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samedi 06 juillet 2024 - 15h45rech / rep
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(taille reelle)
dans un appartement cossu du 16e ()
Marthe travaillait pour son compte dans un appartement cossu du 16e. Elle m'accueillit avec une certaine tendresse tous en s'étonnant de mon relatif jeune age. Sa chevelure dénouée, ma relative timidité lui était prétexte, pour m'accueillir en mettant tendrement ses bras autour de mon cou. J'en profitais pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, je me penchais sur elle pour regarder son visage de feu. Irresistiblement attiré, je me surpris à poser mes lèvres contre les siennes. Elle ferma les yeux. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, mais en réalité c’était elle qui avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle.
- Julien, tu es un enfant. Je suis trop vieille pour toi !
Je ne l'écoutais pas. Je tâtai son corps. Il était brûlant. J’aurais voulu pouvoir embrasser ses seins. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe. Un second baiser, moins chaste, déclencha le rapprochement de nos deux corps fiévreux
- Ne me tentes pas Julien ! Tu vois bien que j'ai envie de toi, et tu en profites !
Elle semblait soucieuse par ce qui était en train de se passer entre nous. Nos deux corps dénudés étaient désormais serrés l'un contre l'autre, sur son lit aux draps défaits, dans l'intimité de sa chambre. J'avais relevé sa combinaison. Je bandais de manière indécente contre elle, lui faisant sentir la réalité de mes envies. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Ma main se glissait au bas de son dos, remontait encore le bord de sa lingerie, je la serrais contre moi. Je ne parvenais plus à m'arrêter. Nos corps se rapprochaient. Nos corps se heurtaient, je cherchais sa bouche, mes mains, malgré moi, l'exploraient, je l'entendis finalement me murmurer à l'oreille:
- Tu me provoques ! Ce n'est pas bien mais... tant pis pour moi !
Puis, me regardant intensement dans les yeux elle ceda:
- Viens !
Elle me fit allonger contre elle sur son lit, me prit dans les bras et m'embrassa longuement sur la bouche.
Ravi de partager avec elle l'expérience d'une aventure amoureuse avec une femme mure, je m'excitais sur son corps, qui était, petit à petit, en train de ceder. Inconsciemment, comme poussée par une pulsion irrésistible, elle s'empara de mon sexe gonflé, le massait, sensuellement, puis elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante. Il n'en fallait pas plus pour que je m'enfonce d'un coup en elle, plantant ma verge bandée à l'extrême dans les profondeurs d'un cocon onctueux. Je m'enfonçais en elle, puissamment, profondément, je glissais dans son ventre avec une jouissance qu'elle semblait partager avec moi. Loin de me repousser, elle m'aspirait instinctivement de ses muscles intimes, me pressait, je ressortais, la pénétrais encore plus profondément. Je l’entendais gémir et cela ne faisait que m'exciter davantage. Elle m'aidait dans mes va et viens. Je sentais mon gland gonflé repousser les chairs intimes de sa vulve. Elle semblait totalement réceptive
- Julien ! Tu est arrivé à bout de mes résistances ! Tu me fais du bien ! Enfonce toi bien au fond !
Planant sur un puissant nuage érotique, je ne l'écoutais déjà plus, je m'affairais sur son corps, fasciné par ses gros seins, tremblant doucement devant mes yeux. Je me laissai alors emporter par ma fougue d'adolescent. Agitant vivement mes hanches, je fis coulisser mon membre gonflé dans les moiteurs de son vagin, éprouvant un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous mes violents coups de boutoir que je lui dispensais, et sous les chocs répétés de mon gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance monter rapidement en moi. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonnait entre ses lèvres trempées:
- Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !… Oh Julien !
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, m'éclaboussant le bas-ventre et les bourses. Ivre de plaisir, encouragé par ses exhortations érotiques, je m'activai de plus belle dans son ventre désormais totalement investi, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, elle s'était mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardais pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser. Elle m'enserra encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de mon vagin affamé.
- Julien ! ... Oh Julien !
Alors tel un cheval pressé, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins. Je frémissais dans son ventre ... j'accélerais encore, très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter au fond d'elle. Je me mis à trembler, me figer, me crisper, pousser un cri rauque, me cabrer en plissant les yeux, vibrer de tous mes membres et dans un long râle, me lâcher. Mon premier jet vint frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je défaillais. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je déchargeais en elle en salves successives. À chaque secousse je giclais dans son vagin tuméfié, une éjaculation puissante, irrésistible, dans un grognement animal, déversant mon sperme de jeune amant au plus profond de son sexe ravagé. c’était chaud. Je ressortais, entrais de nouveau. Elle se laissa à son tour emportée par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa. Je la regardais jouir et lui envoya une dernière giclée, je me vidais, puis m’enfournais jusqu’au fond de son ventre, ne bougeant plus. Je restais là, affalé, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Je la laissais pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant, moi aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants, nous restions ainsi tous les deux, intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, elle fit basculer mon corps devenu trop lourd à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit:
- Julien ! Qu'avons nous fait ? Tu m'as comblé de toi ! Qu'allons nous faire maintenant ?
Elle se pencha alors sur son jeune amant pour m'embrasser tendrement…
- J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir. Mais maintenant il faut que je parte
J'étais desormais le jeune amant d'une femme mure !



J’adore le corps de Lucie chez qui je vais satisfaire tous les mardi mes besoins amoureux. Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Lucie est toute potelée, et sa poitrine me paraît énorme. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus.
- Viens, mon chéri, me dit-elle en me fixant avec un sourire gourmand.
- Viens, contre moi, nous allons faire l’amour.
Je me laisse guider. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses
- Sens ! je suis toute prête pour toi ! Ce soir, c’est notre soir.
Je l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte mon gland contre son sexe. Elle gémit, je la pénètre, son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse. Lucie est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme.
- Lucie, vous êtes si douce !
- C'est bien, mon chéri ! Tu me fais l'amour à merveille !
Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. Elle pousse un long soupir de plaisir quand je la pénètre plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette.
Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Lucie s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- Oh Lucie, J'aime vos seins, ils sont tellement gros, tellement lourds.
La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides.
- Fais moi jouir, me demanda-t-elle, et jouis avec moi !
Son ton décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras de Lucie. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez moi une jouissance instantanée.
- Oh Lucie ! ... Je viens ! ... Aaahhh !
- Oui mon chéri ! Donne moi ton sperme ! Vite !
Un duo de jouisseurs en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'uns contre l'autre sur le futon, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Lucie qui a étalé ses jambes. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes.