arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
samedi 06 juillet 2024 - 16h00rech / rep
--stud-11-cpt-w1-54@ adct-03

--stud-11-cpt-w1-54@ adct-03
(taille reelle)
La voix de Barbara ()
La voix de Barbara est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds se devinent sous le décolleté, les pointes se détachent en relief sous le tissu du chemisier. Je suis litteralement scotché
- Ils sont à ton goût ?
J’ai l’impression de manquer d’air tout à coup.
- Tu peux les caresser si le cœur t'en dit.
Je tente de me ressaisir. Elle se penche sur moi à me toucher et je m’étrangle en respirant son parfum. Je sens la chaleur de son corps. Elle se colle et m’enlaçe ... puis me tend ses lèvres. Je tente de resister mais plus bas, mon désir monte, presque douloureux, c'en est presque indecent.
- Dis moi ... je ne te laisse pas indifferent !
Gené, je cherche à detourner le sujet
- Comment une reaction physiologique ? C'est quoi une reaction physiologique ?
Elle se colle à moi. Je sens ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser sur mon cou et une main qui vient jauger délicatement le relief de mon pantalon
- Dis moi , ta réaction physiologique s’est développée !
J'ai le corps en feu.
- Cool Paul ! Vas-y, laisses-toi aller, la vie est belle.
J'ai du mal à garder une contenance et mon embarras semble l'amuser
- Paul je sens ton regard et ça m’excite me lance-t'elle en se caressant un sein à travers son chemisier
- Je ne peux pas te laisser comme ça ... Laisse moi faire !
Et d’un geste très naturel, elle défait ma braguette et extirpe mon sexe douloureux. elle se penche, m’avale le sexe tout entier puis le suce langoureusement. Dieu que c’est bon ! Je me raidis sous la caresse J’ai l’impression que mon âme est aspirée par sa bouche. Le plaisir monte rapidement, monte jusqu’au jaillissement dans une telle jouissance que j’en ai des éblouissements lumineux. Elle se redresse d’un petit air satisfait.
- Te voilà soulagé !
Je sens bientôt un pied nu chercher le mien je m’abandonne à la caresse. elle se colle dans mon dos, m’enlace et se frotte à moi doucement. Sa main touche la bosse de mon pantalon.
- Hé Paul, tu sais quoi, il y a ton érection qui t’as repris.
Elle commence à me masturber sur le tissu tout en continuant à se frotter dans mon dos. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. Elle m’embrasse délicatement, se colle à moi, par devant cette fois, elle m’enlace et m'embrasse. Je l’embrasse pour la première fois, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe. Quelques frottis frotta puis je sens mon sexe aspiré par une main volontaire, elle me tient maintenant fermement contre elle, Sans avoir le temps de réagie, voilà que je me sens d'un coup aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit Je suis tellement excité que j’éjacule très rapidement. Je me reveille le lendemain matin, elle est là dans l'embrasure de la porte Elle porte une nuisette noire qui ne cache pas grand chose. Elle est là debout, passivement provoquante. Ses yeux me sourient, ses seins palpitent doucement sous la nuisette. Je suis litteralement aimanté vers elle. Je me colle à elle et elle m’embrasse. Je palpe un sein. J’en lèche longuement le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe à l’autre. Je caresse d’abord doucement ses gros seins puis plus fort jusqu’à la faire gémir. Alors je descends jusqu’à son sexe. J’écarte les pans de son déshabillé et j’y infiltre ma langue à la recherche du clitoris. Je le titille de plus en plus vite. Elle me prend la tête pour la presser avidement contre son sexe. Je la suce avidement. Elle se laisse glisser sur le sol. Je remonte doucement tout en l’embrassant le long de son corps jusqu’à la pénétrer d’un seul coup. Je reste un moment immobile, enfoncé au maximum et nous savourons la sensation de sentir l’autre. Alors doucement je me retire puis reviens, encore, et encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre.
Elle m’entraîne dans sa chambre et me pousse sur le lit. Elle se déshabille devant moi. Ses longs cheveux noirs retombent sur ses épaules.
Les seins pourtant lourds se dressent fièrement. Elle s’allonge sur moi, commence à se frotter ravivant mon désir. Je l’enlace et la pénètre à nouveau. Cette fois notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi