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samedi 06 juillet 2024 - 16h05rech / rep
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(taille reelle)
un beau mâle ()
Cétait un beau mâle, plutôt bien bâti, J'étais tres excitée par ce qui était en train de se passer entre nous, nos deux corps étaient désormais dénudés, serrés l'un contre l'autre dans la semi obscurité de cette salle. il avait relevé mes dessous. Il bandait de manière indécente contre moi, me faisant sentir ses dispositions. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud, complètement excitée par la situation dans laquelle nous étions en train de nous mettre. Sa main se glissait au bas de mon dos, il remontait encore le bord de ma lingerie. Je ne parvenais plus à l'arrêter, il cherchait ma bouche, et mes mains, malgré moi, exploraient ses hanches, son torse musclé.
Visiblement excité à l'idée de partager avec loi une aventure d'un soir, il s'excitait sur mon corps, qui était, petit à petit, en train de ceder. Je l'ai alors senti passer sa main entre mes cuisses. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées. Je n'étais pas encore décidée. Devais-je si vite lui succomber ? Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Je cherchais à retirer ses mains qui se faisaient de plus en plus pressantes sur des endroits plus intimes. Mais il m'attrapa les mains et s’imposa, fort, viril, dominant. Je continuais de résister, mais sa manière à lui de me contrôler, de me soumettre à lui, m’excitait bien plus que je ne le pensais et je finis par me laisser aller.
En fait, je le désirais. Je le désirais de plus en plus fort. Ses mains étaient douces, il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Je le voulais. Je le voulais à moi. Je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse crier.
Il m'a alors plaquée contre le mur, pour me soumettre, me tenant les mains, sans que je puisse me débattre … Et d'ailleurs, pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus. J'avais abdiqué. J'avais envie de lui. Je me laissais aller, J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Mon coeur lâchait Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais encore.

Inconsciemment, comme poussée par une pulsion irrésistible, je glissai ma main sous sa ceinture et m'emparai de son sexe gonflé, prêt à exploser, et le massais sensuellement. Il s'ingenia dans le meme temps à baisser ma culotte qui s'affaissa sur le sol. Puis, n'y tenant plus, j'en dirigeai le bout entre les grandes lèvres de ma vulve ruisselante. Ses bourses étaient pleines. Il n'en fallait pas plus pour qu'il s'enfonce d'un coup en moi, la verge bandée, éprouvant visiblement une jubilation inédite en enfilant son sexe dur dans mes chairs moites. Je sentais le gland gonflé repousser les chairs intimes de ma vulve. J'étais à la fois complètement affolée et totalement réceptive. Bestial, animal, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je criais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. J'agrippai ses epaules comme je pouvais …
Planant sur un puissant nuage érotique, il ne m'écoutait plus, il s'affairait sur mon corps, fasciné par mes gros seins, tremblant doucement devant ses yeux. Il se laissa alors emporter par sa fougue de mâle en rut. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon vagin, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir qu'il me dispensait, et sous les chocs répétés du gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de mes entrailles irradiées. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon fougueux partenaire, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :


il m'a pris. Il a fait glisser ma culotte au sol, m'a soulevée par les fesses et s'est introduit en moi. A bout de force, je l'ai senti entrer et ressortir en moi,
Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m’a soumise, désirée. Après m’avoir prise comme ça pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et il jouit en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Ce soir la, j'ai aimé me laisser aller, J'ai adoré sa virilité, son coté bestial, animal.


- Plus vite ! grognai-je… bien au fond !
De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'activa de plus belle dans mon ventre désormais totalement investi, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je m'étais mis à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration. Il ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Dés l'accélération imposée, j'avais compris qu'il atteignait le point de non retour, aussi l'enserrai-je encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, et, dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant son sperme abondant au plus profond de mon sexe ravagé. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous mon amant d'un soir, lui aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants, nous restions ainsi tous les deux, intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer le corps devenu trop lourd de à mes cotés, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement