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jeudi 04 juillet 2024 - 00h12rech / rep
-amour poetique (13x-15)@@

-amour poetique (13x-15)@@
(taille reelle)
mon bien aimé (13) ()
Je m’ouvre à toi. Le sens-tu ?
Goute ce paradis de douceur qui te cerne
ce contact intime, cette communion de chairs
qui nous soude l'un à l'autre.

Savoures-tu cette douce sensation à l'extrémité de ton être,
sensation délicieuse et presque douloureuse.
Tu fais partie de moi, Tu es en moi, au plus profond de moi.
Tu appartiens à mes entrailles. Tu m’habites, je ressussite,

Mon corps pour toi se fait soyeux, de ta vigueur fais moi douceur,
sois onctueux pour mieux remonter ma chair.
Explore moi, immisce toi, faufile toi dans mes tendres muqueuses
J'aime cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir.

Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore.
Tu m'enroules, me défais, tu plonges, te retires. J'avale ton corps.
Tu caresses mes muqueuses, tu bouges lentement,
Je t'enroule et te déroule. Je me creuse pour toi,

de plus en plus profonde ... pour à nouveau me remplir de moi.
Ton amour me comble. C'est un velours, une douceur qui t'enveloppe.
Tu vas et viens doucement et ta position change
C'est une offrande totale.

prend le temps ... Resserre un peu plus fort l'étreinte de tes bras,
qui entourent et pressent mon coeur contre le tien
Tu es là, Je te sens ! ... arrete-toi ... Et reviens ! ... bien au fond !
Sens mes douces caresses , mes tendres contractions.

Investis bien mon ventre chaud !
Laisse moi glisser sur toi la fleur de mes doigts.
Tu es doux ! Je te sens vivre ! au plus profond de moi !
Tu vas et tu viens, vagues de plaisir,

Au rythme de ton corps, je me plie sans effort.
les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues,
oh tension divine. et puis la redescente des mille et une nuits ;
voluptueuse, à mordre l'oreiller.

Tu modules le rythme, tu glisses, léger, agile,
mon corps ondule, je suis fluide, féline.
mes muscles se contractent et se relâchent,
tu te tends, tu te crispes, tu haletes,

tu gemis, tu jouis de mon corps... tu vas jouir de moi, je vais jouir de toi.
agonie de plaisir, ton plaisir est le mien. J'aime ton corps qui vibre et qui se tend.
J'aime les soubresauts qui t'agitent, moi, si belle en ton plaisir.

Je remue, doucement. Je te serre de ma bouche amoureuse, juteuse comme une mangue.
Sens mes douces contractions qui pulsent dans ma vulve.
Ecoute mon corps qui respire et qui vit, ma chair qui s'ouvre et se ferme,
les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.

Regarde, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur,
ma bouche affamée qui cherche tes baisers, les larmes salées que je laisse s'écouler.
Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures.
Comme une plainte, comme un chant, la douceur de l'autre.

Je m'enfonce, tu me guides, de ta tendresse, de ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin.
Je caresse tes joues empourprées de lumière. Mes oreilles bourdonnent, ma tête s'embrase.
Jusqu'à l'épuisement, rien d'autre jusqu'au silence.
Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n\'y a pas de fin.

Tu vas et viens en moi, comme une puissante houle,
une marée secouée de violentes bourrasques,
ballotant mon être consentant au delà de la jouissance,
traversant les portes multiples de l'extase

Saveur pimentée de ton sexe, Fragrance poivrée de ton désir
Tu vas, je te retiens, tu viens, je t'aspire Oscillation, chavirement de tes pupilles
Ton corps houleux se pliant à mes lèvres Rivés en mon âme d'étang
Sucre de ma peau, sel de ma sueur Perlance de nos transparences (François d'Alayrac et Marion Lubreac)

Collés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit. caresses imprécises qui égarent nos mains.
le contact est chaud. Je te laisse coulisser au creux de ma tanniere tapissée de ma liqueur douce,
tu la mouille encore plus, tu me caresses au plus chaud de mon envie.
Tu te déverses longuement, diluant ton plaisir dans le mien, Prendre et être pris. échange total.


Oh oui, je te sens bien, tu glisses dans ma chair, C'est une sensation d'une douceur infinie.
Je goûte l'instant. J'aime tes mouvements plus amples, Ta verge plonge en moi et gonfle en meme temps.
Elle occupe maintenant mon espace tout entier. Continue, ne viens pas tout de suite ... pas encore...
Regarde moi. Pénétre moi, plus profondément, Donne moi le vertige. Je te donne du plaisir, tu me le rends au centuple.

Je pense à ce gros gland qui me fouille et que j'aime. Sens la transpiration qui perle entre mes seins,
Ecoute le clapotis de nos sexes emmélés et le claquement de nos chairs
Mon écrin si précieux si souple et vigoureux, tel un poulpe t'enserre, se détend, se resserre.
Ton sexe dans le mien, nous sommes à l'unisson de ce rythme sauvage qui nous cause ravage.

Je te sens dans mon corps, grandir et t'affermir, délicieuse intrusion
Non...Pas encore... Pas trop vite ! Prend le temps ... Profite de mon corps, je profite du tien !
Reprend ta course tendre au plus profond de moi,
je veux te sentir encore vibrer dans ma chair, C\'est si bon !



Tu m’habites. Tout s'estompe, je ressussite, je savoure cette douce sensation à l’extrémité de mon être,
ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soude l’un à l’autre.
Tu bouges lentement, tu caresses mes muqueuses, Je te suce, t'enroules et te déroule.
Je me creuse pour toi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau me remplir de moi.

Tu modules le rythme, tu glisses, légèr, agile, mon corps ondule, je suis fluide, féline.
mes muscles se contractent et se relâchent, tu te tends, tu te crispes, tu haletes,
tu gemis, tu jouis de mon corps... tu vas jouir de moi, je vais jouir de toi.
agonie de plaisir, ton plaisir est le mien. J’aime ton corps qui vibre et qui se tend.

J’aime les soubresauts qui t’agitent, moi, si belle en ton plaisir.
Je remue, doucement, j'ouvre les yeux, je cherche les tiens.
Je te serre de ma bouche amoureuse, juteuse comme une mangue.
Sens mes douces contractions qui pulsent dans ma vulve.

J'aime ce glissement onctueux, cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir.
Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin.
Je t’enroule, te défais, plonge, me retire. J'avale ton corps.
Courtisane lascive, soumise et attentive, au plus profond de moi, ton sceptre devient roi.

Tu vas et tu viens, les vagues de plaisir,
Au rythme de ton corps, je me plie sans effort.
les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller.


Ecoute mon corps qui respire et qui vit, ma chair qui s'ouvre et se ferme,
les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Regarde, écoute, touche, respire, goûte. La sueur qui perle à ma peau rougissante.
Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
Les larmes salées que je laisse s'écouler. Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps.
le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte, comme un chant, la douceur de l'autre.
Je m'enfonçe, tu me guides, de ta tendresse, de ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin.
Je caresse tes joues empourprées de lumière. Mes oreilles bourdonnent, ma tête s'embrase.
Jusqu'à l'épuisement, rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Nous nous aimons.
Il n'y a pas de fin.

Ton amour me comble et me remplit C’est un velours, total, une douceur qui m’enveloppe.
Tu vas et viens doucement et ta position change C'est une offrande totale.
Je te masse doucement de mes muscles intimes Le plaisir monte et tu jouis deux fois
Mes jambes se referment sur tes hanches et te maintiennent ancré au plus profond de moi

Tu vas et viens en moi, comme une puissante houle, une marée secouée de violentes bourrasques,
ballotant mon être consentant au delà de la jouissance, traversant les portes multiples de l’extase
Saveur pimentée de ton sexe, Fragrance poivrée de ton désir Tu vas, je te retiens, tu viens, je t'aspire
Ton corps houleux se pliant à mes lèvres Oscillation, chavirement de tes pupilles
Rivées en mon âme d'étang Sucre de ma peau, sel de ma sueur Perlance de nos transparences
(François d'Alayrac et Marion Lubreac)

Collés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit. caresses imprécises qui égarent nos mains.
le contact est chaud. Je te laisse coulisser au creux de ma tanniere tapissée de ma liqueur douce,
tu la mouille encore plus, tu me caresses au plus chaud de mon envie.
Tu te déverses longuement, diluant ton plaisir dans le mien, Prendre et être pris. Échange total.


Oh oui, je te sens bien, tu t'enfonces dans ma chair, C'est une sensation d'une douceur infinie.
Je goûte l'instant. J'aime tes mouvements plus amples, Ta verge plonge en moi et gonfle en meme temps.
Elle occupe maintenant mon espace tout entier. Continue, ne viens pas tout de suite ... pas encore...
Regarde moi. Pénètre moi, plus profondément, Donne moi le vertige. Je te donne du plaisir, tu me le rends au centuple.

Je pense à ce gros gland qui me fouille et que j'aime. Sens la transpiration qui perle entre mes seins,
Ecoute le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs Je veux un souvenir de toi dans mon ventre !
Donne moi ta sève ! Maintenant ! Remplis moi de toi !Je sens que tu viens ! Je me cabre, Je jouis !
Tu t'arrêtes net et crispes ton regard ..... Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur.

Affaisse toi sur moi, j'aime tes grondements d'ours blessés. Laisse ta tête nichée au creux de mon épaule.
Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.

Mon écrin si précieux si souple et vigoureux, tel un poulpe t’enserre, se détend, se resserre.
Ton sexe dans le mien, nous sommes à l’unisson de ce rythme sauvage qui nous cause ravage.
Mes doux cris de supplique pour mieux que tu me lisses, Tes tendres gémissements et ta verge qui se tend.
Tu n'es plus qu’un phalle qui violemment m’empale et boute dans mon trou, où je te tords le cou.
Les vagues du désir s’en viennent te saisir, avivant durement comme poutre ta folle envie de foutre.
Et puis nous défaillons, ensemble nous jouissons: doux cocktail de sperme et de cyprine.
(Jean-Claude)