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mercredi 03 juillet 2024 - 23h46rech / rep
--amour poetique 1

--amour poetique 1
(taille reelle)
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Viens, je t'accueille au gré de mon humeur.
Ferme les yeux, et suis-moi, mon tendre coeur
Je t'emmène avec moi, viens vite dans notre chambre,
j'ai hâte d'être aimée

J'ouvre pour toi mon lit, trouble appel de la nuit.
Mes lèvres sont déjà entrouvertes, d'un désir intense, infini,
Je t'offre ma chair nue, prête a te recevoir.
Mon corps déjà se fait dunes, courbures incendiaires,

Mon corps tout entier est prêt à se donner peu à peu,
telle un offrande. Telle une fleur au printemps.
Je m'ouvre, tendre et humide, je m'offre à toi,
ne le vois-tu pas ? J'ouvre mes ailes pour toi !

Tes yeux brillent, je le vois, devant mon corps nu.
Ton sexe vient à grandir aux portes que tu viens d'ouvrir...
A ton désir mon corps t'est offert. Croque le, maintenant !

Sens mes sens en éveil, observe bien ma peau
Regarde s'en échapper la sueur par ses pores
Qui semble, à s'y méprendre, ressembler aux joyaux
garnissant le coffre du plus beau des trésors

N'arrête surtout pas tes murmures, tes caresses.
Fais-moi tendre mes muscles, comme les cordes d'une cithare,
Je ne résiste plus, intérieurement je fonds

J'ai les jambes tremblantes, Tu me laisses encore trop dans l'attente de toi.
Ma chair s'ouvre et se ferme comme un coeur qui palpite
Mes pensées s'agitent vers mille rêves impudiques.
Viens en moi doucement, tendrement. Viens en moi lentement, pofondement.

Viens en moi, je t'en prie et glisse-toi dans ma chair.
Je m'abandonne à toi, toute en ébullition.
Tu glisses enfin en moi, Je t'accueille et tu viens, lentement, tendrement,
Je t'enmène avec moi éclairer notre nuit.
Tu t'enfonces en mon sein et nous quittons le monde.
Se fondre et se confondre, Se perdre dans l'espace immense.

J'aime sentir ton souffle qui m'enveloppe et m'étreint,
J'aime quand tu t'enfonces, jusqu'au fond de mon corps.
Rythme bien ton ardente caresse Au gré de mes balancements,
Ô mon âme... Lentement, Prolongeons l'instant d'ivresse.

Je t'emmene au fond de mon jardin secret tapissé de terre mouillée
je suis la profondeur de l'arbre, l'entre branches, l'entre jambes
Tu entres dans ma chambre noire pour y développer tes rêves
Tu en franchis le seuil, tu pénétres dans mon ombre caressant au milieu ma douce amande (Libera)

Faisons l'amour comme à 16 ans,
timidement,
Comme un beau soir d'adolescence
Dis-moi les mots qui n'osent pas.
Fais-moi les gestes qui hésitent.
étouffons nous entre nos bras
Faisons l'amour un peu trop vite,
avec tes larmes et des serments,
fais-moi l'amour avec le coeur
Sois maladroit, et moi docile
Soyons émerveillés, un peu émus (Marie Laforet)

Fais-moi l'amour avec tes mains, l'amour avec tes reins, l'amour avec ton corps
Fais-moi l'amour avec tes yeux, l'amour avec tes jeux. Fais-moi l'amour encore
Fais-moi l'amour avec tendresse, l'amour plein de caresses, l'amour avec ton cœur
Fais-moi l'amour avec envie, l'amour avec ta vie, je me donne toute entière.

J'aime que tu me trouves belle J'aime ton regard ardent et tes gestes de douceur
J'aime ton souffle haletant qui m'enveloppe et m'étreint,
J'aime quand ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi,
J'aime quand nous quittons ce monde, fondus l'un dans l'autre.

Goute ce paradis de douceur qui te cerne, Je m’ouvre à toi et te dévore.
sensation délicieuse et presque douloureuse. Tu es en moi, au plus profond de moi.
Tu appartiens à mes entrailles, tu fais partie de moi, Tu m’habites, je ressussite,
Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps.

Mon corps pour toi se fait soyeux, de ta vigueur fais moi douceur,
que ton sexe glisse, se fasse onctueux pour mieux remonter ma chair.
qu'il m'explore, remonte, s'immisce dans mes tendres muqueuses
qu'il m'explore plus loin, se faufile, me pénétre.

J'aime ce glissement onctueux, cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir.
Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t'enfonces ... loin, très loin.
Savoures-tu cette douce sensation à l'extrémité de ton être,
ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soude l'un à l'autre.

Ton amour me comble et me remplit. C'est un velours, une douceur qui m'enveloppe.
Sens-tu mes douces caresses, mes contractions intimes, au fond de mon corps
Tu modules le rythme, tu glisses, léger, agile, mon corps ondule, je suis fluide, féline.
Tu vas et tu viens, Je te sens vivre au plus profond de moi !

Ecoute mon corps qui respire et qui vit, ma chair qui s'ouvre et se ferme,
les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre l'oreiller.

J'aime les soubresauts qui t'agitent, moi, si belle en ton plaisir.
Regarde, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante.
Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche tes baisers,
Tu jouis de mon corps... tu vas jouir de moi, je vais jouir de toi.

Je m'enfonce, tu me guides, de ta tendresse, de ton envie. Je caresse tes joues empourprées de lumière.
Je te sens dans mon corps, grandir et t'affermir, délicieuse intrusion
il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures.
Comme une plainte, comme un chant, la douceur de l'autre.

Non...Pas encore... Pas trop vite ! Prend le temps ...
Profite de mon corps, je profite du tien ! Reprend ta course tendre au plus profond de moi,
Collés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit. caresses imprécises qui égarent nos mains.
Mon écrin si précieux si souple et vigoureux, tel un poulpe t'enserre, se détend, se resserre.


Je suis nue contre toi, dans nos draps en désordre, Tu allumes un feu qui m'éblouit bien fort.
Tu enflammes nos corps, et nos sens, mes nerfs soudain s'affolent,
Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément.
Tu me sens trembler et je t'entends gémir. Nos corps sont agités par de violents frissons,

Une plainte étouffée, de légers tremblements et puis, un presque cri.
Et ce plaisir qui monte, nous touchons aux étoiles !
Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, tendue comme un arc, tu remues en moi la terre et le feu
Plante toi profond, généreux en ma terre. à l'unisson de ce rythme sauvage qui nous cause ravage.

Je te veux cru tout à moi. Ton sexe dans le mien,
De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent,
qu'elles me sucent, m'engloutissent.
Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.

Mon corps a faim de toi ! Je veux ton jet de vie, qu'il ensemence ma terre
Dans la douceur de mes draps, infuse moi le meilleur de toi !
Ton corps vibre et se tend ! Cède à la volupté, Je suis prête ! Oh oui ! ...
Ta sève humide se repend dans ma chair en vagues chaudes !liberation heureuse

Tu enflammes nos corps, et nos sens. Tu m'abreuves de toi,
Les salves se succèdent irradiant nos sens. Tu es la vague, moi l’île nue ...
Tu vas et tu viens entre mes reins Je murmure ton nom, tu murmures le mien !
Je t'aime ! Oh oui je t'aime ! Oh mon amour... (Serge Gainsbourg)


Tu es en moi, et plus rien ne compte. Tu m’offre ton plaisir, je t'offre mon plaisir.
Nos corps se relachent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être.
Reste bien au fond. Restons l'un dans l'autre, enlaces, emboités, délicieusement !
Garde moi dans tes bras encore quelques instants, Ne bouge pas.

Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
J'aime tes grondements d'ours blessés, ta tête nichée au creux de mon épaule.
Entre mes jambes coule tout l'humide de notre feu.
Une bulle lumineuse nous coupe du monde.

Tu es blotti contre moi, inerte et si vivant. Je me sens riche de toi,
Apaisés, vidés, comblés, rêvons d'éternité, je veux qu'en cet instant le temps se décompose,
Regarde moi dans les yeux. Dans mon corps, cette sensation de puissance
Je me sens vidée, attrapée jusqu'à l'âme. Tu souris. Je perds pied.

Nos chaleurs enmelées, nos corps enboitées, nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été
J'ai l'été dans les reins J'ai dans mes seins gonflés les parfums de la terre
J'ai ouvert mes jambes à ta semence
et dans mon ventre bleu, j'ai la mère des étoiles. (Pierre Perret)

Ne t'inquiète pas de mes larmes. Je pleure de joie.
Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux.
Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps.
Enflammée jusqu'au coeur. Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux.


Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés
avivés par ces mots impudiques à mon oreille murmurés
Tu as ensorcellé ta belle aux jupons parfumés

Tu as été très tendre, un ange de douceur.
comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin.
tu m'as rendue insatiable et enflammée, Je voulais tout de toi,
C'était bon, merveilleux, pétillant...

Surprendre l'infinie tendresse Apprendre la douceur de tes mains
Frémir à l'idée de l'instant prochain Et succomber sous tes caresses
Enchevétrer nos pudeurs Briser les chaînes de nos interdits
Entrevoir les chauds secrets enfouis Et déchaîner nos ardeurs

Nous passames des jours d'amour et d'harmonie, De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie,
De regards confondus, de soupirs bienheureux, Qui furent deux moments et deux siècles à deux.
L'extase avait fini par éblouir nos âmes, Comme seraient nos yeux éblouis par la flamme.
Troublés, nous chancelions, et le troisième soir, nous étions enivrés jusques à ne rien voir (Alfred de Vigny)


Une nuit avec toi ... C'est un ciel qui s'illumine, C'est l'amour qui domine,
c'est un oui dans un râle, des caresses intimes que l'on dit immorales
C'est le désir présent c'est le oui de nos corps et nos yeux qui réclament encore
C'est les non, c'est les oui, C'est un plaisir sans fin C'est le mien c'est le tien,
c'est un cadeau de la vie Que l'on veut quotidien,
c'est les étoiles qui brillent Quand le soleil revient dans nos yeux qui scintillent

Te souviens-tu des premiers pas de notre amour ? Il était tout de charme et de vague contour,
Et tes mains s'attardaient à leurs prises premières ; Nos yeux savaient déjà se prendre leurs lumières :
Les miens plus clairs vivaient dans les tiens plus foncés, Nos voix disaient bien plus que les mots prononcés,
Ton timbre frais et tendre encore me remue... Alors tu m'appelais... Tu m'attendais émue
(Paul Valery)