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jeudi 11 juillet 2024 - 22h17rech / rep
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(taille reelle)
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je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je commençai à caresser ses poitrines souples. la chaleur monta à ses joues, la faiblesse s'installa dans ses jambes. L'une de mes mains descendit le long de son ventre, se glissa sous l'élastique de la robe,
- Ecoutez, je ne peux pas me concentrer si vous continuez, me dit-elle à bout de souffle.
je fis pénétrer en elle un doigt, lentement, en pinçant l'un de ses seins à travers le soutien-gorge. Lise poussa un long gémissement, se cambra, puis essaya à nouveau de se concentrer sur les mots écrits. je me mis à dégrafer son soutien-gorge, Je commençais à la sentir s'abandonner, fragile, dépendante.
- Vous en êtes où ? lui demandai-je
Elle chercha à me balbutier une réponse incompréhensible, mes doigts se mirent à la fouiller de façon plus franche. Elle poussa un cri, écarta d'un geste souris et clavier, et s'accrocha à la chaise pour se cambrer au maximum. J'avais du mal à garder mes doigts en elle, mais elle ne tarda pas à avancer le bassin pour que je puisse aller plus au fond. La main en coquille sur son sexe, je commençai à la branler activement. Lise se laissait aller, je la sentais offerte sous mes mains, son corps bougeant de lui même, ses halètements se faisant de plus en plus débridés, Elle jouit alors en retenant un peu ses cris, secouée par ses spasmes, Nous avons alors échangé un sensuel baiser, mes doigts toujours en elle.
- Je n'en peux plus ! Vous m'avez poussée à bout ! Je suis à vous, je suis prête !
c'était bon, pour moi et pour elle, Je la pris sur la table, je la baisais. Je bougeais en elle, de plus en plus vite, elle ondulait sous moi et nous cherchions tous deux à nous accorder. Je n'étais plus très loin de l'apothéose, et elle non plus je pense. Quand j'ai vu ses mains chercher à s'accrocher à quelque chose, je les ai prises dans les miennes et nous avons joui presque ensemble, elle juste après moi. je la regardais dans les yeux en gémissant alors que ma semence tapissait ses parois intérieures. et elle partit dans une série de cris ponctuant son plaisir. Après un long moment passé à nous embrasser, j'ai glissé à côté d'elle, nous nous sommes essuyés et elle s'est lovée dans mes bras. Je l'ai alors invitée
- Venez, je vous emmène chez moi !