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samedi 06 juillet 2024 - 15h53rech / rep
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(taille reelle)
La patronne est en entretien (Jacques Lucchesi) (1) ()
À lire le désir qui décrispait ses traits fins lorsqu'elle me fit entrer dans son bureau, je réalisais combien cette femme était attirante, tout en restant exigeante et apparement dirigiste.
- Eh bien, rentrez ! Ne soyez pas timide ! ... Je m’appelle Viviane. Et vous ?
- Jérôme ? ... Jerome, ca vous va bien ! ... Je suis sûre que vous avez de très bonnes dispositions !
Elle alla fermer la porte derriere nous et revint vers moi. Je m'interrogeais, un peu perplexe sur ce qu'elle pourrait bien exiger de moi, quand ne me laissant pas le loisir de reflechir trop longtemps, elle s'approcha de moi et sa bouche, soudain, se colla à la mienne comme une ventouse. Elle resta ains une dizaine de secondes me laissant sans voix, avant de faire un premier bilan
- Vos lèvres sont chaudes ! ... J'aime ! me declara-t'elle avant de reprendre le meme travail
Un moment surpris je tachai de me ressaisir. Puis, emporté par l'événement, après tout, pourquoi pas me dis-je, j'en profitais donc de bonne grace. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre dans un maelström tout à fait inattendu. Vraiment, elle ne doutait de rien.
- Jerome, je vous sens plein d'ardeur ! C'est bon signe !
Devais-je céder à tous ses caprices ? Puis, comme si rien ne venait de se passer, elle retourna vers la porte, pour lui donner un tour de clef. J'entendais au même moment, derriere la porte, la voix de l'autre secretaire repondant au telephone que le directrice était en entretien et donc non disponible.
Elle revint vers moi, s'installa face a moi, assise sur son bureau: elle me fixa avec fermeté. D’une main sèche, elle jeta alors au sol les dossiers qui l’encombraient. Puis, assise sur le bureau, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, elle me désigna de l’index une cible sans détour:
- Jerome, montrez moi ce que vous savez faire !
Je restais sans voix. Je la sentais chaude et mouillée d'excitation. Elle m'attira vers elle avec autorité, prit ma main et l'amena entre ses cuissses chaudes
- Vous sentez ? ... Je suis toute chaude .... et je mouille ! ... Allons ! Je vous attends !
Puis elle s'affaira sur moi, défit nerveusement ma ceinture, sortit ma queue, glissant mon gland le long de sa fente,
- Je veux que vous me baisiez ... là ! ... Maintenant ! ... Allons ! Ne faites pas le timoré !
Elle se cambra et d’un coup de rein, elle aspira mon sexe, l'absorbant jusqu’aux couilles. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud.
- Je vous veux bien profond ! Collez-vous à moi et sentez mes lèvres gourmandes !
- Redonnez moi vos lèvres ! ... Elles sont bien chaudes ! Et j'aime !
- Et maintenant, prenez mes seins ! Caressez les ! A pleines mains ! Ne soyez pas timide !
- Vos mains sont douces ! Vous savez vous y prendre. Nous progressons !
- Explorez moi ! Percez moi ! Perforez moi ! Baisez moi ! Avec ardeur !
- Deployez tout votre talent ! et montrez moi que vous êtes à la hauteur !
Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. J'amorçais plusieurs va et viens, je butais au fond d'elle. Et très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, me crispai, commencai à me retirer pour eviter l'eruption
- Non restez ! Bien au fond ! ... Et concluez ! Vite !
Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me bloquai au fond de son ventre et je déchargeai abondamment , en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Elle resta là devant moi, siderée, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa un peu, laissant ma verge ressortir, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours,
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que vous m'en avez mis !
- Jerôme, je crois que vous êtes plein de ressources ! Je n'en esperais pas tant !
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.
- Je pense que vous êtes bon pour le service !
- Je vous attends mercredi pour faire le point, d'accord ?







À lire le désir qui décrispait ses traits fins, je réalisais combien cette femme était attirante, tout en restant exigeante et apparement dirigiste.
- Je m’appelle Viviane. Et vous ?
- Jérôme ! ... Ca vous va bien ! ... Je suis sûre que vous avez de très bonnes dispositions !
Je m'interrogeais, un peu perplexe sur ce qu'elle pourrait bien exiger de moi, quand sa bouche, soudain, se colla à la mienne comme une ventouse. Emporté par l'événement, après tout, pourquoi pas, j'en profitais de bonne grace. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre dans un maelström tout à fait inattendu. Vraiment, elle ne doutait de rien. Devais-je céder à tous ses caprices ? Puis, comme si rien ne venait de se passer, elle me fixa avec fermeté, alla précipitamment fermer la porte à clef. Elle revint vers moi. D’une main sèche, elle jeta au sol les dossiers qui l’encombraient. Puis, se fit plus directive:
- Donnez moi vos lèvres ... Elles sont toutes chaudes ! ... J'aime
- Caressez mes seins ! A pleines mains ! Palpez les ! Petrissez les ! ...
- C'est bien !
- Jérôme, je veux que vous me preniez, là sur mon bureau.
Je restais sans voix. J'entendais au même moment, derriere la porte, la voix de l'autre secretaire repondant au telephone que le directrice était en entretien et donc non disponible.
M'attirant vers elle, elle défit nerveusement ma ceinture et le temps d'écarter et de baisser rapidement sa fine culotte, puis elle prit ma main et l'amena entre ses cuissses
- Vous sentez ? ... Je mouille ! .... Et je suis toute chaude !
Assise sur le bureau, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, elle me désigna de l’index une cible sans détour :
- Vous allez me montrer ce que vous savez faire ! D'accord ?
Elle s'affairait sur moi, sortant ma queue, puis glissant mon gland le long de sa fente, Elle se cambra et d’un coup de rein, elle engloutit mon sexe, l'absorbant jusqu’aux couilles. Et je me sentis alors aspiré dans son ventre chaud.
- Je vous veux bien profond !
- Collez-vous à moi ! Que je vous suçe, que je vous aspire !
- Explorez moi ! Percez moi ! Perforez moi !
Elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. J'amorçais plusieurs va et viens, je butais au fond d'elle. Et très vite, je m’arrêtai, me crispai, je sentis mon sexe se raidir, se contracter.
- Maintenant ! Vite ! Lachez-vous !
J'accélerai. Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque. je déchargeai en elle. Mon premier jet vint frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je me sentis défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. À chaque secousse, elle pouvait sentir mes jets de foutre. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Je restais là, affalé, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa, la verge ressortit, entraînant le foutre qui coule dans sa fente. Elle se lèva en vitesse,sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours,
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que vous m'en avez mis ! Je vous sens plein de ressources !
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.
- il faut vite re-ouvrir le bureau, sinon ils vont se douter de quelque chose.
- Ok c'est bon ! ... vous êtes bon pour le service ! Merci !

(Jacques Lucchesi, La directrice est en entretien).





- Redonnez moi vos lèvres ! ... Elles sont bien chaudes ! Et j'aime !
- Et maintenant, prenez mes seins ! Caressez les ! A pleines mains ! Ne soyez pas timide !
- Palpez les ! Petrissez les ! ... Oui, c'est bien ! ... Ils vous excitent, hein ?
- Vos mains sont douces ! Vous savezy prendre. Nous progressons !