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samedi 06 juillet 2024 - 15h25rech / rep
cpt-s1-65 prost-fel

cpt-s1-65 prost-fel
(taille reelle)
Tout juste une douce caresse ()
Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts ma virile raideur. Ses mains tout en douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences: je libérais peu à peu du liquide pré séminal, Elle continua son massage quelque temps en fixant intensément mon sexe, gonflé comme jamais. Penchée vers mon penis qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait. Elle posa ses lèvres sur mon gland, Puis elle l'engloutit jusqu'à la base tout en me regardant fixement. Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de sang. Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main me caressait les bourses. Je portais ma main sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains. Mes doigts avaient repoussé la fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait. La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, Je sentis ses globes fessiers se contracter. Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer, Je sentais ma sève monter progressivement. Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre. Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme. Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper. Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant.

Le souffle chaud de ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea à poursuivre, et du bout de sa langue elle vint effleurer ma muqueuse. Les spasmes de mes bourses qu'elle manipulait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe en entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle dégagea un moment ses lèvres de mon sexe planta ses yeux dans les miens. C'était un regard de feu, de passion, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle me murmura :
- Mon chéri, je veux te faire jouir, te sucer, te pomper, je veux te vider de ton élixir de vie.
Elle allait et venait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Mon sexe était tout luisant de sa salive, Les caresses de ma sublime maîtresse, m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, j'attrapai la tête de ma fellatrice pour bloquer son mouvement de va et vient le long de mon dard et l'avertir de l'imminence de mon explosion
- Madame, je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête de mes mains, enserra fortement la base de mon membre pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers mon visage.
- Mon chéri, donne-moi toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt mon gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche
- Oh Madame ! Je viens !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, elle resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de mon nectar, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Mon jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle, et pourtant, pour elle apparemment, un véritable hydromel, un nectar. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante encore dure dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper ma verge encore bien bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher ma hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, elle m'adressa un regard langoureux pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de ma délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Je recherchais mon souffle, mes yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardai ma douce fellatrice à mes genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de mon sperme. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore mon sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme satisfaite.