arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
samedi 06 juillet 2024 - 16h03rech / rep
---prty-gpe-deb1417789pg--

---prty-gpe-deb1417789pg--
(taille reelle)
danse à trois ()
Nous ne savons rien d’elle. Nous sommes dans un coin sombre de la salle. Sous une musique lascive, collés l'un à l'autre, joue contre joue, Nous dansons vaguement, elle coincée entre nos deux corps. Nos mains glissent sur la soie de sa robe noire, avant de rencontrer la douceur de son dos nu.
Elle a passé ses deux bras l!un sur ma taille, l'autre sur la hanche de mon ami qu'elle serre contre elle. Ses seins fermes et rebondis se pressent contre ma poitrine Le bas de son ventre vient se frotter contre moi dans un mouvement sensuel et probablement calculé. Délicatement, les deux bretelles de soie se detachent sur ses bras nos levres se touchent, se frottent delicieusement Nos langues s'enroulent l'une autour de l'autre nos mains jouent avec les deux superbes mamelles, passant d’un sein à l’autre, les palpant dans leur totalité ou nous concentrant sur ses mamelons. Je sens ses mains qui caressent mon dos, sa respiration se fait plus haletante quand j’atteins son nombril, elle se cambre brusquement dans un soupir.
La main de mon ami caresse son ventre chaud, glisse entre ses cuisses Son corps languissant à un léger sursaut lorsque ses doigts effleurent ses lèvres intimes, Il caresse maintenant son sexe sur toute sa longueur. Sa vulve ramollit et s'ouvre sous ses doigts
Quelques petits va et vient à l’intérieur. Sa poitrine se soulève par saccades, sa respiration se fait haletante, C'est moi qui maintenant colle ma main à son sexe que je masse, ma paume entierement mouillée par sa toison détrempée.
Au gré de mes caresses, un peu de musc s’écoule hors de son vagin. Je poursuis ma caresse, j'enfonce mes doigts plus profondément en elle, encouragé par ses gémissements réguliers. Ses mains ont glissé dans mes cheveux bruns qu’elles parcourent et agrippent avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres me ramène à la réalité, et je sens ses doigts se crisper dans ma chevelure sa respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. Nous comprenons qu’elle est proche de l’orgasme. Elle concentre les mouvements de ma main sur son clitoris gonflé. Je sens son sexe qui se contracte, la pression de ses lèvres brûlantes et humides qui se referment sur ma main est délicieuse. Elle tente d’étouffer un gémissement, tout son corps se crispe sous l’effet du plaisir. Puis ses muscles se détendent, et la main de mon ami recommence instantanément le meme manège.

Quelques secondes plus tard, elle se contracte à nouveau et ne peut cette fois réprimer un cri. Mes mains ont glissé de son ventre à ses seins au rythme de ses halètements et la crispation de ses doigts sur ma tete est presque devenue douloureuse pour mon cuir chevelu. Elle se contracte, se détend, se contracte à nouveau, puis se détend encore. Son sexe et son corps reagissent de concert. Prise de légers spasmes qui font tressauter tout son corps, glissante de sueur et de musc au niveau de son bassin, elle pousse de petits cris de plaisir, puis un seul gémissement, plus aigu que les autres, lorsque mon ami achève de la faire jouir en tendant sa main au maximum, l’enfonçant au plus profond de son sexe brûlant. Elle a encore un ou deux sursauts puis soupire longuement, comme soulagée d’avoir pu évacuer tout ces plaisirs par un orgasme.

Croyant en avoir terminé, il tente de se retirer, mais elle le retient avec délicatesse. Nous restons comme ça à trois une bonne minute, ses cuisses se referment avec douceur sur ma main et je sens peu à peu les muscles de son vagin se décontracter autour de mes doigts. Elle finit toutefois par nous libérer et je me detache d'elle, lui révélant par la même occasion le désir qui brûle toujours en nous, plus fort que jamais. Appréciant sans surprise l’érection qui déforme nos pantalons, elle a un sourire satisfait. Elle paraît légèrement assommée par l’orgasme, comme si ses membres étaient engourdis par le plaisir, mais lorsque nous nous penchons sur elle pour l’embrasser, c’est elle qui nous saisi de nouveau la tête et attire doucement nos deux visages vers le sien.
Nos baiser dans son cou et sur ses seins sont tendres et passionnés, et tandis que la langue de mon ami s’affaire dans sa bouche, je sens sa main qui vient évaluer mon excitation à travers le tissu de mon pantalon. Puis, dans un court moment d’incertitude, alors qu’elle écarte son visage elle nous murmure à tous les deux :
- Faites-moi l’amour. Là. Maintenant.
Ces mots sonnent dans nos esprits autant comme un ordre que comme une autorisation. Nous nous pressons sur elle, nos vêtements frottants contre sa peau humide. Nous l’embrassons à nouveau, avec fougue cette fois, ma langue se frayant un passage entre ses lèvres pour aller se loger dans sa bouche, telle une future pénétration, ses mains glissent de nos cheveux à nos hanches, puis à nos fesses et ses cuisses se relèvent légèrement autour de nos bassins, de telle sorte que nos sexes, tendus dans nos caleçons, effleurent ses cuisses et ses fesses à chacun de nos mouvements. Elle écarte violemment les pans de nos chemises et ses deux mains caressent longuement nos torses dénudés sous la chemise
avant de les faire glisser le long de nos bras et de les envoyer voler à travers la pièce. A demi-nus, nous nous serrons de nouveau sur elle pour l’embrasser.
Son bassin frotte contre le notre, nos sexes mâles plus dur que jamais.
Visiblement impatiente, elle abaisse nos pantalons jusqu’aux genoux, d’où j’arrive à le retirer complètement d’un mouvement de pieds.
Nous voilà en caleçon, ses mains remontent sensuellement le long de nos cuisses et se glissent sous l’élastique, explorant un court instant l’intérieur de nos caleçon avant de l’abaisser lui aussi, libérant nos sexes en érection qui se dressent maintenant à quelques centimètres seulement de ses lèvres entrouvertes et lubrifiées.
Sans attendre, elle saisit délicatement mon pénis et le guide jusqu’à elle.
Je m’enfonce sans difficulté dans son sexe encore humide de musc,
mes lèvres se collent au sienne pour étouffer un gémissement tandis que ma verge en érection la pénètre de toute sa longueur.
Je m’arrête et, pendant un instant, nous ne formons qu’un seul et même corps, puis je commence un lent mouvement de va et vient. Mon bassin ondule contre le sien et elle gémit tandis que le frottement de ses chairs détrempées sur ma hampe et mon gland m’arrache un premier râle de plaisir. Je prends conscience que je ne tiendrai pas longtemps, mais elle paraît déjà proche de l’orgasme. Ses mains explorent mon corps pendant que je m’enfonce en rythme dans le sien.
Mon gland butte contre le fond de son vagin, la sensation est électrique, pour moi comme pour elle apparemment
puisqu’elle gémit maintenant avec plus d’intensité.
Sa respiration s’accélère, ma cadence aussi,
mon sexe laboure maintenant le sien avec vigueur et la pression de sa chair autour de la mienne est aussi délicieuse qu’insupportable.
Elle semble avoir un nouvel orgasme et ses lèvres se contractent sur ma verge et l’enserrent,
je n’y tiens plus, mon corps tout entier se tend et je me laisse aller à l’orgasme.
Je frissonne à la fois de froid et de plaisir tandis que mon sexe crache sa semence au plus profond d’elle-même en trois jets puissants.
Elle gémit une dernière fois et, dans un soupir, je m’écroule sur elle, appuyant ma tête contre sa poitrine.
La sensation de chaleur qui m’envahit tandis qu’elle passe ses bras autour de moi est merveilleuse,
je suis toujours en elle et même si mon sexe commence déjà à retrouver ses proportions normales entre ses lèvres qui s’écartent à nouveau autour de lui, je ne m’en retirerai pour rien au monde.
Tous deux abasourdis à la fois par l’effort et par le plaisir,
je crois que nous aurions pu nous endormir dans les bras l’un de l’autre si, l’excitation passée,
nous ne nous étions pas rappelés où nous nous trouvions…