choisisse bien les mots, les gestes, ni trop lents, ni trop lestes,

J'aime qu'un homme me trouve belle J'aime son regard brulant et ses gestes de douceur
J'aime l’odeur de ses mains quand elles me caressent, de liqueurs et de sucre mêlés ;
J'aime l’odeur de son corps quand il s' approche, d’animal aux aguets et de végétaux mêlés ;
J'aime quand il vient doucement, tendrement vers moi, sans me brusquer
J'aime quand il respire, goûte les aromes qui perlent sur ma peau,
Et qu'il sent mes sens en éveil,
quand il commence à éffeuiller ma fine lingerie de soie, qu'il me libere de mes entraves, une à une.
Quand il dévoile les courbes de ma chair, celle d’une blonde pour lui plaire,
Qu'il fait éclore mon buste, degage mes appats et patiemment, écarte le pétale de mes émois,
qu'il sente le bruissement de la soie qui glisse sur ma peau, desormais fievreuse
qu'il ecoute mon corps impatient qui frémit, Et ce désir qui monte quand je murmure son nom
C'est un désir infini bien au delà des mots, Un désir insensé au-delà de la raison.
De mes lèvres douces, humides, à ma fleur intime, de la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
je sais pour lui alors le goût de mon corps, de tous ses arômes et plus encore
Je veux alors ses mains sur moi, sa peau contre ma peau, promesse d'une longue et douce nuit

Viens, je t'accueille. Ferme les yeux, et suis-moi, mon tendre coeur
Je t'invite dans mon lit. Aies confiance. J'ouvre pour toi mes draps, trouble appel de la nuit.
Je m'y glisse, consentante, t'offrant mon corps impatient,
mes lèvres déjà entrouvertes, d’un désir intense, infini,
Je t'offre ma chair nue, prête a te recevoir. Mon corps déjà se fait dunes, courbures incendiaires,
Devenue faible proie, je suis prête à glisser avec toi dans l’ultime,

Cette nuit est à toi, Viens vite dans mon lit, j'ai hâte d'être aimée
Tu vas me faire l'amour, je me ferai tendresse Nous allons faire l'amour à en mourir d'ivresse
Il coule dans mes veines le flot de la folie. Emmène moi au loin jusqu'à demain matin
Fais nous voyager tout au long de la nuit. Puisses tu faire de mon corps ton unique chemin
Caresse de tes doigts ma peau lisse et douce. Pose tes mains sur mes seins. Palpe-les. Caresse-les.
Interpelle leurs rondeurs rebelles. Sens ! Ils réagissent et pointent à ton tactile appel.
Sois enrobant, modèle, pétris mes pommes rondes, Tu fais naître chez moi un élan qui pointe vers tes yeux.
Regarde les, palpitants, arrogants, Ils se dressent vers toi, Ils réclament tes lèvres, tes mains, Ils brandissant leur émoi,
A ta bouche je t'offre ma peau douce, avant les secousses. Sache mordre mes rondeurs, avant les chaleurs.
Hume le désir qui monte entre mes cuisses gourmandes. Ecoute bruire le plaisir qui s'annonce entre nous
Donne moi tes lèvres, enflamme ma bouche, enserre mes reins de tes bras et de tes chaudes mains
Mon corps tout entier est prêt à se donner peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps.
Je m'ouvre, tendre et humide, je m'offre à toi, ne le vois-tu pas ? J'ouvre mes ailes pour toi !
Tes yeux brillent, je le vois, devant mon corps nu. A ton désir mon corps t'est offert. Croque le, maintenant !

Viens en moi doucement, tendrement. glisse-toi bien dans ma chair.
Je m'abandonne à toi, toute en ébullition. Je veux sentir ton souffle qui m'enveloppe et m'étreint,
Je veux que ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi,
Tu es là, Je te sens ! ... prend le temps ... arrete-toi ... Et puis, reviens ! ... bien au fond !
Sens mes douces caresses intimes, mes tendres contractions. Investis bien mon ventre chaud !
Non...Pas encore... Pas trop vite ! Prend le temps ... Profite de mon corps, je profite du tien !
Reprend ta course tendre au plus profond de moi, je veux te sentir vibrer dans ma chair,
Tu es doux ! Je te sens vivre dans mon corps, au plus profond de moi !
Je te sens grandir et t'affermir, délicieuse intrusion
Et maintenant ... Accélère ! ... Plus vite ! ... Mon corps a faim de toi !
Je veux que que tu me prennes tout, que le contrôle t'échappe, fondus l'un dans l'autre.
Je suis prête ! Donne moi tout ! Je veux ton jet de vie, qu'il ensemence ma terre
Réchauffe vite mon corps de ta semence chaude, infuse moi le meilleur de toi !
Lâche toi ! Jouis en moi ! Cède à la volupté, Ne te retiens plus !
Offre moi ta liqueur douce amère, qu‘elle jaillisse en moi et remplisse mon ventre.

Ton corps vibre et se tend ! Oh oui ! ... Onction bénie ! ... Je te sens !
Tu enflammes nos corps, et nos sens. Tu m'abreuves de toi,
Ta sève humide se repend dans ma chair en vagues chaudes !
Continue ! Encore ! ... bien au fond ! ... Je suis remplie de toi !
Reste bien au fond. Restons l'un dans l'autre, enlaces, emboités, délicieusement !
Garde moi dans tes bras encore quelques instants, Ne bouge pas.
Regarde moi dans les yeux, Mon corps te reclame ! j'ai encore faim de toi.
Approche-toi à nouveau, Enfonce-toi doucement, Glisse bien au fond de moi.
Tu sens ? c'est de nouveau le paradis. Et maintenant, accélère, ...
plus vite ... Bien au fond ! Et fuse dans mon ventre ! Oui !
le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir.

laisse moi regarder tout ce que j'ai reçu de toi. Je sens ta semence qui coule et m'envahit,
Je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux.
Je te garde en moi encore quelques instants. Ne t'inquiète pas de mes larmes.
Je pleure de joie. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
Ne bouge pas. Regarde moi ! Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
Entre mes jambes coule tout l'humide de notre feu. Tu m'a inondée, comblée.
Tu te retires doucement de moi. Je garde dans mon corps le souvenir de toi
Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité...