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samedi 06 juillet 2024 - 15h46rech / rep
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(taille reelle)
douce Marthe ()
Marthe disposait d'un petit appartement cossu dans le 5e arrondissement dans lequel elle recevait ses clients, triés sur le volet. Elle portait ses cinquante-cinq ans avec beaucoup de grâce. Avec ses yeux d’un bleu intense et ses cheveux bouclés, courts et blancs, elle charmait beaucoup d'hommes de la bonne société. Elle ne s’habillait que de fines lingeries de soie rose ou blanche. Du velours en hiver et de la soie en été. Je suis tombé sous son charme dès le debut et elle me réservait de doux moments d'intimité qui me comblaient. Je savais qu'elle avait besoin de ma jeunesse et de mon ardeur pour compenser les déceptions qu'elle pouvait ressentir par ailleurs. Marthe n’était pas seulement élégante, elle était aussi très sensuelle dans sa façon de parler, de bouger, de me regarder dans les yeux. Ses caresses étaient toujours tendres et enveloppantes, mais elle espérait encore davantage de nos rencontres. Elle se sentait pleine de gourmandise pour moi et souhaitait me voir devenir plus audacieux. Elle craignait que je la ménage comme si, étant plus âgée, je la jugeais trop fragile.
Jusqu’à présent, elle m'avait reçu en déshabillé de satin rose, mais elle voulait mettre ses formes en valeur et décida pour cela de choisir avec moi une nouvelle lingerie. Elle ouvrit ses tiroirs d'ou sortirent de délicieux dessous, soutiens-gorge à balconnets, combinaisons et culottes de soie, le tout dans des tons chaleureux. Après avoir essayé devant moi plusieurs ensembles, elle me demanda mon avis, j'arrêtai mon choix sur un déshabillé, d’un mauve soutenu qui contrastait sans violence avec la blancheur de sa peau, elle enfila ses nouveaux dessous et m'embrassa affectueusement.
- Et maintenant mon doux chéri, viens ! allons vite dans ma chambre nous faire des douceurs !
Isolés enfin dans son alcôve, nous avions besoin l'un de l'autre, besoin de nous retrouver, de nous palper, de nous sentir. Je me déshabillai rapidement et me glissai tout contre elle. Je sentis contre ma peau la soie de ses sous-vêtements. Soulevant délicatement le drap, je vis combien, malgré son âge, elle était belle et désirable dans ces presque-rien qui la couvraient à peine. Je l’embrassai sur le visage, sur la bouche puis descendis tout le long de son corps avec des baisers doux et aériens. Elle ronronna et remua ses membres avec beaucoup de langueur. Son regard insistant et malicieux me confondait. De ses mains douces, elle me caressa l’échine en m'invitant à passer à l'étape suivante
- Viens mon chéri, je t'ouvre mon doux nid d'amour ! Je veux te sentir glisser dans ma chair onctueuse !
Efeuillage, tissus épars, soutien-gorge et petite culotte glissant au sol, fusion de nos corps, Je la pénétrai avec un profonde délectation. Elle aimait me sentir vibrer en elle, heureuse d’être encore si réceptive, elle se cambra sous mes va et viens répétés. Je glissai doucement dans sa chair, puis plus vite, elle gémissait de plaisir d’être investie de la sorte, par tant de frénésie. Et je finis par jouir sans limites au fond de son ventre, heureux de m'épanouir et me répandre en elle, avec une générosité dont elle ne cessa de me féliciter.
Avec une gourmandise tout aussi intacte, elle me remercia en se jetant sur ma queue, me goûtant, me dégustant, m'offrant sa bouche humide et chaude, gourmande à souhait. Elle suça et suça encore, me branla, me pompa ... jusqu'à ce que je jouisse violemment, laissant mon sperme dégouliner autour de sa bouche. Le liquide dessinait de jolies traînées blanchâtres aux commissures de ses lèvres. Elle passa sa langue sur ses rebords ourlés, goûta avec saveur ma sève chaude, se nourrissant de ces giclées de plaisir jusqu’à la dernière goutte.

Chaque semaine, je revins ainsi profiter du corps de cette femme mure dont la tendre passion et l’absence de gêne autorisaient toutes mes audaces. Jamais je ne m’étais senti autant désirant et désiré que dans cette rencontre singulière. Marthe avait une connaissance des hommes qui me subjuguait. Aucune femme ne m’avait auparavant caressé, ni aspiré de la sorte, elle pouvait me donner du plaisir longuement avec ses mains enveloppantes ou sa bouche chaude. Elle me faisait m’approcher de l’extase jusqu’à ce que cela en devienne intolérable et que je la supplie de me laisser me rependre en elle. J'hurlai alors tant la décharge était longue et puissante. Repu, je me couchais dans ses bras et nous nous endormions tous les deux, apaisés et heureux.