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jeudi 11 juillet 2024 - 21h20rech / rep
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(taille reelle)
sur le canapé ()
Elle adorait se faire tripoter et se faire pénétrer lorsque nous nous retrouvions seuls le soir dans le bureau. Nous fermions la porte, elle venait s'installer sur le grand canapé et elle s'offrait à moi. J'adorai sa chair souple et chaude. Elle savourait ces douces penetrations en me regardant fixement, je prenais alors ses seins en main les palpant doucement, puis les laissais ballotter ce qui réveillait ma vigueur !
Je me laissais aller alors à bander comme un cheval au fond de son ventre, elle remuait doucement son bassin pour mieux me sentir glisser sur ses muqueuses, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, avec des bruits mouillés terriblement excitants. Elle absorbait ma verge avec gourmandise en surveillant mes réactions Je la voyais disparaître entre ses grandes lèvres. Aspirée, sucée, absorbée, digérée, elle s'enfonçait comme dans du beurre, enrobée de ses sécrétions, tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, son vagin coulait sur sur ses cuisses. Je coulissais en elle avec un bruit de succion terriblement érotique. Le canapé se tachait de nos sécrétions, Je pétrissais ses seins.
Puis elle se mettait à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle se mettait à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, ses seins ballottaient de droite à gauche, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens. Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Elle se crispait. Un dernier coup de rein Je ne me retenais plus ! Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme giclait en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandait dans ses chairs prolongeait sa jouissance. Elle s'écroulait finalement en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahissait ! En me retirant, ma queue émettait un indécent bruit de siphon. Elle se redressait alors, ramassait ses affaires et sortait du bureau. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager

Une heure plus tard, je vis la porte s’ouvrir. Elle rangea mes affaires et vint s'asseoir à coté de moi. Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement son corsage, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux.
Puis, elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle ne portait pas de culotte. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes.
Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter. Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu.