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samedi 06 juillet 2024 - 15h39rech / rep
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(taille reelle)
il s’est approché de moi ()
Je me souviens de cette soirée d'hiver au bureau. Je restais quasiment seule dans le service. Je rangeais quelques articles dans la remise. Le patron est venu derrière moi, a posé ses mains sur mes hanches puis, m'a embrassé dans le cou, je n'ai pas vraiment essayé de résister, je le laissais faire. Il a commencé à me caresser doucement, puis de manière plus appuyée. Ses mains puissantes ont commencé à glisser sous ma robe légère, relevant ma combinaison, le long de mes cuisses. Je sentais entre mes fesses le relief indécent son pantalon. Les coutures de ma robe ont craqué, il était presque brutal de maladresse. il m'a poussée contre les étagères et a aggripé mes seins qu'il a palpé et malaxés longuement. Puis je l'ai senti passer sa main entre mes cuisses. Je tentais, sans insister, de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées. Devais-je si vite lui succomber ? Je n'étais pas encore décidée.
Cétait un beau mâle, plutôt bien bâti. Je me suis rappelée ses regards furtifs depuis son bureau, et cela ne me déplaisait pas. Ses mains puissantes me caressaient avec audace et gourmandise. Il s’imposait, fort, viril, dominant. Il m’excitait bien plus que je ne le pensais et je finis par me laisser aller. En fait je le désirais, je le désirais de plus en plus fort. Je sentais ses mains, il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Je le voulais. Je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse crier.
Son pantalon est tombé et son sexe brûlant s'est mis à frotter contre mes cuisses. Il gémissait, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir montait irrémédiablement. J'étais troublée de la grosseur de son sexe. Il me caressa les cheveux. Puis sa main se referma sur ma nuque et il tira mon corps vers lui. Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Bestial, animal, il m'a pris. A bout de force, je l'ai senti entrer et ressortir en moi, violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je criais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. J'agrippai alors les etageres comme je pouvais. Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m’a soumise, désirée. Après m’avoir prise comme ça pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et il jouit en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.