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samedi 05 octobre 2024 - 09h39rech / rep
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(taille reelle)
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Je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, je pris une de ses mains, et le guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. J'ecartai encore mes jambes, je m'offrais toute entière à lui, Il s'enfonça en moi, lentement, naturellement, son sexe dur, glissant, tournoyant dans mes chairs et mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi
J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur son sexe encore dur,
Puis je l'ai senti s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glissa dans mon ventre. d’un coup de rein, Il engloutit en moi son sexe jusqu’aux couilles. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. très vite, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêta, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il restait là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.