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samedi 06 juillet 2024 - 15h02rech / rep
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(taille reelle)
confinement sensuel ()
Je me glisse dans l'échancrure du chemisier. Je sens et respire la splendeur de sa gorge. C'est merveilleusement doux, Je découvre pour la première fois ses deux belles poitrines. Deux seins bien ronds, bien souples, harmonieusement dessinés, sublimes, à peine affaisés sur la dentelle. La douce chair laiteuse contraste avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevent des tétons turgescents. Les bretelles du soutien-gorge sont affaissées sur ses bras. Je flatte son sein soyeux, de mes mains chaudes. Elle aime. J'effleure doucement ses tétons au bout dur et nacré. Elle aime.
Elle a extrait plus bas mon arme bien affutée, et se l'enfile sans vergogne, je m'immisce, je glisse, j'arpente, elle soupire. Je me fais onctueux pour mieux remonter ses flancs. Elle apprecie ma chaleur, ma douceur. J'explore, je descends, je glisse mes mains chaudes sous sa combinaison de soie, j'explore plus loin, je creuse, me faufile, pénètre, je sens, son humidité abondante, majestueuse. Je me perds totalement entre ses lèvres. Je goute son parfum de femme.
Installée sur moi, Barbara sait développer ses charmes et ses effluves sous mon nez et mes yeux, tout en se faisant plaisir en coulissant sur mon mat. La caresse de ses muqueuses sur ma verge est étonnamment douce, je me détends en elle, elle se penche sur moi, me donne un sensuel baiser et se releve en me souriant avec tendresse:
- Tu aimes ? ... Moi aussi !
- Maintenant, tu es chez moi ! tu m'appartiens !
Sa caresse est divine, parfumée et c'est tellement doux. Je me sens dur comme le bois, aspiré, suçé, coulissant délicieusement dans son ventre. Elle se penche en avant et frotte ses seins sur mon visage, elle monte et descend sur moi, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'est suave, je suis au paradis, je découvre cette sensation délicieuse d'une partie de mon corps massé dans son ventre doux, glissant en elle comme dans du beurre. Je suis bien, elle me sourit.
- Oui ! c'est bon ... mon amour ! Je te sens bien, reste comme ça, tu me fais du bien !
Ma queue reste bien enfouie dans ses chairs moites, elle prolonge son plaisir, le spectacle de ses seins ballottant au-dessus de moi m'excite au plus haut point, j'ai besoin de les prendre, les caresser, les palper. Son regard devient vitreux. Je bande, de plus en plus fort au fond de son vagin brulant. Je la tiens par les hanches et elle souleve son bassin puis s'empale de nouveau avec un soupir de satisfaction en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois. Je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum. Plantée à fond sur moi, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus !
- Oui mon chéri, caresse bien mes seins, ils t'excitent ! Palpe les bien ! Tu m'excites toi aussi !
J’adore le corps de Barbara. Son corps, ses seins, son dos sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, je lui palpe les seins et elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements. Elle s'ouvre totalement à moi. Elle m'accueille dans son ventre chaud qui m’enserre, me presse. Son intérieur est si humide que je touchais le fond à chacun de mes mouvements. Je la regarde droit dans les yeux pour retarder l’explosion qui guette. Elle coulisse sur moi avec retenue, se retirant à chaque fois pour mieux goûter au plaisir de se faire pénétrer à nouveau. Je vois ses prunelles bleues s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- Oh, ma chérie, c'est si bon ! Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds.
La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs sont fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule de la croupe, lubrifiant mon mat de ses fluides amoureux.
- Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Son apparent désarroi décuple son excitation ... et la mienne. Elle se contracte, le souffle de plus en plus court, elle accélére la cadence, se déchaîne sur moi, ses seins ballottent de droite à gauche, elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Ce prodigieux spectacle déclenche chez elle et moi une jouissance toute aussi intense. Un plein récital. Je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier toujours plus, Je veux me retenir, mais malgré moi, je me sens venir. Je ne peux plus rien empêcher et j'expulse mon sperme bien au fond dans son ventre, je jouis à n'en plus finir, elle le ressent et m'encourage,
- Oui ! Continue ! C'est bon ! Remplis moi bien !
Je jouis en elle, un flot de sperme gicle par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je suis comblé! et elle aussi ! Nous nous affalons l'un sur l'autre, vidés de nos substances. Je sens couler nos sécrétions sur les cuisses gluantes de Barbara, le long de nos peaux moites, la respiration haletante. Elle se couche sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes comblés, apaisés, heureux.