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jeudi 04 juillet 2024 - 00h56rech / rep
---cple-17-marie et louis1

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(taille reelle)
Lettre à mon mari ()
Cher Louis,

Tu te souviens ? Ce soir là, j'étais en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque tu es arrivé, j'ai bien vu dans ton regard que mon corps enveloppé dans ma belle chemise de nuit de soie blanche que tu aimes tant, ne te laissait pas indifférent. Je me suis assise à coté de toi, te diffusant sans m'en rendre compte des effluves de mon parfum sur ton visage. Cette proximité me donnait soudain des envies de te sentir un peu plus contre moi. Je ne sais pas ce qui m'a pris alors, j'ai alors dégagé un sein que j'ai livré à tes lèvres chaudes. J'ai alors senti plus nettement ton désir s'affermir contre ma cuisse. J'ai alors ressenti que mes seins réagissaient à ce contact. Tu commencais à caresser doucement ma poitrine. Je sentais tes mains caresser doucement mon dos. J'étais sous l'emprise de ton souffle chaud. J'ai alors pris les devants et j'ai posé mes levres sur les tiennes, doucement d'abord, puis de manière plus appuyée. Tu me serrais contre toi. J'eu alors une intense envie d'assouvir mon attirance violente pour mon beau corps de senior qui m'attirait terriblement. Ton sourire fut une injonction impérative. Je t'ai regardé intensément dans les yeux ... puis j'ai soulevé le drap, et je me suis glissé auprès de toi. Je me suis blotti dans tes bras. Je t'ai murmuré à l'oreille "Louis ... ton corps est tout chaud !". Tu m'as souri de tes yeux legerement embués. Je t'ai caressé, le torse, le ventre, puis ... plus bas, j'ai pris doucement ta verge, déjà bien bandée, et je l'ai caressée en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus. Mes douces caresses avient un effet rapide sur la vigueur de ta verge
Tu semblais épanoui, comblé. J'ai alors rapidement retiré ma robe de chambre et je me suis allongée sur le dos, juste vêtue de ma légere chemise de nuit que tu aimes tant et que je relevais, les jambes légèrement écartées, je t'ai souri, et je me suis tournée vers toi: "Louis ! ... Je suis prête !" t'ai-je dis, "Je crois que moi aussi" as-tu ajouté ! . Tu t'es alors installé sur mon corps, et je t'ai aidé guidé vers moi. Je t'ai demandé d'entrer doucement ... pas trop vite, pour que nous puissions jouir ensemble...
Tu t'es alors enfoncé doucement dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à toi, telle un offrande. Tu semblais bien. Tu me pénétrais tendrement, avec délicatesse. Ton souffle était lent. Tu restas un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans tes cheveux, je te carressai le visage, "tu me fais du bien" t'ai-je dis. Je te faisais sentir mes douces caresses intimes sur ton sexe qui allait et venait en moi. Je t'offrais mon corps, et tu m'offrais le tien ! J'étais une femme comblée. Tu m'as regardé tendrement en me demandant de te donner mes lèvres. Je te les offrais bien volontiers et notre baiser fut d'une sensualité profonde et intense. Puis tu as entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Ton sexe bien calé au fond de moi, tu me caressais la poitrine, titillant mes pointes dures, tu malaxais avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Tu t'occupais de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme de vieux amants.... Tu étais très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers toi à la recherche de contact, l'envie que tu me pénètres ... encore plus loin, que tu m'enlaces de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Tu me câlinais comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour te dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Tu savais me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Ton membre palpitait dans mon ventre lorsque je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Tu t'enfonçais un peu plus, t'extrayais, puis revenais. Je t'inondais de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, tes mouvements se furent plus amples, chacun de tes retraits s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Tu plongeais en moi et gonflait en meme temps. Ta verge occupait mon espace tout entier. Tu t'es mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles t'encouragaient. J'ai senti que tu n'allais pas tenir très longtemps à ce rythme et que tu étais en train de venir. Je t'ai demandé de continuer tes doux va et viens, j'avais encore besoin de tes douces et profondes caresses !
Tes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Ton sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. tu continuais tes va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Tu enfonçais ton sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin me faisaient perdre toute retenue. Tes mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses.
Je n'en pouvais plus. J'étais prête. J'avais envie que tu viennes, vite ! Je m'agrippai a tes épaules, je passai ma jambe autour de ta hanche pour que tu me pénètres encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument que tu jouisses avec moi. Je te donnai du plaisir, tu me le rendais au centuple. La pensée de ton enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. "Oh ... Louis ! ... Maintenant ! ... Viens vite ! '' tai-je supplié. Tu as alors saisi mes épaules, augmenté l'ampleur et la puissance de ton mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, tu bandais alors tes muscles et de toute la puissance de tes reins, tu te ruas au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de ta taille, m'empalant davantage sur toi, tu m'empoignais les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait, Ce fut un signal pour toi, Je t'ai senti trembler et te figer au fond de moi. Puis tu t'arreta net et crispa ton regard. Ton premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais que tu défaillais. Tes jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahissaient au même moment. Je sentais un flot me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon bel homme qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. "Oh Marie !! ...". me lança-tu dans un râle profond juste avant de t'écrouler sur mon corps. Ton sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux.
Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon bel homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais maintenant ce qui venait d'arriver. et regardais entre mes jambes ouvertes. Tu continuais à me limer doucement, ton sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de toi. Tu étais toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à tes lents et subtils va et viens. Tu m'as embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que ton membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à ta rencontre. Tu as libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, toi bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de ton sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement tes cheveux et ta nuque, toi, mon délicieux amant t'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement ta bouche pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, ta queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Tu t'affaissas, épuisé à mes cotés. J’étais aussi épuisée que toi. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.
- Louis ! Tu es si tendre, si genereux et desirable ! ...Tu m'as comblée.
- Je conserve dans ma chair un petit peu de toi. Reste bien au fond de moi. Restons l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités, délicieusement,
- Ne t'inquiètes pas de mes larmes. Je pleure de joie. Tu es mon bel et merveilleux amant !
- Louis, je te garde en moi encore quelques instants, Ne bouge pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
A bout de souffle, tu as enfoui ta tête dans mon cou, m'assenant tes derniers coups de belier puis tu t'effondras avec des grondements d'ours blessés. Tu me laissais ouverte comme jamais, obscène presque, Je caressais amoureusement ta tête nichée au creux de mon épaule.

Nous avons joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente a fait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Je t'ai pris la tête puis tes lèvres pour t'embrasser tendrement. Ton sperme chaud coulait entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux.
Puis tu t'es retiré de moi, lentement, ma vulve encore imprégnée de nos sécrétions amoureuses qui coulaient sur mes cuisses, sur les draps. Mes seins étaient couverts de marques de ses douces succions. J'étais encore toute ouverte. Tu gisais sur le lit avec ton sexe mouillé posé paisiblement à travers ton bas-ventre. Nous nous sommes serrés dans les bras l'un de l'autres baignant dans nos secretions amoureuses qui nous ont fait rire tous les deux

Ta tendre Marie