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jeudi 11 juillet 2024 - 19h36rech / rep
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(taille reelle)
Etendue dans le foin ()
il me déposa, avec mille précautions, sur la paille de cette grange. Le regard qu'il porta sur moi a ce moment était d'une forte intensité. Cet homme était impressionnant, généreux et tendre, j'en avais là la confirmation la plus limpide. Je sentis qu'il s'arrachait à mon regard et il me sembla voir ses joues s'empourprer légèrement. Il se mit à masser ma cheville endolorie avec des gestes doux et attentionnés. Le contact était très agréable. Je le vécus plus comme une première caresse que comme un acte de soin destiné à apaiser ma douleur. Il sortit son mouchoir de sa poche et, après l'avoir légèrement humecté de salive, le posa délicatement sur ma cuisse à l'endroit de la blessure. Je remarquai, non sans une secrète satisfaction, qu'il regardait ma jambe avec admiration. Je ne pus m'empêcher de la remuer légèrement pour mieux l'offrir à son regard. Lorsque ses yeux se reportèrent sur moi, ils brillaient d'un feu étrange. Il me mangeait du regard à présent et je tressaillis de fierté lorsque son regard avide se riva un instant sur mes seins.

Allongée avec lui dans la grange, j'admirais son corps. J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par la surprise, par le désir. Il était en pleine érection. Il bandait devant moi et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait cet homme. Mes jambes avaient de la difficulté à me soutenir. Mon cœur battait à la chamade et ma respiration saccadée. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses..... glisser l'une contre l'autre..... J'étais sexuellement à bout. Mon cœur battait à tout rompre, mon estomac se nouait.. Mes seins me faisaient mal... Je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.

Lorsque j'entrouvris les lèvres et inclinai légèrement la tête sur le côté, il se rapprocha de moi, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage … il eut une sorte de soupir d'animal blessé. Et puis, soudain, ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes. Elles étaient brûlantes et je crus défaillir. Nos langues se cherchèrent un bref instant puis se lancèrent dans une course effrénée. Mon excitation grimpa aussitôt, multipliée par celle que je sentais gronder dans son corps massif. Il me serrait à me briser les côtes et c'était divin ! Quelle force, quelle fougue. Notre baiser se prolongea longtemps, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, de doux frissons, et d'une envie grandissante de l'autre.
Il finit par se ressaisir. Il détacha son visage du mien, me sourit et me regarda avec une tendresse qui acheva de me faire fondre. Dieu que j'avais envie de cet homme, de ce mâle ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée puis, sans un mot, me souleva comme une plume et m'entraîna dans ses bras puissants. Je m'efforçai de me faire aussi légère que possible dans ses bras. Il m'allongea sur la paille un peu plus loin, à l'abri des regards, et entreprit aussitôt de soigner ma cheville endolorie, j'avais pris soin de déboutonner légèrement mon chemisier de façon à laisser voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il était sur moi, haletant, en proie à une belle excitation, lui aussi.

Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Le membre accusait une belle taille, j'en fus fortement impressionnée. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants sous mes yeux ravis avant de se faire happer par ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, tendu de désir, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à masser vigoureusement le sexe ainsi brandi, offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui semblait devenir de plus en plus gros, de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus.

Je devinai que cet homme avait envie de moi. Délaissant le phallus incendié, je dégrafai mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, m'étendant de tout mon long sur la paille, les mains ramenées dans ma chevelure. Je me cambrai, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer de longues et insistantes caresses. Rapidement, je fus dans tous mes états, le danger qu'il y avait à être surpris ajoutait encore à l'excitation. Je poussai un petit gémissement de plaisir lorsqu'il s'empara de mes seins et se mit à les caresser et les palper. Je me tendis vers lui, vers ses mains, vers sa force…

Etendue dans le foin, je sentais son enorme appareil au contact de ma chemise de nuit et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda dans les yeux et sans me demander, releva ma chemise de nuit, exposant mes seins, mon ventre.. mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux. Sa main descendit, faisant frissonner ma chair, Mes cuisses s’entrouvrirent légèrement, Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve. j’entrouvris mes lèvres intimes, je les lui offrais. Je fermais les yeux, Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Puis, je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière au fond de mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement Et il recommença ses va et vient. Chaque coup de rein m'emplissait de plaisir. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, il me fit jouir en même temps que lui. pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours sur moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours Je voulais le sentir revenir vite en moi. Et les va et vient infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.

Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis se glisser furieusement en moi d'un seul coup. Il me pénétra très profondement m'arrachant un long râle tant j'étais prête : ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait.
Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour.
Il explosa presque aussitôt, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de son plaisir. Je fus secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme. Les spasmes finis, je laissai sa queue glisser hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, tel un enfant sur le ventre de sa mère, mon beau mâle était allongé sur moi, c'était attendrissant au possible. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Je sentis que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Mon bel Apollon ouvrit les yeux. Quelle douceur ! quelle paix ! Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. J'aurais voulu le garder en moi encore un moment, le sentir s'abandonner complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Je m'assoupis dans ses bras puissants... Puis une fois réveillés, Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.