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samedi 05 octobre 2024 - 09h03rech / rep
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(taille reelle)
le feu entre les jambes ()
Je sentais ses doigts remontant sous ma chemise de soie qui crissait doucement. La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, faisait monter mon desir de lui. J'étais là, contre lui, il était contre moi, dans l'attente de moi. Ses mains se risquaient à explorer mon corps, il caressait mes épaules. Je me laissais faire. Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’attardait. J'aimais ses caresses. Je fermais les yeux, Petit à petit je m’abandonnai à lui. Je lui caressais lentement les cheveux avec une infinie tendresse, je lui prenais les mains, les serrais, les embrassais. il me fixa tendrement, le feu a pris alors naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrirent. Sa main effleura mes lèvres intimes qui s’entrebâillèrent. Ses doigts s’attardaient, s'introduisirent. Deux caresses intimes, je chavirai dans ses bras. Tout mon corps se raidissait, ma tête brinquebalait, mes muscles se contractaient. Je me mordis les lèvres, Je resserrai mes cuisses et j'emprisonnai sa main. Puis ... je retombai ... inerte, en sueur.
Je repris mes esprits.
J'avais terriblement envie de lui, je le désirais, violemment. Je commençais à defaire sa ceinture, il me laissa faire, m'encouragant à continuer, et je libérais son sexe que naturellement je dirigeai vers le mien, je lui fis signe de venir, sans attendre ... Il me penetra doucement, lentement, progressivement. Mes chairs se distendaient. je l'accueillais en moi. J'étais comblée, remplie. Je l'aspirai en moi. il me tenait par les hanches et il m’accompagnait. Je le sentais me fouiller, me remplir. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. il colla son ventre contre le mien et s’immobilisa un moment, nous étions completement emboités l'un dans l'autre. il se remit à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe. la caresse était douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. La tension allait s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir en moi. je frissonnais, je tremblais.... Tout mon corps se mit à vibrer à chaque penetration. Je partais ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, la tension se relâcha, le ciel s’ouvrit ... Une marée s'écoula, se répandit. Je m'abandonnais à lui, me livrais aux flots qui m'absorbaient... Je m'abîmais, sombrais, m'anéantissais ... milles bulles éclataient. la tempête s’apaisa , Il restait planté en moi, immobile ... un moment ... puis il reprit ses mouvements se remit à glisser en moi, mes seins ballottaient. Je mordis le coussin du canapé ... Il s’immobilisa, sa verge se contracta au fond de mes entrailles. Il venait ! ....Il jaillissait dans mon ventre ! .. Un flot de semence se répandit en moi. Un interminable frisson voluptueux courut tout au long de mon échine. Libération !

Puis l’amplitude des pulsations faiblit en longues ondulations... Les éclats se font plus pâles, les lueurs plus diffuses, tout s’estompe... Des voiles se referment, le théâtre s’éteint. Elle perçoit ma chaleur humide, la moiteur mouillée qui s’épanche de son corps. ma respiration se fait plus profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité... mon corps est repus... sa queue encore molle glisse hors de mon fourreau humide ... Je m'attendris ... je suis légère, toujours ouverte. Il me regarde. nous sommes épuisés l’un et l’autre.
Il m'emmène chez lui.
Une nuit de tendresse, de câlins, de caresses, un moment de sommeil, un moment de réveil ... il me regarde ... l'effet ne tarde pas. Son sexe pulse, s’élève en longues ondulations. Il gonfle et se hausse. Il redevient raide et tendu. Il s’érige et se dresse dans une ascension irrésistible. Il brûle d’une fièvre ardente, Il est maintenant dur et rigide, C'est un manche, une gouverne. J'ai de nouveau envie de lui. Je serre mes cuisses, les frotte l’une contre l’autre, retrousse ma robe de nuit, découvre mes longues cuisses. Je monte sur lui, j'enfile son sexe trempé dans le mien, prend sa tête entre mes mains. Je plonge mon regard dans le sien et vient déposer un baiser enflammé sur ses lèvres. Je sens des reliefs noueux qui glissent dans mon ventre. Je coulisse sur lui Je me fait enveloppante, mes lèvres pulpeuses massent delicieusement son sexe bandé. Je le suçe, je me remplis de lui. Je l’aspire, l’absorbe, le relâche. Je sens la tension augmenter dans mon ventre, sa rigidité s'accentue. son sexe palpite, une sorte de vibration annonce l’imminence liberatoire. Puis, par à-coup giclent de longs jets de sperme qui tapissent mes muqueuses. les soubresauts diminuent et laissent place à un épanchement bouillonnant de flots laiteux. Je reçois son offrande.