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samedi 05 octobre 2024 - 09h08rech / rep
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(taille reelle)
Angela ()
Angela passait l'aspirateur à quelques mètres de moi. Sa robe de chambre fluide soulignait une croupe genereuse et une belle poitrine, légèrement mobile. je la voyais se mouvoir, de maniere terriblement sensuelle, je sentis un désir inextinguible monter en moi. En quelques pas, j'étais près d'elle. Je mis ses mains sur ses hanches.
Elle se retourna, me vit, pâlit et laissa tomber le manche de l'aspirateur. Debout, comme siderée, elle semblait attendre. Je l'attirai vers moi, très doucement, lui faisant sentir de maniere assez explicite la realité de mon desir. Je mis mon bras autour de ses épaules et la guidai vers la chambre d'ami. Ses yeux à demi-clos me scrutaient. Les bras écartés, offerte, immobile, elle semblait soumise. J'entrepris de la déshabiller. Elle était totalement passive, mais dans ses yeux brillait une forme de désir. Je détaillais ses formes, sa peau sombre, sa toison développée, ses beaus seins, souples, et legerement tombant. Je bandais comme un fou entre ses jambes. Elle ne pouvait pas l'ignorer. Docile, elle écarta les cuisses lorsque je commençai à lui masser la vulve, elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas. Ma main fouillait sa chair intime d'où sourdait un musc parfumé. Je touchais et flattai doucement son clitoris. Elle eut alors un leger spasme, doublé d'un discret gemissement rauque; ses mains se glissèrent sur mes joues, me caressant doucement le visage. Je l'embrassai goulûment à pleine bouche. Sa bouche, un peu froide, se donna, mais ses mains me bloquèrent aux épaules quand je voulus m'introduire en elle.
- "Monsieur !. Que faisons nous ?" soupira-t-elle entre deux soupirs.
Je n'en pouvais plus, je la voulais. J'avançais mon gland à l'entrée de sa vulve. le gland entra immédiatement dans son ventre. Elle eut un soupir puis se cambra avant de se détendre. Je la pris alors par les hanches et continuai de m'enfoncer dans son ventre. Quelle extase! Son vagin commença à répondre à mes sollicitations. Elle se cambra un peu plus et je pus m'engager jusqu'au fond, avec infiniment de douceur. L'étreinte de son vagin était sublime. Ses gemissements à chaque poussée, ses soupirs plus rauques à chaque dégagement. Je n'allais pas pouvoir tenir longtemps .... Ses propos étaient incompréhensibles mais exprimaient de manière on ne peux plus claire son excitation et son plaisir. Je coulissais en elle comme un animal en rut. Mes bourses, trempées de sueur et de musc, venaient frapper sur ses cuisses, toujours plus vite, toujours plus sonores. Les claquements venaient à un rythme hallucinant. Puis, je sentis l'orgasme arriver, je m'enfonçai à fond en elle et déversai mon foutre en longs jets dans ses entrailles visqueuses en une succession de cris rauques. L'ultime jet nous terrassa. Pendant de longues minutes, nous restâmes collés l'un dans l'autre dans un mélange de sueur, de musc et de foutre, qui dégoulinait maintenant entre ses cuisses.

Nous reprîmes nos esprits. Je fus le premier à me lever et à lui apposer un baiser tendre sur la nuque. Après mes ablutions, je la conduisis vers la salle de bains. Là, Angela, le visage défait et épanoui à la fois, pris pour la première fois une douche chez moi.
je la regardai se laver.
- "Merci, Monsieur" parvint-elle à me dire.
Je voulus l'embrasser mais elle se détourna. Déçu, je voulus lui dire quelque chose mais elle me devança:
- "Il vaut mieux non, Monsieur. Je vais aller travailler. Il y a encore beaucoup choses à faire dans la maison".