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samedi 06 juillet 2024 - 16h07rech / rep
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(taille reelle)
J'avais convié Julien ()
J'avais convié Julien dans ma chambre. Le visage empourpré, je m'étais rapprochée de lui, je lui fis quelques caresses de mes doigts sur son visage, puis je posai mes lèvres sur les siennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. D'abord surpris par ce baiser, il se laissa faire, passif.
- Je ne suis pas la premiere ? lui demandai-je
Il acquiesça, comme si cet aveu avait déclenché chez lui une passion nouvelle. Je me penchai alors sur lui, m'emparai de sa bouche pour l'embrasser amoureusement, mélangeant nos langues et nos salives de manière très sensuelle. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant mon doux baiser, je le regardai dans les yeux :
- Tu veux ? Tu es toujours d'accord pour que nous allions plus loin ?
Je dénouai alors ma legere nuisette de soie, que je retirai lentement, comme pour me faire désirer un peu plus. Il ne perdit pas connaissance, mais il n'en était pas loin. Je posai une main sur sa verge gonflée pour l'évaluer avec émotion.
- Tu vas me faire l'amour ! Nous allons nous faire du bien tous les deux !
Puis, le fixant, j'écartai mes jambes et je le guidai vers moi. Sans attendre, j'ai senti sa verge s'enfoncer progressivement et naturellement dans les onctuosités de mon ventre chaud. C'était la première fois qu'il pénétrait le sexe d'une femme de mon age. J'avançai mon bassin et relevai mes jambes en les écartant le plus possible, pour mieux m'offrir à lui et lui faciliter une pénétration plus profonde. Il entama alors naturellement un tendre mouvement de va-et-vient, coulissant dans mes entrailles, bougeant lentement pour mieux savourer le frottement de mes chairs moites et brûlantes sur sa verge. Nos corps émettaient ensemble un delicieux bruit de clapotis. Puis il s'accrocha à mon cou, prit mes lèvres, nos langues se caressèrent avec passion, alors que mes seins frottaient sa poitrine. Il était au paradis. sa langue dans ma bouche, son sexe bien au fond de mon ventre. Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui lui arrivait. Il avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Son souffle était puissant et bruyant, et moi, je lui offrais mon corps sans pudeur, sans retenue. Il me baisait de plus en plus sauvagement. Subitement je sentis le plaisir monter en lui, il poussa un cri rauque, se crispa et de longues giclées jaillirent au fond de moi, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait ma vulve dans laquelle il naviguait avec passion. Dans la foulée je me raidis aussitôt en émettant un long râle déchirant. Tout mon corps se mit à trembler convulsivement. Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire, à reprendre notre souffle et nos esprits. Au bout de quelques minutes, je lui passai tendrement ma main dans les cheveux.

- Mon chéri ! Tu as été très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. J'ai senti dans tes bras mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. J'ai aimé le contact de ton corps, j'avais envie que tu me touches, que tu me frôles, que tu m'enlaces de tes douces caresses sans cesse répétées, et tu m'as caressée avec un maximum de tendresse comme si j'étais un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier voulait te dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Tu m'as séduite, tu m'a rendue amoureuse, folle. J'avais envie de t'aspirer lentement, goulûment en moi, tu as su me rendre insatiable et enflammée. Tu t'es enfilé en moi, allant et venant, me tenant au niveau des épaules, les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'est accéléré par la magie de nos désirs sans cesse renforcés.Tu voulais tout, la profondeur, la rapidité, la jouissance. Et moi, je voulais ta force animale quand tu t'es emparé de moi, Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie de toi, à en crier. Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition. Une seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de toi, mon jeune amant, une jouissance profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévoraient encore et encore, qui me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant...