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samedi 05 octobre 2024 - 09h02rech / rep
-prty-gpe-09-joy-et-joan@

-prty-gpe-09-joy-et-joan@
(taille reelle)
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Des épaules larges, une poitrine puissante, un ventre plat, des cuisses solides... Une gueule à la Georges Clooney avec ses cheveux poivre et sel... Son sexe encore humide de son intimité et encore gonflé a perdu cependant de son orgueil et pend entre ses cuisses.
Les jeunes filles courent dans la grande douche. Et tout en se lavant l'une l'autre, elles s'offrent baisers et caresses, les doigts pénétrant ici ou là... Elles ne cherchent pas la jouissance mais seulement à s'offrir du bon temps... Léa est heureuse de se retrouver entre ces deux filles qui n’ont pas loin de dix ans de moins qu'elle. Bien qu'hétéro, elle a souvent rêvé à des jeunes filles et voilà qu'elle en a deux, magnifiques de surcroit, à sa disposition et qui, en plus, semblent l'apprécier aussi.

Sans trop attendre, elles reviennent vers le salon... Elles voient Zoé assise sur une chaise, jambes ouvertes, A côté d'elle, sur une autre chaise, Wilfried lui parle, un verre de champagne à la main, lui caressant de sa main libre sa cuisse, remontant haut jusqu'à sa vulve. Léa observe que sa virilité retrouve une certaine vigueur. On dirait qu'il essaie de l'apprivoiser mais la belle Zoé semble rester enfermée dans sa timidité...

Sur le petit canapé, à côté, sont assis Madame Mathilde et Monsieur Léon, tous les deux un verre à la main et une assiette pleine sur les genoux. Debout, Marc, Luc, Christine et Catherine discutent... Les sexes de ces messieurs retrouvent aussi une certaine vigueur et sont à l'horizontale... Personne ne fait attention à elles trois.

Sans attendre plus, Léa pose son assiette à côté d'elle, s'agenouille entre ses jambes et commence à lui offrir un cunni... Zoé est réceptive, elle se crispe. Léa aime son odeur, son goût... Elle introduit deux doigts dans le doux fourreau sans lâcher le clito qu'elle pince entre ses deux lèvres et titille avec le bout de la langue...

Soudain, Zoé se lève et pousse Léa vers le canapé. Léa se rend alors compte qu’Eléonore et Anne ne sont plus là. Elle n'a pas le temps de voir où elles sont. Zoé la fait s'allonger et se met à côté d'elle, tête-bêche. Les voilà parties dans un prodigieux soixante-neuf. Même si c'est pour elle la première fois, elle sait s'y prendre Zoé. Et rapidement, elles jouissent toutes les deux...

Quand elle se redresse, Léa voit que Eléonore est dans les bras de sa chère Mathilde, la tête en bas plongée entre les cuisses de son amie qui elle-même suce avec gourmandise son sexe... Plus loin, elle voit Wilfried assis sur une chaise, Anne sur ses genoux lui faisant face et ses mouvements ne laissent aucun doute : elle est empalée sur son vit. Couchée sur la moquette, Catherine se fait prendre par Marc et Christine par Luc... ou le contraire. Monsieur Léon semble somnoler sur son fauteuil en regardant le spectacle et en masturbant son sexe qui refuse de durcir.

Ainsi se passe la soirée. Léa évite de recommencer l'expérience avec les hommes. Sauf avec Monsieur mais celui-ci ne lui demande rien. Elle passera encore dans les bras de Madame Mathilde qui n'attendait qu'elle...
Alors qu'elle est assise sur la canapé, rejointe par Anne, Wilfried vient vers elles.
- Il se fait tard et je pense qu'on a eu assez de jouissances pour ce soir, n'est-ce pas. Anne, vous raccompagnez Léa dans la chambre là-haut.
- Oui, monsieur.

Elles sortent donc discrètement. Léa regrette tout de même de ne pas avoir pu dire au revoir à Eléonore. Elles remontent l'escalier, toujours nues. Mais cette fois, Léa n'a aucune inquiétude. Ca l'amuserait même de croiser du monde.

- Prend une douche et couche-toi. Je pense que Monsieur va te rejoindre.
- Et toi ?
- J'ai une chambre à côté. A demain. Bonne nuit.

Léa se douche et se couche. Elle attend un peu inquiète la montée de Wilfried. Qu'est-ce qu'il va encore lui faire subir ? Mais épuisée, elle tombe dans une douce somnolence.


Elle se réveille alors que Wilfried sort de la salle de bain. Il est nu. Il sent bon. Il se couche près d'elle et, avec beaucoup de tendresse, il l'attire vers lui, la prend dans ses bras et l'embrasse. Et une dernière fois pour la journée, ils font l'amour.
Il est tard lorsque Léa se réveille. Wilfried est toujours là, allongé sur le dos, les mains derrière la tête. Il a les yeux ouverts et regarde au plafond perdu dans ses pensées. Elle se blottit contre lui attendant quelques caresses. Mais, à sa surprise, il la repousse un peu
Il rejette les couvertures. Son sexe est en érection, allongé sur son ventre, épais, puissant, tout en désir. Léa ne peut s'empêcher de le regarder. Elle aurait envie de le prendre, le caresser, l'embrasser, l'avoir en elle. Elle sait le plaisir qu'il lui a offert hier soir et cette nuit. Elle sent son sexe s'humidifier de désir...Il se met par-dessus elle sans la toucher, redressé sur ses bras tendus et il la pénètre d'un coup. Et il commence ses mouvements de va et vient, rapides, violents. Il se masturbe en elle comme s'il cherchait à jouir à tout prix sans se soucier de son plaisir à elle. Rapidement il se cabre, se crispe, pousse un râle... Il jouit dans le sexe d'Anne. Il a à peine fini, qu'il se recouche sur le dos à côté de la jeune fille.

Léa ose :
- Vous pouvez me rendre ma robe ?
Wilfried la fixe du regard, ne répond rien. Et il sort.
Elles filent sous la douche. Pas le temps de s'offrir des caresses. Elles font vite, se sèchent et descendent, nues...
Elles trouvent Wilfried dans la cuisine. Il est habillé d'un pantalon clair et d'une chemisette. Il se met entre elles deux et leur


Léa regarde le garçon. Il est rouge comme une pivoine ! Mais ne dit rien, avalant sa salive.
Partagé entre le désir de toucher ce corps et la honte de se retrouver dans cette situation. Il finit par avancer sa main, caresse rapidement un sein et recule. Léa s'amuse de voir le trouble du garçon et son inexpérience... Elle doit donner un léger coup de reins pour qu'il trouve son entrée dans laquelle il enfonce enfin brutalement son doigt comme s'il était aspiré à l'intérieur. Elle est certaine que c'est la première fois qu'il a ainsi une femme entre les bras. Il est certainement encore puceau. Mais la barre dure qu'elle sent contre sa cuisse lui dit le contraire. Wilfried s'est aussi aperçu de cette déformation de la braguette du malheureux garçon. Elle prend le garçon en l'agrippant par sa ceinture. Il veut s'échapper mais elle le tient solidement et il n'ose pas trop résister et faire violence à cette jolie femme nue. Sans attendre, elle déboutonne le haut du pantalon, descend le zip et fait descendre le vêtement à la moitié des cuisses. Le slip suit rapidement le même chemin. Le sexe raide, d'une taille et d'une épaisseur honorable, jaillit comme mu d'un ressort. Elle le prend à pleine main au milieu de la hampe. Elle aime ce contact. Elle le sent déjà palpiter, se gonfler. Elle comprend qu'il va très vite jouir. Elle glisse son autre main le long des fesses du garçon, la glisse entre ses cuisses, caresse légèrement le périnée et l'arrière des bourses bien pleines... Elle est surprise de voir toute cette partie ainsi que le pubis parfaitement rasés. Il n'est donc pas si innocent que cela ! Elle se colle à lui, son sexe contre le haut de la cuisse. Elle donne de rapides pressions sur le vit qui gonfle encore. Elle sent sous ses doigts les sphincters qui se serrent. Il veut retenir ce qui lui échappe. Il cherche encore à se reculer mais elle le tient fermement. Alors un premier jet jaillit, violent, lourd et va s'écraser contre le miroir. Il s'agrippe maladroitement à Léa, tous ses membres tremblent. Il se cache le visage de l'autre main en disant "J'ai honte, j'ai trop honte"... Un nouveau jet, tout aussi puissant. Elle accompagne maintenant la jouissance et les jets suivants de légers mouvements de va-et-vient...
C'est fini. Elle dépose un baiser sur le cou. Le lâche, se met face à lui, l'enserre, prend ses fesses à pleines mains. Son sexe humide de désir contre le sexe de Cédric qui se relâche...


Léa l'entend défaire son ceinturon, puis des froissements de vêtements. Et il grimpe sur le sommier, se glisse entre ses deux cuisses et la pénètre d'un coup, jusqu'à la garde... Et il commence ses mouvements de va et vient... Elle sent à peine quand il jouit... Elle se rend compte que c'est fini quand il se soulève, se retire et redescend du lit. Elle l'entend se rhabiller.