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jeudi 11 juillet 2024 - 23h45rech / rep
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(taille reelle)
dans son bureau ()
- Mon dieu, que t'es-t'il arrivé Lucille ?
- Eh bien ... j'ai cede à ses avances. Tu veux que je te raconte ? Avec tous les details ?
Il a fermé la porte du bureau, il est venu vers moi, a ouvert son pantalon, relevé ma jupe et em me serrant les flancs, d’un coup de rein, il s'est enfoncé en moi, en poussant un long râle, puis il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses trempées. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi...
il s'est redresse lentement, s'est retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête, une seconde, deux... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes...
Il s’est immobilisé, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé... Encore une fois, tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonta lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, et bien vite, le plaisir fut là, balaiyant tout sur son passage.
En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant,
et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla :
“Oh... Marie...”
il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie ! Lentement, comme à regret, il s'est retiré de moi. J'ai senti sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. J’étais aussi épuisée que lui. Je me regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je sentais le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe.
Il venait de jouir en moi, et me laissait maintenant là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donnait le frisson. Trempée, ouverte, obscène presque. Son sperme chaud s'écoulait hors de mon ventre, sur mes cuisses. Je me sentais sans force.

Je n’osais pas lui dire oui. J’avais failli refuser, mais il a su s'y prendre et je lui ai cedé mon corps et mon ventre, dans lequel il a joui abondemnt et s'est répandu en une apothéose
Ce n'est pas fini. Il était toujours là devant moi, il me fixa à nouveau avec un regard d'envie, se remit à bander, sans retenue. Il revint vers moi, posa son sexe, qui durcissait et s'allongeait à vue d'oeil sur le mien, le poussa un peu en moi, plus loin, puis, le ressortit, avec un bruit de succion terriblement excitant. Il s'enfonca bien au fond, écarta bien mes chairs rosées et fit durer le plaisir. puis Il accélèra dans le magma liquide declenchant un bruit de clopotis terriblement obscene. Je n'en pouvais plus. Je jouissais, lui aussi ! Il se vidait de nouveau dans mon ventre, n'en finissait plus de se vider en moi !
Nous nous regardions l'un l'autre. J'avais 20 ans, j'étais sa jeune secretaire, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine qu'il avait tout de suite reperée, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Apres m'avoir baisé deux fois dans ce petit bureau, Il s'est rhabillé en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres , il s'est rapidement glissé hors du bureau.