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samedi 06 juillet 2024 - 15h55rech / rep
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(taille reelle)
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Il était subjugué emmerveillé par la beauté du corps de cette belle femme avec qui il allait faire l'amour. Elle amena sa belle verge bien bandée de son à l'entrée de sa chatte. Ondulant de bassin, elle enduisit le gland de ses sécrétions intimes le caressant de ses lèvres vaginales Elle promenait l'extrémité du sexe du jeune homme sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Il n'en revenait pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, S'accrochant aux épaules du jeune homme, elle lui souffla à l'oreille :
- Viens maintenant, vas-y !
Ce fut le signal et il propulsa brutalement son sexe dans le ventre accueillant, clouant littéralement sa maitresse sur le lit. Ce fut un véritable coup de butoir qui fit hoqueter Lucie, lui coupant le souffle. Elle s'aggripa plus étroitement à son jeune amant, essayant de retrouver ses esprits le moment de surprise passé. Le jeune homme s'affola :
- Vas-y, bouge et ne t'arrête pas !
Elle murmurait ses encouragements à l'oreille de son jeune clientt en lui caressant affectueusement les cheveux. La pénétration brusque l'avait surprise. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la poussée du jeune garçon se fit facilement et que son gland put buter au plus profond de son ventre. Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle. Elle enfonca son visage dans le creux de l'épaule de son jeune amant. Le souffle chaud de sa maîtresse dans son cou, ses baisers mouillés sur sa peau, ses tendres caresses dans ses cheveux rassurèrent le jeune homme qui entama un lent retrait de son membre durci. Sur son épaule elle se crispa :
- Non reste !
Et notre jeune homme replongea à nouveau dans la chatte moelleuse. Le jeune homme se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de sa maîtresse lui firent comprendre qu'il avait vu juste. Il lui fallait combler cette femme merveilleuse. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds, elle ronronnait comme une chatte, c'était de nouvelles sensations.
Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux, il coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait.
Il continuait ses va et vients régulers, Le goût de sa peau que le jeune homme lapait comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour le jeune garçon. Elle n'était pas chaude, elle était brûlante. Lui était en nage et une chaleur torride irradiait du corps de sa maîtresse, il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, sa queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion, il devenait fou. Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de lui-même vers son cerveau lui faisait totalement perdre le contrôle de ses actes. Chaque partie de son corps semblait évoluer pour son propre compte.
Sa bouche courait sur tout le visage et le cou de son égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Les lèvres du jeune amant dévoraient à nouveau celles de sa maîtresse, les dents de Julien jouaient avec les mamelons turgides de son initiatrice. Les mains du jeune homme couraient elles aussi frénétiquement sur le corps de Solange pour la caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement sa partenaire et mieux investir de son pieu ardent le puits d'amour de Madame Granger. Un seul mot d'ordre pour le jeune mâle, contrôler les spasmes de son sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer sa charnelle déesse, pour combler sa muse volupteuse. Et Julien se consacrait entièrement au culte d'amour dans la caverne aux délices de Solange, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment.La gémissante Madame Granger n'en finissait pas de râler sous les perverses caresses internes de son amant. Décidément, ce jeune puceau se révélait être un vrai démon.Il la pénétrait, la forçait à s'ouvrir à ses profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Un pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. La tête de Solange roulait sur ses épaules, son souffle était court,
ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par Jean. Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance.
Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur.
Le jeune garçon lui avait totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis.
Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance.
Solange mordit l'épaule de Julien pour ne pas hurler,
mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelstrôm.
Le jeune homme avait compris ce qui se passait
mais continua ses mouvements ondulatoires accélérant la cadence
pour amplifier la jouissance de sa maîtresse et aboutir à son plaisir.

Solange voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre.
Elle s'aggripa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche,
la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort.
La divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair
qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles.
Solange y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte.
Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent le jeune garçon.
La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Madame Granger.

Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt,
Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins,
il se rua dans cette chatte baveuse comme s'il voulait faire traverser le mur à sa partenaire.
Il lui pilonnait son con torride pour la propulser jusqu'au plafond.
Il hurlait des rales d'effort à chaque violente poussée,
il implorait le nom de sa maîtresse à chaque coup de butoir.
Le jeune garçon était devenu un barbare ravageant l'Empire Romain,
un vandale dévastant Rome, la ville éternelle.
Julien était un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts.
Solange n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux.
Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé.
Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille,
s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour.
Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde.
Madame Granger était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait.
Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu.

Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps,
se répandait dans la plaine profonde de son ventre.
Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent.
Elle hurlait le nom de Julien, le suppliait d'arréter, le priait d'aller plus fort..
Solange gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames.
C'était comme une vague qui l'emportait,
elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir,
elle atteignait l'orgasme absolu.

Enfin le jet puissant de la semence de son amant inonda le point le plus profond de la chatte de Solange,
enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé.
Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu.
Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation
et il avait encore accélérer la force de ses coups de butoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse.
Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines,
remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent.
C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride.
Il était l'Etna et le Vésuve réunis, il était l'homme le plus puissant au monde !

A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Madame Granger,
lui assenant ses derniers coups de belier pour lui exprimer sa gratitude de jeune puceau.
Les deux amants cherchaient leur respiration.
Julien continuait de limer Solange mais c'était la fin de la folle cavalcade,
il limait sa brûlante maîtresse comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée.
Solange revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol,
en prenant soin de garder le dard du jeune homme planté en elle.
Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier la comblait de bonheur.
Elle carressait doucement les cheveux et la nuque de son délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou.
Julien voulut exprimer ses sentiments mais elle le fit taire avec ses lèvres.
Sa langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte
puis elle repoussa doucement et le fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller !
Le fougueux amant voulu protester, mais son initiatrice lui posa la main sur sa bouche puis lui caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, le sexe du jeune homme glissa de sa gaine soyeuse,
faisant sursauter les deux amants et leur laissant une impression de vide immense.
- Pars, maintenant, souffla Solange...
Le jeune garçon un peu déconfit remonta son slip et son pantalon.
Il y rangea rapidement son sexe flasque et tout poisseux et ses bourses trempées de la jouissance de sa maîtresse.
Solange replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamourer de son amant
et, l'embrassant tendrement au coin des lèvres, le poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Julien se retrouva dans le couloir et la porte se referma doucement derrière lui.
Le clac de la poignée le ramena définitivement à la réalité.



Au premier étage, appuyée contre la porte de sa chambre Madame Granger essayait d'analyser ce qui venait de se passer.
Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avec un enfant à la faculté avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements.
Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre
lui rappelèrent qu'elle venait de vivre le moment de plus fort de sa vie.
Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve.
Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent
à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant.
Son clitoris encore sous le choc la fit frémir,
la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante.
Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés.
Solange commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur.
Celui ci clapotait dans un océan de sperme et de cyprine.
Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche
pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant,
agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines.