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samedi 05 octobre 2024 - 09h09rech / rep
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(taille reelle)
Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg ()
Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette belle plante, stagiaire dans mon service, avait des formes à faire bander tout le personnel. J'avais la quarantaine, je travaillais dans le quartier Montparnasse. Nous étions tous les deux dans l'ascenseur, elle me collait litteralement. Elle était grande, elle était chaude, elle avait de belles fesses rebondies contre lesquelles ma queue à chaque fois se mettait a se lever. Je me mettais à bander sans détour et elle se collait encore plus fort contre moi.
Passablement excité, je lui ai proposé ce soir là de la ramener en taxi. Elle habitait dans le 15ème. Nous étions à peine installés sur la banquette arriere que déjà nous nous embrassions à pleines bouches, nos langues emmêlées. Je bandais comme un cheval, et déjà elle me pétrissait à pleines mains ma queue raide, déjà gorgée de sang. Je petrissais joyeusement ses seins, fermes et opulents sous son soutien-gorge pret à craquer. J'ai dégagé sa poitrine et j'ai suçé ses pointes. La fille, peu farouche, se laissait tripoter sous les regards ébahis des voisins qui se serraient eux aussi.
Nous avons grimpé quatre à quatre les escaliers de cette immeuble ancien. Sabine m'a confié qu'elle était si mouillée qu'elle sentait sa culotte collée sur sa peau. Moi je n'avais qu'une hâte, celle de me planter le plus vite possible entre ses cuisses. Je me suis retourné vers elle pour l'embrasser et ... pour me calmer, j'ai posé ma main entre ses cuisses, elle m'a poussé sur le lit.
Elle est montée sur moi après avoir simplement fait tomber sa robe, faisant frotter sur moi sa combinaison de nylon. Ses seins étaient toujours à moitié sortis de son soutien-gorge: j'en profitais pour presser sa poitrine plus dure que jamais, elle était si excitante que mon cœur battait à tout rompre … Elle s'est alors mise à cheval sur moi, elle a enlevé son soutif et a révélé sa merveilleuse poitrine à mes yeux effarés.
Je l'ai léchée de plus belle en bandant comme un ours. Je me suis relevé et j'ai entrepris de la téter. Elle s'est laissée faire un moment, l'instant pour elle d'enlever ma chemise puis elle m'a basculé à nouveau sur le lit. Cette fois-ci elle avait enlevé sa culotte et, accroupie, elle avait les cuisses largement écartée. Et penchée vers l'arrière, elle se tenait sur les mains et faisant aller et venir son bassin sur mon ventre.Tout en frottant sa chatte, elle s'attaquait à ma ceinture et est parvenue à dégrafer mon pantalon. En même temps elle accélérait sans cesse le rythme, Elle grognait, elle était à moitié partie, elle allait venir… Elle n'a d'ailleurs pas tardé. Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Ensuite, elle s'est relevée, elle a enlevé mon pantalon en m'embrassant le bas du ventre et les cuisses. Toujours entre mes jambes, elle a terminé de me déshabiller. Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… elle m'a renversé et est venue se mettre à cheval sur moi dans une position d'amazone chevauchant son étalon. Avec dextérité elle a fait rentrer ma bite dans son vagin, allant et venant lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté incroyable épousait parfaitement son vagin étroit. Nous étions faits l'un pour l'autre semble-t-il, au moins sur ce plan là… Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait en faisant dans de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait ma bite sauvagement je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, nous désirions tous les deux jouir ainsi et sans retenue. J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle jouisse, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus pour libérer toute ma sève et lui remplir le ventre abondamment, une ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme J'aurais voulu que tout ceci dure un temps infini mais finalement elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes avant que je lui éclabousse la matrice… Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes…