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samedi 05 octobre 2024 - 08h56rech / rep
cpt-s1-136@ serv-08

cpt-s1-136@ serv-08
(taille reelle)
un homme fort ()
Monsieur était un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, attirant, élégant. Je n'étais pas insensible a sa présence et parfois même au contact de son corps quand il était proche, trop proche de moi. Je le voyais souvent regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Le contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je me sentais rougir. Mais j'évitais de trop manifester ce que je ressentais.
Un jour, il s'est rapproché de moi et ses bras m'ont entouré de maniere affectueuse, saisissant doucement mes reins. Je n'ai pas vraiment protesté. J'ai alors tres nettement senti contre moi un relief explicite. Je me laissais aller à imaginer, l'effet d'une aventure avec lui, et je commençais malgré moi à me frotter contre lui. j'étais profondément perturbée. J'étais debout contre lui et me sentais plutôt instable Je l'ai alors senti m'aider à garder mon équilibre. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement qu'il bandait sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage.
Sans me laisser le temps de réagir ses lèvres se sont posées sur les miennes. Elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Il avait pris mes seins dans ses deux mains qu'il commençait à caresser et à palper. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis quand même détaché de lui
- Monsieur ! Nous nous laissons emporter ! Nous somme en train de faire des bêtises !
Il m'a chuchoté de vagues excuses, je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes lèvres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à résister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus, petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était vraiment magnifique. Il a ouvert la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins généreux. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché et s'est mis à sucer si delicieusement les pointes de mes seins que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Mes genoux fléchissaient de nouveau et j'avais absolument besoin de m'asseoir au bord du lit pour reprendre mes esprits. Il est venu s'asseoir à côté de moi, et, rapidement, sa main commença à me caresser les jambes
- Monsieur, vous êtes doux avec moi mais ... où voulez vous m'emmener ?
Nous étions proches, trop proches. J'ai senti sa main chaude qui remontait sous ma combinaison et commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. Il venait de toucher un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de ma culotte de soie, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Monsieur, J'ai si chaud ... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase.
Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. Je ne cherchais même plus à résister, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et qu'il s'était installé entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, mais quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais ....
- Non, Monsieur, s'il vous plaît !
- arrêtez, je vous en supplie,
C'est alors qu'il commença à pousser en moi le gland. Je résistais ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas ! J'ai protesté encore, J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression.
- Oh Monsieur ! Non ! Ce n'est pas bien ! Je ne sais plus où j'en suis.
Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration.
Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'étais remplie de son sexe. j'ai senti alors mon orgasme qui commençait à monter rapidement. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi,
C'est alors que je l'ai senti .... Son corps entier a basculé en avant, Il a gémi très fort ... et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
- Oh Monsieur ! Non ! Que faites vous ? Retirez vous ! Il ne faut pas !
Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouissait en moi.
- Mon Dieu ... votre..sperme... à l'int...érieur de moi... Qu'avons nous fait ?
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui, je sentais également que son membre recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort,
- je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ?
Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié,
- non, restez à l'intérieur de moi, je veux vous sentir... venir…encore… s'il vous plaît ! C'est si bon !
Il m'a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer et ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé mon patron dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.