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samedi 05 octobre 2024 - 09h07rech / rep
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(taille reelle)
pulsion soudaine ()
Avec le bruit des machines, Angela ne m'a pas vu. Elle ne sait pas que je la vois. Sa main déboutonne le haut de son chemisier, avant de disparaître dans son soutien gorge et commencer de subtiles caresses.
Son soutien gorge laisse bientôt s’échapper ses seins généreux aux pointes maintenant durcies. Sa respiration devient haletante, Après avoir écarté un peu plus ses jambes, sa main droite remonte entre ses cuisses, relève sa jupe. Sa main y plonge afin de poursuive ses caresses intimes. Sa main s’active, elle sollicite son clitoris. Sa respiration se fait plus rapide, son corps ondule sans retenue, sa langue lèche outrageusement ses lèvres. ses yeux brillent. Je n'en peux plus.

Je m'avance lentement vers elle, et j'agrippe ses hanches. Elle sursaute, désorientée, cesse brusquement ses caresses intimes, visiblement interrompue brutalement dans son rêve érotique,
Elle veut reprendre ses occupations sur la table de travail mais je me presse contre elle et lui signifie un autre projet pour elle, et pour moi. Je m'empare de ses seins. Je les libere de leur carcan de tissu. Ils jaillissent énormes, d'un blanc laiteux parsemé de veines bleues. Les bouts sont durs. Je les malaxe dans tous les sens, la chair a un moélleux exceptionnel.
Je la plaque contre le mur, elle n’offre aucune résistance. je n’y tiens plus. Ma main remonte sous sa robe, relèvent et glissent sous sa combinaison de nylon. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Je me sens mâle en rut. La tension est si forte ! Je n’en peux plus. Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore.
Je commence à la déshabiller. Elle ne resiste plus vraiment. Sa robe tombe au sol, soutien-gorge de dentelle et culotte en satin. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. Collé contre elle, je lui fais sentir ma vigueur de mâle, ma verge se dresse bien raide et bien dure entre ses cuisses. Sa vulve que je palpe est complètement trempée et distendue
Nous avançons lentement, je l'installe sur la table, moi lui barattant avec mes doigts ses intimités, Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle devient toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe, toute molle. Mon sexe a doublé de volume et devient sensible, presque douloureux. Je la tire vers moi, lui fais écarter les cuisses, je guide mon penis, je la pénétre lentement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. J'empoigne ses fesses et la souleve au maximum, sa grotte est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Elle halète, tend ses lèvres, me caresse le torse. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne et la fait rouler à côté de moi. Comme je n'ai pas encore joui. j'enfonçe de nouveau mon sexe dans sa fente et fait coulisser mon gland. Et je pars en de longues giclées dans son ventre.
Une poussée, deux poussées, Ohh Ouuii ! et je la remplis.