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samedi 06 juillet 2024 - 16h02rech / rep
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(taille reelle)
harem royal ()
Etendues et actives sur le tapis royal, nous sommes quelques unes des perles du royaume. Nues et chaudes, entremêlées, mélangées, la lumière des candélabres caressent nos chairs qui glissent entre elles. Un glaive mâle, de chair royale, bien affûté, glisse dans le fourreau d'une femme yemenite à la longue chevelure noire ondulante. Elle pousse des râles, le visage rougi d'excitation, ses chairs roses subissent le frottement intense de la grande lame de chair, de sang et de semence, semence royale qui féconde son ventre, seins tendus en formes d'ogives, grands bouts noirs, gonflés par l'excitation des corps.
Dans une dernière charge, le Prince enfonçe son organe qui gicle dans le ventre offert, lève la tête et expire en un cri libérateur. L'antre de la polynésienne est maintenant rempli de nectar royal, son corps frémissant de plaisirs est allongé sur les dalles autour du bain, sur le dos, et sa bouche vient se plaquer sur la mienne.
Pres d'elle, nous sommes trois, moi et deux amis du Prince. De nos trois corps allongés, moi seule reste immobile. Les deux autres, volubiles, s'affairent à me déshabiller. Tandis que je m'offre à eux, seins dressés, reins cambrés... Mes deux amis s'évertuent à me mettre toute nue, à sécher le doux grain de ma peau, à faire vibrer mon sang chaud !

il se sont emparés tour à tour de mes cuisses, de mes seins, de tout ce qu’il pouvait attraper de mon corps. Ils semblaient faire un concours à qui me pétrirait le plus fort. Il m’ont entrainée sur le tapis, ils m’ont allongée sur le dos, ils se sont emparés de mes bras, mes jambes, mes seins, mes fesses, qui les excitaient, sans le moindre souci de ce qui pouvait me déplaire. J’étais le jouet de ces deux hommes assez forts. L'un, accroupi sur mon ventre me bloquait de tout son poids, et l'autre coinçait mes cuisses avec les siennes. Tous les deux me fouillaient. Pas un brin de timidité. Je laissais les sensations m’envahir, fulgurances de plaisir.

L'un s'occupe de mes cuisses Qu'il écarte, indécent, Il y perçoit déjà les prémices d'un désir effervescent : Un sulfureux miel, tapissant mon calice, y coule et glisse. L'autre, voyageant par monts et plaines s'attarde à souligner la courbe de mes seins, massant leur galbe de ses longs doigts fins,
Et, titillant les tétons qui pointent, Il m'arrache un soupir de volupté non feinte. De ma si sensuelle bouche, ils s'en vont explorer ma chaude féminité qui, humide de désir, s'ouvre à leur arrivée
-De long doigts fins s'immiscent peu à peu m'arrachant un doux soupir. Je les regarde, affairés à me faire plaisir. Et dans un élan de désir je m'en vais chercher leur pénis prometteurs. Gourmande comme je suis, je ne peux rester inerte et me voilà moi aussi occupée, à leur faire perdre la tête, dans un tourbillon de volupté par mes va-et-vient répétés
Moi, qui ne suis pas pucelle, je trouve, à mon grand bonheur, deux organes pleins de raideur, quatre douces et rondes couilles, dont les heureux propriétaires, avec plaisir se laissent faire et bientôt s'agenouillent, de chaque côté de moi.
Je me retrouve ainsi voluptueusement étendue entre ces deux verges qui vers moi convergent, bien droites et tendues ! Dans mes mains désirantes, je saisis ces érections si tentantes et commence à les branler d'un mouvement synchronisé... entre mes doux doigts enjôleurs
Les membres gagnent encore en grosseur, et dans ma bouche ma langue salive à l'idée de les noyer dans mes eaux vives... Je suis bien trop affamée pour encore patienter ! Je veux leurs verges entre mes lèvres. Mais lesquelles ???
Tout en continuant de branler le long membre de notre invité, me voilà qui m'en vais caresser ... de l'un la gourmandise dressée avec ma langue avide ! de l'autre, son membre qui ne cesse de gonfler sous mes suçions ardentes

Des rires frénétiques, des cris de volupté, des râles extatiques, de longs soupirs mourants, des sanglots et des pleurs et tous les mots de ce langage étrange que l’amour délirant invente en ses fureurs.
l’alcôve est au pillage, le lit tremble et se plaint, le plaisir devient rage ; ce ne sont que baisers et mouvements lascifs ;
les bras autour des corps se crispent et se tordent, l’oeil s’allume,
les dents s’entrechoquent et mordent, les seins bondissent convulsifs. (Théophile Gautier)

Alors ce fut, dans l’ombre, une opaque mêlée, Un tas d’hommes en rut luttant, comme des cerfs
Lorsque nous, blondes biches ont fait brâmer les mâles. C’étaient des hurlements de colère, des râles,
Nos poitrines craquant sous l’étreinte des nerfs, Des poings tombant avec des lourdeurs de massue,
Tandis qu’assise au pied d’un vieux arbre écarté, et suivant le combat d’un oeil plein de fierté,
De la lutte féroce j'attendais l’issue. Or quand il n’en resta qu’un seul, le plus puissant,
Il s’élança vers moi, ivre et couvert de sang ; Et sous l’arbre touffu qui leur servait d’alcôve
Je reçus sans peur ses caresses de fauve ! (Guy de Maupassant)

Sur les peaux douces… caresses et passes, Nos sexes face à face,
se glissent et s’effacent, Se faufilent et laissent place Aux doigts sur la peau lisse…
Ça glisse…et coule Fesses impasses… petite mort lasse…
Bouches et lèvres tracent et tissent Un fil de délices sur nos peaux douces et lisses…Qui jouissent.
Trébuchés, basculés dans la cuve, Culbutée, retroussée, attiré, détroussé.
Raisins, Grains, tétons, gland, grappe Pampres, bouches, pulpe et sexes.
Doigts qui fouillent et farfouillent, …ça soûle, souffle court.
Jus pressé, jonc dressé, pénètrent, Ventres mouillés s'embrouillent,
Les têtes tournent, La vendange est mûre : Jouissance d'éclabousse, Fête à l'ivresse ! (Prune)

Orgie de corps enchevêtrés ! Seins, phallus, bouches s'agitent ensembles déchaînés,
explorant chaque tabou dans une masse indescriptible. Orgie de chair !
Orgasmes chauds qui coulent à flot, corps à corps - dos à dos. Bruit et fureur de la peau, sous le flux des assauts !
Lunes rebondies, jets de sperme. Pénis enfouis bavant leur crême.
Mamelles et gorges déployées, membres sucés, branlés, éjaculés !
les corps s'agitent en nombre, la lumière jailli de leurs ombres. Je plonge dans cette mer de plaisir... (Cyr)

Gracieux fils de Pan ! Autour de ton front couronné de fleurettes et de baies
tes yeux, des boules précieuses, remuent. Tachées de lies brunes, tes joues se creusent. Tes crocs luisent.
Ta poitrine ressemble à une cithare, des tintements circulent dans tes bras blonds.
Ton cœur bat dans ce ventre où dort le double sexe.
Promène-toi, la nuit, en mouvant doucement cette cuisse,
cette seconde cuisse et cette jambe de gauche. (Arthur Rimbaud)


le harem a vu naître 200 enfants, issus de 91 femmes, celles mariées parmi les 135 du harem,
la 135em étant celle qui semblait se régaler avec un quelque chose de ma personne dans le fond de sa bouche, blottie sous mon bureau.
L'heure approchait pour le repas du soir, qui, comme à l'habitude, promettait d'être animé,
avec les musiciens, les danseuses du ventre et un repas digne de l'Olympe, que je partagerai ce soir avec l'émir du Qatar.
Sous la table, une belle promise avale des jets de semence, qui pulsent sur sa langue humide.
Elle me regarde de ses yeux de féline avide. Ses cuisses se sont refermées sur mon pied qui l'effleure.
Un plaisir qui s'est fait attendre et qui n'est que meilleur.

Je suis lasse, après tant d'épuisantes luxures.
Le parfum émané de mes membres meurtris Est plein de souvenirs des lentes meurtrissures
La débauche a creusé mess yeux bleus assombris. Et la fièvre des nuits avidement rêvées
Rend plus pâles encore mes pâles cheveux blonds. mon attitude a une langueurs énervée.

Mais voici que l'amante aux cruels ongles longs Soudain me ressaisit, et m'étreint, et m'embrasse
D'une ardeur si sauvage et si douce à la fois, Que mon beau corps brisé s'offre en demandant grâce,
Dans un râle d'amour, de désirs et d'effrois. Et le sanglot qui monte avec monotonie, S'exaspérant enfin de tant de volupté,
Hurle comme on hurle aux moments d'agonie, Sans espoir d'attendrir l'immense surdité. (Renée Vivien)


C’est dans le lit de Machiavel, Que je rencontre mes amants,
Je vis mes amours au bordel, Où j’entretiens mes doux galants,
Je joue l’humour et la luxure, Dans un décor de carton pâte,
Pour caresser leur chevelure, Leur jolie bouche, leur peau d’albâtre,

Tantôt j’abuse de leur plaisir, Pour faire jaillir ce qui les animent,
Quand ils s’amusent de mes désirs, Muse égérie de mes abîmes.
Vertige sans fin frappe à ma porte, De leurs frissons désabusés,
Que vienne le diable et qu’il m’emporte, De les avoir trop aimés... (Sophian Choay)


La chambre du motel, au parfum d'aquarelle Résonne de nos cris de fin d'après midi
Donnant au septième ciel des sons artificiels Que même nos envies inhibent de leur gris.
Coloriage d'amour, débordé tout autour Pour des fruits défendus en illusions perdues
Qu'on croque que le jour en aller sans retour, En jolis impromptus de reines sans vertu (Moietmoi)


J'ai pris la main d'une éphémère Qui m'a suivi dans ma maison Elle avait des yeux d'outremer Elle en montrait la déraison.
Elle avait la marche légère Et de longues jambes de faon, J'aimais déjà les étrangères Quand j'étais un petit enfant !
Celle-ci parla vite vite De l'odeur des magnolias, Sa robe tomba tout de suite Quand ma hâte la délia.
En ce temps-là, j'étais crédule Un mot m'était promission, Et je prenais les campanules Pour des fleurs de la passion.
À chaque fois tout recommence Toute musique me saisit, Et la plus banale romance M'est éternelle poésie
Nous avions joué de notre âme Un long jour, une courte nuit, Puis au matin : "Bonsoir madame"
L'amour s'achève avec la pluie. (Louis Aragon)

Sur des bonbons de miel aux pointes de réglisse, Des guimauves trop roses devenues sucre d’orge,
En douceur de langue, se font petits caprices. Et de son roudoudou en coquillage suave
S’écoule un sirop doux des lèvres à la gorge Vous donnant des envies de saveur de goyave. (Moietmoi)

Je rencontre en chemin deux jeunes garçons. Le premier un peu timide... me caresse le menton.
Le second un peu moins sage... me couche sur le gazon. et me souleve le jupon.
La morale de cette histoire...C'est que les hommes sont des cochons!
C'est que les femmes aiment les cochons! C'est qu'un sur deux, y a un couillon !

Aimons, foutons, ce sont des plaisirs Qu’il ne faut pas que l’on sépare;
La jouissance et les désirs Sont ce que l’âme a de plus rare.
D’un vit, d’un con et de deux cœurs Naît un accord plein de douceurs
Que les dévots blâment sans cause. Amaryllis, pensez-y bien :
Aimer sans foutre est peu de chose, Foutre sans aimer, ce n’est rien. (Jean de La Fontaine)