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samedi 06 juillet 2024 - 15h41rech / rep
-prost-03-deb@

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(taille reelle)
J'étais dans un demi-sommeil ()
J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans une quasi obscurité Un bruit de froissement de tissu me tira de ma torpeur. Une hotesse de nuit se tenait devant mon lit. Splendide. Une longue robe de nuit a demi-transparente laissant les deux seins pointer sous le fin tissu. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes.
Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et se positionna sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers elle. Et se laissa progressivement enfoncer sur mon sexe dressé tel un mat. Elle l'absorba petit à petit en surveillant mes réactions Je le vis disparaître entre ses grandes lèvres. Aspiré, sucé, absorbé, digéré, Il s'enfonçait dans du beurre ! Mon penis était en feu, enrobé de ses sécrétions. Elle se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, elle s'empalait en me regardant fixement, ses seins ballottaient et réveillaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, elle soulèvait son bassin puis se laissait redescendre pour mieux me sentir glisser sur ses muqueuses, j'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, elle remuait sur moi, ses sécrétions coulaient sur sur mes bourses. avec un bruit de succion terriblement érotique. Le drap se tachait de nos liquides, ses seins ballottaient et exacerbaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, Je pétrissais ses seins, elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement se mit à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, Elle se déchaîna, ses seins ballotterent de droite à gauche elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens. Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Elle se crispa. Un dernier coup de rein Je ne me retins plus ! Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme gicla en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs prolongeait sa jouissance. Elle s'écroula en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! En me retirant, ma queue émit un indécent bruit de siphon Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager

Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur une autre hotesse, blonde cette fois-ci. Elle portait un plateau où se trouvaient, à côté des mets, une carafe d’eau et un verre. Elle me salua, posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Vous avez dormi, il faut vous nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Son corsage était ouvert sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous sa robe, ses cuisses étaient gainées de bas sombres.
- On m’a dit que vous aviez apprécié notre service de nuit.
Cette hotesse était aussi sinon plus désirable que la première Je mangeais tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de moi. Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement son corsage, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux.
Puis, elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle ne portait pas de culotte. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes.
Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter. Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu.