arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
jeudi 11 juillet 2024 - 22h53rech / rep
--secr-captures5-52@-gpe

--secr-captures5-52@-gpe
(taille reelle)
l'un et l'autre tour à tour ()
Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour
Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour.
Si je suis en tristesse L'un se met aux caresses
Et l'autre avec adresse Me parle de mes fesses
Pour l'un je suis l'acquise Pour l'autre l'insoumise
Mais les deux m'ont conquise
Ils sont tellement mignons Tous deux à leur façon
Et le brun et le blond Mes amants polissons
Le brun est impudique Le blond est angélique
Mais les deux sont phalliques Comme 2 soleils magiques
Et tous les deux m'ont prise Et bien qu'ils soient ardents
J'ai comme le sentiment Que j'ai ma foi du temps
Pour un troisième amant
Moi j'aime un point c'est tout Peut être un point de trop
Mais au fond je m'en fous J'ai l'amour qu'il me faut
Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour
Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour.





Je sens dans mon ventre leurs deux sexes qui entrent
Et sortent Et se frottent l'un contre l'autre en ma chair et mon sang
Bon sang Que c'est bon ! Je m'y vautre dans cette jouissance
Double étalons Double évanescence !
Joyeusement je m'empâle sur leurs pieux, l'un devant l'autre derriere
Et je les sens s'activer dans mon ventre de concert
pour bientôt me faire jouir dans cette symphonie du plaisir ! (Cyr)


Ils se pressaient contre moi, émus, tremblant beaucoup,
Me mangeaient de baisers en me serrant le cou,
Tandis que grave et fière, et sans trouble, et sans crainte,
Muette, je tendais la joue à leur étreinte. (Guy de Maupassant)

Pour l'un j'étais l'acquise Pour l'autre l'insoumise
Le brun fut impudique Le blond fut angélique
Mais les deux furent phalliques Comme 2 soleils magiques
Et tous les deux m'ont prise Et bien qu'ils fussent ardents
J'avais comme le sentiment Que j'avais tout le temps
Pour ces deux amants
Car j'aime, un point c'est tout, Peut être un point de trop
Mais au fond je m'en fous J'ai l'amour qu'il me faut
Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour
Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour.

Lentement, ils ont joués de mon corps,
Eveillant au désir, le grain de ma peau,
Caressant mes seins avec douceur,
Me faisant découvrir mille plaisirs,
M'incitant à l'impudeur, Me forçant sans douleurs,
Allant et venant, m'oubliant,
Pour mieux me faire vibrer, Et revenir en vainqueurs,
Pour enfin, me faire partir... Sous leurs doigts musiciens... (BB)


Une fois les deux tiges dans leur chaude chair
Alternativement, et même, parfois, de concert...
Vingt fois léchés, sucées, branlées Jusqu'à satiété !
Jane callipyge En une galipette Présente sa douce ornière...
Devant cet appel à la fête lui, large et bien bandé,
S'introduit et glisse au plus profond de la sombre marée
Jane poussant un cri comblé reçoit en sa vulve ouverte
De Marc bien inspiré, la queue prestement offerte.
De hi de han en va en viens Les deux amants font le plein
dans ce corps qui en souplesse ondule entre deux pistons :
L'un qui... L'encule Et l'autre, qui dans son ventre fond...

Sur la peau douce… caresses et passes,
Leurs sexes face à face, se glissent et s’effacent,
Se faufilent… Ça glisse…et coule
Fesses impasses… petite mort lasse…
Bouches et lèvres tracent et tissent
Un fil de délices sur la peau douce et lisse…
Ils jouissent. (Prune)

Transcendée dans un mélange De douleur et de plaisir
Elle se retrouve aux anges Par les coups de reins de l'un
Qui s'aventure dans ses profondeurs Et l'autre vole soupirs et cris
Tant la promenade de son ami Lui fait voir mille couleurs
Alors elle suce et aspire les boules, les glands et les pénis tout entiers !
A chaque passage sur son clitoris Un frisson de délice
Lui parcours l'échine Et la rend plus que jamais... féline !