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samedi 06 juillet 2024 - 15h30rech / rep
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(taille reelle)
degustation ()
C'est la première fois où je la vois, elle a choisi son endroit pour exercer sa vertu à l'égard de gens comme moi, c'est la première fois, je m'y prends comme un manche. On m'a dit qu'elle savait tres bien faire des choses nouvelles et originales. En travers de la porte, elle me provoque, sensuelle. Ses seins sont mobiles, ronds, lourds, ensorcelants. Elle me regarde droit dans les yeux. Je passe devant elle et son regard me suit. Je viens de la dépasser. Je m'arrête ... et je reviens sur mes pas. Je bande. Elle est encore là. Il faut faire vite. Elle me voît venir, elle a compris. Elle s’approche discrètement de moi. Le dialogue est bref.
Elle rentre dans l'hotel, je la suis. C’est un petit hotel. On sera tranquille. Elle fouille dans son sac. Je la regarde. Je bande affreusement. Elle glisse sa main sur mon pantalon, puis dans mon pantalon, sort l'engin, enfile le préservatif, branle le mou. Je la regarde, elle roule sa robe jusque sous ses bras. Son corps est beau. Une couleur légèrement ambrée. Des seins relevés, sur lesquels je porte mes mains. Je voyage dans mon rêve à deux cents francs. Elle reprend le branle. Puis elle commence à me sucer. Elle s’agite autour de ma queue ... qui se raidit, se tend, se libere. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tend mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Elle me tend un kleenex. Je retire le préservatif. je regarde son corps. Elle me fixe de nouveau
- Tu as encore faim ?
- Alors, viens, suis moi, c'était le hors d'oeuvre ! On ne va pas en rester là ! ...
Elle veut me faire gouter les délices d'une vraie fellation. Une fois allongé sur son lit, Elle se laisse couler le long de mon corps, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. Sa douce main continue son doux et lent massage, alors que l'autre empoigne mes bourses. Son souffle chaud se rapproche de l'extrémité de mon sexe. Elle pose d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrasse délicatement. Mon premier frisson l'encourage, et du bout de sa langue elle vient effleurer la muqueuse Mes spasmes qu'elle ressent dans sa main la stimulent, et c'est mon sexe entier qu'elle léche maintenant, sur toute sa longueur. Elle monte, descend, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant lui appartient. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts semblent l'exciter au plus haut point. Mon sexe est luisant de sa salive, ses caresses m'amènent à la limite du cataclysme. Je me contracte pour ne pas jouir immédiatement J' attrape sa tête pour bloquer son mouvement de va et vient le long de mon dard.
- Je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégage alors sa tête de mes mains, enserre fortement la base de mon sexe pour bloquer la montée de la lave en fusion qui est imminente. Elle dirige son regard vers le mien.
- Mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme sur le point d'exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait mon dard accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement liquide qui s'annonçait proche. Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements...Aaahhhh ! ... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, elle resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Le bâton de jouissance de moi, son amant était encore dur dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Mme Granger à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.

De mon passage, Monsieur méfiez vous. Comme témoignage un peu partout, J’abandonne l’indice coloré d’une pointe de rosée. A petites touches de ma bouche, Je laisse l’empreinte de mon étreinte. Grenat, vermillon, carmin, ou géranium, Peu importe le corail : Votre sexe toujours défaille.

Arthémisia