arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
jeudi 04 juillet 2024 - 00h50rech / rep
--cple-12-allong14kkmat@@axa

--cple-12-allong14kkmat@@axa
(taille reelle)
Tu t'es enfoncé en moi ()
Tu t'es enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Puis ta verge s'est de nouveau glissée le long de mes muqueuses. Tu t'es enfonçé un peu plus, tu t'extrayais, puis revenais. Je t'inondai de ma douce chaleur liquide. J'ai fermé les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, tes mouvements se sont fait plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement sensuel. Ta verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle a fini par occuper mon espace tout entier. Tu m'as demandée si j'étais bien. Je t'ai répondu que j'étais aux anges, berçée par tes douces caresses intimes. Tu t'es agrippé alors alors à mes épaules et repris tes longues penetrations. Je bougeai mon bassin pour accroître nos sensations. Tu me regardais. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, tu m'as pénetrée plus profondément, j'ai été prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me suis concentrée sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais. Tu m'as demondée si je voulais maintenant. J'avais encore besoin de tes douces caresses intimes. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je te donnai du plaisir, tu me le rendais au centuple. La pensée de ton enorme sexe dans le mien finit par me faire perdre toute retenue.
- Maintenant ! t'ai-je dis
Tu as saisi mes épaules, augmenté l'ampleur et la puissance de ton mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je fus secouée d'une série de spasmes. Je me cabrai, tu poursuivais ta chevauchée. Je jouissais encore et tu continuais. Puis tu t'arrêtas net et crispa ton regard ..... Je sentis alors un flot de toi me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Enfin tu t'es éffondré avec des grondements d'ours blessés. J'ai caressé amoureusement ta tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.