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samedi 06 juillet 2024 - 16h00rech / rep
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(taille reelle)
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Je me refaisais une beauté devant la glace des toilettes lorsque je l'ai vu arriver. Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il flattait délicieusement mes belles poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge bien visible. Il promenait ses mains délicatement le long de mes seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. Il pouvait les palper, les caresser à loisir. Il était contre moi, mon cou contre ses levres, je fermais les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de ses caresses. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Ses deux mains chaudes se posaient en coupe sous mes seins et les pressaient tendrement. Il plaqua ensuite ses doigts sur mes mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Il recommenca plusieurs fois, empoignant cette fois mes seins à pleine main. Je sentais ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes volumes mammaires, les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lâchait ... ils revenaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fit sortir mes pointes. Il enfonçait ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectua de petits cercles concentriques et écrasa mes tétons. Je ressentais des ondes de chaleurs. Ses doigts n'en finissaient pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambrais pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. J'étais au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entendais geindre. Immobile, j'essayais de respirer lentement et profondément, ma vulve était envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Il pétrissait mes seins, les frottait l'un contre l'autre, les déplaçait, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpait, les caressait. J'étais affalée sur ma chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses.