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samedi 06 juillet 2024 - 16h12rech / rep
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(taille reelle)
L'ascenseur était bloqué entre le 2e et le 3e ()
Depuis toute la matinée il n'arretait pas de me regarder, il m'excitait et je n'avais qu'une hate, qu'il me deshabille sauvagement, qu'il me prenne, qu'il s'enfonce en moi, qu'il me la mette bien profond, bref, qu'il me baise ... goulument ! Il fallait que l'occasion se presente ... et elle s'est presentée peu avant la fermeture des bureaux. Nous nous sommes retrouves tous les deux dans l'ascenseur et, comme par hasard, la cabine s'est bloquée entre le 3e et le 2e. J'ai su par la suite que c'est lui qui l'avait bloqué.
Confinés tous les deux dans cet espace clos, il n'en fallait pas plus pour que nous nous laissions aller à nos plulsions mutuelles. Apres avoir rapidement abaissé son pantalon, relevé ma robe et fait tomber ma fine culotte, j'ai relevé et serré mes jambes autour de ses hanches, je l'ai alors senti penetrer mon ventre, d'’un coup de rein, puissement, en poussant un "Aaahhh " de satisfaction, puis il s’est immobilisé au fond de moi, pressé entre mes muqueuses trempées. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe long, dur, enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi...
il se retirait doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, puis rentrait de nouveau en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Ses va et viens étaient intenses, somptueux, sensuels.
Nos ebats s'acceleraient, il me besognait de plus en plus vite, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations puissantes dans tout mon corps. C’etait violent, et intense. Ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan. Je l'ai senti s’immobiliser, son sexe profondement fiché au fond de mon vagin ... Son visage s'est crispé, je sentais mes muscles se contracter.
et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla :
“Oh... Marie... C'est si bon ! ”
il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie
Lentement, comme à regret, il s'est retiré de moi. J'ai senti sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. J’étais aussi épuisée que lui. Je me regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je sentais le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe.
Il venait de jouir en moi, et me laissait maintenant là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donnait le frisson. Trempée, ouverte, obscène presque. Son sperme chaud s'écoulait hors de mon ventre, sur mes cuisses. Je me sentais sans force.
Il était toujours là devant moi, il me fixa à nouveau avec un regard d'envie, se remit à bander, sans retenue. Il revint vers moi, posa son sexe, qui durcissait et s'allongeait à vue d'oeil sur le mien, le poussa un peu en moi, plus loin, puis, le ressortit, avec un bruit de succion terriblement excitant. Il s'enfonca bien au fond, écarta bien mes chairs rosées et fit durer le plaisir. puis Il accélèra dans le magma liquide declenchant un bruit de clopotis terriblement obscene. Je n'en pouvais plus. Je jouissais, lui aussi ! Il se vidait de nouveau dans mon ventre, n'en finissait plus de se vider en moi !
Nous nous regardions l'un l'autre. J'avais 20 ans, j'étais sa jeune secretaire, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine qu'il avait tout de suite reperée, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Apres m'avoir baisé deux fois dans cette cabine d'ascenseur, Il s'est rhabillé en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres , il a remis en marche l'ascenseur et il s'est rapidement eclipsé.