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samedi 05 octobre 2024 - 09h12rech / rep
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(taille reelle)
dans l'arrière bureau ()
Il est venu contre moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma jupe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le nylon de ma petite culotte. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter, craignant que nous n'allions trop loin. Mais il ne s'arrêtait pas ! Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte.
- Mon Dieu ! nous nous laissons emporter.
- Je m'arreterai dès que vous me le direz. .
Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, il semblait venir de si loin, paraissait si profond. J'avais trop besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée.
Je ne bougeais pas. Je le laissais faire, je sentais ma culotte se soie se mouiller sous ses caresses intrusives. je sentais la chaleur de son corps tout contre le mien. Sa main maintenant parcourait mon ventre et remontait doucement vers mon aisselle, provoquant des frissons. Ses doigts se promènaient sur mon bras, remontaient vers mon cou, caressaient mon oreille puis mes cheveux, sensations délicieuses. Il glissa ses mains sous mes épaules et me serra contre lui. Je sentis mon bassin onduler au rythme de ses baisers, j’avais envie qu’il me penetre. Je sentais son sexe chercher l’entrée de mon puit, je glissais ma main pour l'aider. Son sexe était est chaud, gros, gonflé, prêt à exploser, je le tenais bien en main et j’en profitais pour promener son gland sur mes levres ouvertes, c’était bon. Puis, j'avançais un peu mon bassin pour lui faire sentir que j'étais prête.
Adossé au mur du bureau, lui contre moi. un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter, dans l'attente fievreuse d'un penetration imminente, rêvant de l’agripper, l’attirer au plus plus vite, au plus profond de moi... C'est alors qu'une onde intense s'est mise a irradier mon dos, il commencait àme pénétrer, une pénétration puissante, lente, je sentais mes chairs qui s’écartaient progressivement, j’aimais cette possession de mon corps par cet homme. il entrait en moi, dans un mouvement long et puissant,
J’ai relevé les genoux pour mieux le sentir et pour qu’il puisse aller loin en moi, je sentais son bassin venir au devant du mien, pubis contre pubis, imbriqués l’un dans l’autre. J'étais trempée, je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses. mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Je sentis son gland buter au fond de mon vagin, je relèvais les jambes et je les nouaient derrière ses reins, je sentais ses testicules qui frappaient mon entre jambes. Que c’était bon, mais que c’était bon…
Il s’est immobilisé, profondément fiché dans mon ventre... tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe qui me penetrait merveilleusement.
Nos corps en sueur qui s’embrassaient, qui s’embrasaient qui partaient ensemble à la recherche du plaisir, dans la communion de la jouissance. Je sentais le plaisir monter de mes jambes, de mes reins de mon sexe, je sentais cette vague, cette déferlante qui allait me déborder. Lui aussi sentait que le plaisir montait en moi, son sexe s’est fait encore plus dur à l’intérieur de moi, je me sentais complètement ouverte par ce pieux de chair qui me possèdait entièrement.
En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il coulissait en moi, de plus en plus vite, son plaisir s’annoncait, telle la lave d'un volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais,
Il ahanait, je gémissais, il allait et venait en moi, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...Je gemissais mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, Son rythme se fit plus rapide, il m’entraîna dans un plaisir indescriptible. Je criais mon plaisir, je le griffais dans le dos,
et puis ... ca y est, il est venu, les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, et je l'ai senti decharger dans ma chair une gerbe chaude, un jet liquide jaillissait et se repandait au fond de mon mon ventre il jouissait, il éjaculait, il inondait mon vagin, nous ne faisions plus qu’un dans la jouissance. Puis il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla :
“Oh... Marie...”
il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie. Petit à petit, nous avons repris notre souffle, toujours enlacés, grisés. Puis, nos corps se sont séparés à regret. Je suis venue me blottir contre lui, la tête dans son cou, je l’embrasse doucement là ou la peau est encore douce, juste sous la barbe dure. Il a glissé son bras autour de mes épaules, j’ai glissé une jambe entre les siennes et c’est la tête dans les étoiles que nous nous sommes quitté.