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samedi 06 juillet 2024 - 15h36rech / rep
--prost-05-assise-enjolras (Delphin) -_La_Toilette_02

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(taille reelle)
j'étais dans ma chambre ()
J’étais dans ma chambre, en chemise de nuit, prête à recevoir Julien. Lorsqu'il est entré, je l'ai sans attendre attiré dans mes bras sa tête.
- Je suis contente de te voir Julien ! Viens vite m'embrasser !
Il sentait que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. Je devinais déjà un relief explicite pointer au travers de son pantalon
- j'ai envie de toi. me lança-t'il dans l'oreille
- C'est vrai mon chéri ? Cela me fait plaisir !
Je sentais sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud.
- Tu sais ... Moi aussi, j'ai envie de toi !
Il a posé ses lèvres sur les miennes. Nous nous sommes embrassé à pleine bouche. Il a introduit doucement sa langue, je m'abandonnais à son baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma nuisette. Il me serrait contre lui. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainé d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits.
- Viens mon chéri, viens dans mon lit ! Nous allons nous aimer !
Son jeune corps m'attirait. je l’emmenais avec moi. Je l'ai entraîné sur mon lit. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé toute mon intimité ... et je me suis offerte à lui.
- Viens sur moi.. et rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
Il s'est positionne sur moi, j'ai dirigé son sexe et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin.
- Tu es bien mon chéri ? ... Moi, je suis bien avec toi !
- Enfonce-toi bien ! Que je te sente bien !
- Prends mes seins ! ils ont besoin de tes mains, de tes lèvres !
Bien calé en moi, Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes mamelles devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. .... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme, puis de plusieurs.
- Oh oui, mon chéri ... Tu me fais jouir !
Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en même temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Ça va mieux ? Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je vais mieux ! c'est tout doux ! C'est bon !
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues pénétrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se soudèrent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénétra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son énorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y, jouis ! .. oui, maintenant ..
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plénitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, libérant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous étions arrivés ensemble à l'orgasme. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuelle ment, nous enlaçant à nouveau.