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samedi 06 juillet 2024 - 16h12rech / rep
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(taille reelle)
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Une chair rose aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle est quasiment nue, les seins laiteux se dévoilent dans leur splendeur, toute cette chair ronde et blanche s'étale maintenant sous mes yeux. Nuque pâle, tête inclinée, elle s'approche de moi et me demande la raison de ma visite
- Qui t'a parlé de moi ?
- Tu es bien jeune
- Qu'est-ce que tu aimerais savoir ?
J'étais curieux de tout et en particulier du fonctionnement des rapports amoureux et l'on m'avait dit que Mme Lucie saurait m'expliquer tout ca. J'interrogeais donc Lucie sur les femmes, l'amour, le désir. Je voulais apprendre, savoir, découvrir comment nait le désir. Elle me fit asseoir et, touchée par ce geste de confiance, elle commenca a m'expliquer, par les mots d'abord.
- Tu me trouves attirante ? ... Tu vois, tu es sensible au charme d'une belle femme !
- Julien, tu veux vraiment savoir comment nait le désir d'une femme ?
J'étais assis à ses coté et je me suis rendu compte qu'entre elle et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que sa poitrine, libre de toute contrainte pesait sur mon torse. Je constatais qu'elle semblait nue en dessous de son corsage de soie. J'ai alors senti ma verge se gonfler et se raidir contre sa cuisse. Je bandais, sans complexe et elle en était la cause. Je m'inquiétais de ce qui se passait dans mon corps, elle a alors tenté de m'expliquer
- Ma gentillesse, que tu sembles apprecier, ma douceur, le contact de nos corps, ce que tu ressens en te serrant contre moi, c'est tout cela déclenche les transformations de ton corps, c'est tout cela qui déclenche le désir
J'ai alors senti que ses seins réagissaient aussi à ce contact, ses pointes étaient en saillie sous le léger tissu. J'ai tenté de me séparer d'elle, mais elle m'a demandé de rester à ses cotes. Je découvrais pour la première fois une belle poitrine de femme mure, deux seins bien ronds, à peine affaisés sous la dentelle, qu'elle commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur ses bras, et laissaient sa gorge à une faible distance de mes lèvres. J'avais le vertige. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Elle a posé ses lèvres sur mon cou, puis sur mes joues, puis à la naissance de mes lèvres. Elle m'affolait litteralement. Je découvrais le désir avec elle, avec son corps.
- Julien, regarde moi ! ... Tu vas me donner tes lèvres !
Elle a alors posé ses levres sur les miennes, doucement d'abord. Puis nous nous sommes embrassé de manière plus appuyée. Elle a introduit doucement sa langue entre mes lèvres. J'ai introduis la mienne, je m'abandonnais à son baiser. Ma main au bas de son dos retroussait inconsciement le bord de son corsage. Elle se serrait un peu plus contre moi. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous caresser, de nous toucher, je me suis alors séparé d'elle, tentant de reprendre mes esprits
- j'ai envie d'apprendre avec vous ... lui demandai-je discretement
- Tu comprends maintenant comment vient le désir entre un homme et une femme !
- Julien, regarde moi ! ... Tu veux vraiment savoir ?
- Tu veux que nous vivions ensemble cette experience ?
J'eu alors une intense envie de satisfaire avec elle mon attirance violente pour ce beau corps de femme mure. Je me suis lové contre elle, elle a commencé à me devoiler son corps. Je l'ai caressé tendrement et elle vint se glisser sournoisement et s'incrusta avec passion contre moi. La pression de sa chair chaude s'intensifiait, les pointes de ses seins caressaient ma peau sensible. Je caressai les chairs appétissantes, elle bougeait légèrement, ses yeux se sont relevés. Mon sexe se gonfla. Mon corps s'agita. Elle se serra contre moi, me fixa intensément,
- Julien, que ressens-tu à present ?
- Tu n'es pas insensible à mon corps, je sens ton sexe dur comme du bois, laisse moi le caresser doucement,
- Julien ! Regarde moi ! Tu as envie de moi ? ... Et moi, j'ai envie de toi !

Elle m'emmena alors dans sa chambre. Le visage empourpré, je m'étais rapprochée d'elle, elle me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, puis posait ses lèvres sur les miennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. D'abord surpris par ce baiser, je me laissai faire, passif.
- Je suis la première ? me demanda-t'elle
J'acquiesçai, comme si cet aveu avait déclenché chez moi une passion nouvelle. Elle se pencha alors sur moi, s'emparat de ma bouche pour m'embrasser amoureusement, mélangeant nos langues et nos salives de manière très sensuelle. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant son doux baiser, elle me regardat dans les yeux :
- Tu veux ? Tu es toujours d'accord pour que nous allions plus loin ?
Elle dénoua alors sa legere nuisette de soie, qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin. Elle posa sa main sur ma verge gonflée pour l'évaluer avec émotion.
- Tu vas me faire l'amour ! Nous allons nous faire du bien tous les deux !
Puis, me fixant, ses yeux humides dans les miens, elle dirigea alors mon sexe vers ses lèvres intimes et glissantes. Je me sentis absorbé dans ses chairs chaudes, mon sexe dur se gonflait de sang, enserré dans son ventre qui m'enrobait et m'aspirait, s'échauffait, et s'agitait au rythme des palpitations de son corps. Je plongeai en elle, la pénètrai plus profondément, elle resserra et desserra l'étreinte, jusqu'à l'expulsion de mon sperme dans le ventre tout chaud de ma maitresse d'un soir