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samedi 06 juillet 2024 - 15h57rech / rep
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(taille reelle)
un beau mâle ()
Allongée façe à lui au fond du canapé, J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par l'envie, par le désir. Il était impressionnant. Ce beau mâle était devant moi en pleine érection. J'étais hypnotisée par son sexe énorme. Je sentais mon corps frissonner, et ma vulve se mouiller. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. Je réalisai l’effet que me faisait cet homme en train de bander sans retenue. Mes jambes tremblaient. Mon cœur battait à la chamade et ma respiration saccadée. J'étais en chaleur, ma vulve mouillait tellement que je sentais l'intérieur de mes cuisses.....glisser l'une contre l'autre..... J'étais sexuellement à bout. Mon cœur battait à tout rompre, mon estomac se nouait.. Mes seins me faisaient mal... Je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, pincer. Je sentais mon jus couler entre mes cuisses, mouillant ma chemise de nuit. Je ne pouvais détacher le regard de son entrejambe, son membre erigé m'attirait comme un papillon la lumière. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes.
- Touche ! Sens ! regarde comme mes bourses sont pleines!
- Mon sperme est tout chaud et prêt à gicler dans ton ventre.
Sans m'en rendre compte, je commençais à caresser son sexe qui semblait devenir de plus en plus gros, de plus en plus droit. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. Mon corps était secoué de frissons incontrôlables. il m'excitait terriblement. Mon corps ne m'appartenait plus.
Doucement, il se pencha vers moi. Il prit mon visage entre ses mains. Je le regardais droit dans les yeux. Je senti son souffle, j’entrouvris les lèvres, sa bouche se posa sur la mienne, s'y appuya, l'ecrasa. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, ma langue dansait avec lui. Le désir, intense, envahissait mon corps, en prenait possession. mon corps entier frémit. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda dans les yeux et sans me demander,
releva ma chemise de nuit, exposant mes seins, mon ventre.. mon sexe. Je tremblais comme une feuille.
Je sentis alors sa bouche sur ma poitrine, sa langue taquiner mon mamelon, je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue… je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Il ouvrit la bouche et engloutit mon sein. Sa langue continuait un mouvement circulaire, excitant ma pointe. Je sentais sa salive sur ma peau. Je fermais les yeux, vivant chacun de ses mouvement, de ses attouchement. Il laissa mon sein, se releva légèrement, me poussa doucement au fond du canapé. Je fermai les yeux. Sa main descendit, faisant frissonner ma chair, Mes cuisses s’entrouvrirent légèrement, lui permettant de glisser son index à l’intérieur de mon sexe.
D’un mouvement à peine perceptible, j’écartai les cuisses un peu plus. Il me branlait lentement, doucement. J'avançais mon bassin. Son sexe enorme était devant moi. Son gland, rouge vif, était luisant. Je fermais les yeux, Je le sentis alors s'enfoncer en moi. Lentement, sa queue glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément.. Sans m’en rendre compte mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses, et caressait ses bourses Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider dans ses va et viens. Il accéléra soudain Je savais qu’il arrivait au point de non retour. Il doubla ses coups de boutoir. Soudain, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Les spasmes finis, je laissai sa queue glisser hors de ma vulve, liberant un flot de semence . Il tomba a genou, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là